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[VOLTAIRE.]. - BAILLET (Baron de Saint. Julien).
La Peinture. Poëme.
Paris, Quillau et Jombert, 1755 1755 2pp, 15pp, 1bl. Plaquette In 8, demi-veau fauve, dos orné (us.).
Reference : 2577
Exemplaire en tirage d’essais portant deux ajouts à la plume de l’auteur dans la préface et dans le texte (réécriture d’un vers). Mention « Mr de Voltaire » en bas de la page de titre, de la main de Voltaire. La mention pourrait être un ex dono de l’auteur à Voltaire avec qui il était en correspondance. Baillet avait publié entre autre une lettre à Mr de Voltaire au sujet de sa tragédie de Semiramis en 1749 et était l’auteur d’une vie de Descartes , abondement citée et commentée par VoltaireCette délicate plaquette porte une fausse adresse à Amsterdam mais a été imprimée à Paris et est orné sur le titre d’une gravure sur cuivre représentant le sacre de la peinture De la bibliothèque de Viollet Le Duc dont il porte l’exlibris Baillet de St Julien est l’un des tout premiers critiques d’art, il a fait l’objet d’une publication de Nathalie Manceau publié en 2009 reconstituant la biographie de Baillet en lui restituant la paternité de ce nouveau type de discours sur l’art.
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La Peinture. Poème en trois chants.
P., Le Jay, [1769], in-8, veau fauve jaspé, dos lisse orné aux petits fers, triple filet en encadrement sur les plats, roulette sur les coupes, tr. mouchetées (rel. de l'ép.), X-102 pp. (L.24)
Édition originale. Premier tirage des trois belles figures hors-texte de COCHIN, gravées par B. L. Prevost, N. Ponce et Aug. de St-Aubin, un titre gravé avec portrait de Corneille en médaillon. Fils d'un éperonnier qui s'imposa des sacrifices pour lui payer des études, Antoine-Marin Lemierre (1723-1793) fut engagé par le fermier général Dupin qui subvint ainsi à ses besoins en lui laissant le loisir de se consacrer aux Lettres. Il débuta sa carrière dans le théâtre avant de se tourner définitivement vers la poésie. Lemierre "s'était proposé d'abord de traduire le petit poème latin de l'abbé de Marsy sur La Peinture. Le trouvant trop resserré pour la matière, il en fit un ouvrage à peu près de sa composition, qu'il accompagna de notes. [...] En développant les préceptes et les images de son modèle, il forma trois chants, dans lesquels il traite du dessin, du coloris et de l'invention. Son but n'est pas d'instruire les peintres : à l'exemple des vrais poètes didactiques, il se borne à faire aimer ce qu'il chante." (Michaud, Biographie universelle, 24, p. 86. Il est également l'auteur d'un vers célèbre, que Mirabeau aimait citer : "Croire tout découvert est une erreur profonde ; / C'est prendre l'horizon pour les bornes du monde" (L'Utilité des découvertes faites dans les sciences et dans les arts sous le règne de Louis XV, 1756). Quérard, La France littéraire, I, p. 143. Cohen, 620. Rousseur aux premiers feuillets, petites épidermures aux coins. Petit tampon au titre.
Chevalier Michel de Cubières - Gilbert ( Nicolas-Joseph-Florent ) - Duchosal - Florian - Michel d'Avignon - Mathon ( Alexis ) - Voltaire - Decomberousse ( Benoit-Michel ) - Rousseau ( Jean-Jacques )
Reference : 64776
Eloge de Voltaire suivi de poésies diverses - Mon apologie, précédée du dix-huitième siècle, satires - Les exilés du Parnasse, satyre - Voltaire et le serf du Mont Jura, discours en vers libres - La peinture, poëme couronné aux jeux floraux le 3 mai 1767 - Les victimes, poème héroï-comique en quatre chants - Les Guèbres ou la tolérance, tragédie par Mr. D*** M*** - L'humanité, poème en six chants par Mr. de *** - Pigmalion par monsieur Jean-Jacques Rousseau, scène lyrique, nouvelle édition
A La Haie et Paris, 1783 - A Amsterdam, 1778 - A Amsterdam 1783 - Chez Demonville, Paris 1782 - Imprimerie Aimé de la Roche, Lyon 1767 - Chez Delalain, Paris 1768 - non représenté 1769 - non représenté 1774 - A Genève, 1776 - relié plein cuir, dos à nerfs orné, tranches marbrées, 80pp, 36pp, 24pp, 14pp, 12pp avec 4 gravures de Ferdinand Delamonce, VIII-56pp, 116pp, 176pp, 16pp; recueil de neuf pièces rares; bel exemplaire
La peinture, poëme en trois chants
Chez Le Jay, à Paris 1769 S.d., in-4 (19x25,5cm), (4) vij, (1) 94pp., relié.
Edition originale, illustrée d'un portrait de Corneille en médaillon sur la page de titre, et de trois figures sur papier fort d'après Cochin, et gravées par Prévost, Ponce et Saint-Aubin. Reliure en pleine basane d'époque brune. Dos à nerfs orné de 5 fleurons. Pièce de titre en maroquin rouge. Roulette sur coupes. Frottements. 3 coins émoussés. Poème didactique et lyrique, en alexandrins. - Photos sur www.Edition-originale.com -
LA PEINTURE , poeme en trois chants LE TEMPLE DE GNIDE mis en vers par Mr COLARDEAU
Paris, Chez Le Jay sans date (1769) ;1volume in-8 , pleine basane fauve marbrée de l'époque, dos lisse orné de petites palettes dorées et vasques dorées, titre doré en long sur étiquette de maroquin rouge; 1f.nch. ( titre), Xpp., et 102pp.; ex - dono ancien manuscrit au 1er feuillet de garde ( blanc) ; ex-libris gransire. LE TEMPLE DE GNIDE MIS EN VERS PAR MR COLARDEAU A PARIS CHEZ LE JAY libraire Bon exemplaire du 1er tirage de l' édition in-8 ,comportant le portrait de Corneille gravé par Saint-Aubin en médaillon au titre et 3 belles figures hors texte d'après Cochin gravées par Prévost, Ponce et Saint-Aubin la reliure porte par erreur oeuvre de DORAT TOME IX
Ray biblio cord B3*
La Peinture , Poème en trois chants.
Paris, Le Jay, sans date (1769 Petit in 4 demi basane à coins , dos à nerfs orné , reliure frottée. Marque du Libraire Bouguet et Lévi . N°23 quai des Augustins qui recommande :"on est prié d'affranchir les lettres et l'argent"
Edition Originale et premier tirage des trois belles figures hors texte de COCHIN et un ritre gravé avec un portrait de Corneille en médaillon . L'auteur traite dans ses trois poèmes du dessin de la couleur et de l'invention avec ses commentaires ..Cohen 620.
