J'ai lu 1977, format poche n° 742, couverture illustrée par Paul Durand - très bon état
Reference : 84586
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Paris, Robert Laffont, 1974. Un volume in-8, broché, non coupé, 310-[1] pp.
Édition originale. Un des 40 exemplaires numérotés sur vélin de Lana, N° 22 seul tirage sur grand papier avec quelques ex d'auteur. État neuf." Guérit-on jamais de la guerre ? De quel combat meurtrier l'homme peut-il être fier ? Engagé pour cinq ans, Jacques Fortier a cru un temps à la noblesse des armes. Blessé, moralement détruit par les atrocités vécues en Algérie, il revient dans son village du jura pour quelques jours de convalescence. Repartir dans les Aurès, c'est accepter la haine et le sang, admettre l'absurde. C'est renier l'enseignement d'un père incompris, refuser les leçons de sa terre natale. Jeter son uniforme, c'est dire non à l'horreur, choisir la vie, mais aussi devenir traître et déserteur aux yeux de la société. Assassin ou proscrit, Jacques doit choisir. " Le monde ne sera sauvé, s'il peut l'être, que par des insoumis. " Cette phrase résume le drame du Silence des armes, l'une des uvres majeures de Bernard Clavel. " Photos sur demande.
Laffont Robert 1974 1974. Bernard Clavel: Le silence des armes/ Robert Laffont 1974
Très bon état
Éditions J'ai lu 1977 1977. Bernard Clavel - Le silence des armes / J'ai Lu 1977
Bon état
2 vol. in-8 br. (dont le premeir sous jaquette illustrée, le second sous bandeau, complet du prière d'insérer du premier volume, Robert Laffont, Paris, 1974 et 1975
Beaux exemplaires dédicacés tous deux à l'écrivain bordelais Michel Suffran, auxquels on joit une carte autographe signée de Bernard Clavel. Très proche du militant pacifiste Louis Lecoin, Bernard Clavel lui a dédié son "Silence des Armes" qui dénonçait la guerre en Algérie ; façe aux nombreuses réactions, dont celle publiée dans la revue "Képi Blanc" (noté "Tonneau de poudre" : à détruire avec ou sans l'auteur), il répond dans le second titre : "Lettre à un képi blanc".