Albin Michel 1990, album relié toile avec sa jaquette, 128pp avec 128 illustrations en couleurs et 2 en noir et blanc; collection les grands maîtres de l’art contemporain - très bon état
Reference : 81835
ISBN : 9782226039965
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Bargain Alain 1951 1951. petit format broché aux éditions Alain Bargain collection PolArt édition originale. en TRES BON ETAT d'occasion ; complet et solide sans déchirures ni annotations; intérieur comme neuf propre et encore frais. Serge LE GALL est né à Concarneau en 1951. Il est l'auteur de 5 ouvrages abondant illustrés qui retracent la vie quotidienne dans le Sud-Finistère au début du XXe siècle. Son premier roman policier mettant en scène Paul Gauguin a pour cadre la commune de Pont-Aven où il réside. 1888. Paul Gauguin retrouve Pont-Aven pour un deuxième séjour. Loin de l'agitation de la capitale il compte sur le calme de la cité déjà bien connue des artistes pour lui permettre de vivre une période d'intense création. Mais avec le printemps se succèdent des drames. Suicide accident meurtres ? Gestes irraisonnés ou prémédités ? La Mort peint en noir. Troublé par la beauté triste de la jeune Henriette intrigué par la perspicacité irritante du détective Pinkerton Paul Gauguin est embarqué avec ses amis dans cette histoire à rebondissements égayée par les facéties des peintres en herbe et les rires des servantes peu farouches
Très bon état
Fondation Singer-Polignac Cartonné avec jaquette 1984 In-8 (19 x 25,5 cm), cartonné avec jaquette, 561 pages ; frottements et petites déchirures sur les bords de la jaquette, par ailleurs bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
s. d. [1924] | 9.30 x 7.80 cm | autre
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire d'un bois dessiné et gravé d'après une aquarelle de Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur vergé crème fin, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Bois dessiné et gravé d'après une aquarelle du manuscrit de Noa Noa, contrecollée sur une page de texte du célèbre album. Le bois définitifservira de tête à l'édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'un des précurseurs de l'art moderne. Superbe et importante gravure reprenant une aquarelle très particulière du manuscrit de Paul Gauguin, véritable percée graphique dans le texte,gravé par son plus proche ami et exécuteur testamentaire, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, héritier de l'album qu'il offrira en 1927 à l'Etat Français. L'aquarelle initiale était découpée en ondulations autour de la figure féminine et collée sur le dernier chapitre pour en empêcher la lecture et ainsi remettre le récit en route. Gauguin avait d'ailleurs ajouté des traits sinueux partant de l'aquarelle sur la page de texte, donnant ainsi l'impression d'une grotte percée dans la page, par le pouvoir psychique de la femme assise dont la tête diffuse des rayons ondulants. Monfreid décide de la placer en tête de l'ouvrage accompagnée de deux oiseaux tirés d'autres uvres, pour illustrer le pouvoir de l'artiste et de son imaginaire. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art
Phone number : 01 56 08 08 85
s. d. [1924] | 9.30 x 7.80 cm | autre
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire de "Tehura", bois dessiné et gravé d'après le tableauMerahi metua no tehamanade Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur vergé crème fin, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Le bois définitifservira de tête au chapitre VI, Le Conteur parle, page 81 de la véritable édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'uvre d'un des précurseurs de l'art moderne. Très important et tout premier bois du célèbre tableau de Paul Gauguin,gravé par son plus proche ami et exécuteur testamentaire, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, auquel Gauguin offrit cette toile après deux infructueuses expositions. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art émanant de ses uvres aussi bien que des conversations de cet homme extraordinaire... En lui tout de suite on sentait le Maître » (In L'hermitage, 1903) Epreuve sans doute unique du bois gravé d'après le chef-d'uvre de Gauguin, Merahi metua no Tehamana, représentant l'épouse du peintre et son principal modèle tahitien. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. d. [1924] | 9.30 x 7.80 cm | autre
Epreuve originale probablement unique de cet état intermédiaire d'un bois dessiné et gravé de Paul Gauguin par Georges-Daniel de Monfreid. Tiragesur vergé crème fin, annotation de l'artiste au crayon en marge gauche. Bois dessiné et gravé d'après deux uvres différentes. La femme de dos étant une reprise exacte d'une encre de la page 92 du manuscrit de Noa Noa, tandis que la femme allongée reprend le célèbre thème de la femme aux manges, Te Arii Vahine-Opoi, que Gauguin représenta en peinture mais aussi en gravure. Le bois définitifservira de tête au chapitre V de la véritable édition originale illustrée deNoa Noa, parue chez Crès en 1924, premier ouvrage illustré d'après Paul Gauguin et majestueux hommage à l'uvre d'un des précurseurs de l'art moderne. Superbe et importante gravure rassemblant deux thèmes majeurs de l'uvre tahitienne, dont le dessin central du manuscrit de Noa Noa, gravé fidèlement par le plus proche ami et exécuteur testamentaire de Gauguin, l'artiste Georges-Daniel de Monfreid, héritier de l'album qu'il offrira en 1927 à l'Etat Français. Cette épreuve, probablement unique, fait partie des 17 bois d'essais connus duprojet de publication précoce deNoa Noa, tous réalisés sur divers papiers fins et annotés par l'artiste. C'est à partir du manuscrit illustré original de Noa Noa rapporté de Tahiti par Segalen à la mort de l'artiste en 1903 que Monfreid entreprit, dès 1904, la réalisation de cette uvre fondamentale. Il s'agit de la seconde version de ce carnet « à lire et à regarder ». Le premier manuscrit, rédigé au retour de son premier voyage et confié par Gauguin à Charles Morice en 1893 répondait à un projet différent. Gauguin n'avait composé que le texte, entrecoupé de pages blanches destinées aux poèmes de Morice. Mais, après plusieurs années sans nouvelles, celui-ci préféra publier en 1901 une version entièrement réécrite par ses soins. Gauguin recopia donc son manuscrit et l'illustra lors de son second séjour en Polynésie, de croquis, aquarelles et collages. Cet album, que l'artiste enrichit et conserva précieusement jusqu'à sa mort, est aujourd'hui au Musée d'Orsay. C'est donc d'après ce manuscrit, le seul illustré, que Monfreid composa l'édition du Noa Noa de Gauguin. Cependant, si le projet de publication de Monfreid fut précoce, il mit plus de vingt ans à le mener à bien, en partie à cause d'un conflit de droit d'auteur avec Charles Morice qui souhaitait figurer comme co-auteur de l'édition en préparation et dont les poèmes seront finalement conservés. Fruit de plusieurs années de réflexion et de travail, l'édition de 1924 se veut à la fois fidèle aux aquarelles et bois gravés illustrant le précieux manuscrit, mais également à l'ensemble de l'uvre tahitienne de Gauguin, mort dans l'indifférence. Monfreid grave ainsi plusieurs dessins du cahier original et l'enrichit de bois réalisés à partir des autres uvres dont il est le dépositaire. Certaines de ces compositions associent plusieurs peintures, tout en respectant scrupuleusement le trait de l'artiste, transformant l'ouvrage en véritable voyage à travers les uvres du peintre. Le choix même de la gravure sur bois est un hommage à cette technique prisée par Gauguin qui réalisa à Pont-Aven 10 bois pour illustrer son manuscrit entre ses deux séjours polynésiens. Les bois intermédiaires, jusqu'alors inconnus, témoignent du lent travail de composition pour restituer la richesse artistique de l'uvre de Gauguin par son plus fidèle compagnon artistique et premier défenseur : «Quand je vis Gauguin pour la première fois, je fus fortement déconcerté par les données d'art émanant de ses uvres aussi bien que des conversations de cet homme extraordinaire... En lui tout de suite on sentait le Maître » (In L'hermitage, 1903) Epreuve unique du bois gravé d'après deux uvres majeures: la fameuse femme aux mangues dont Gauguin tira lui-même une première gravure en 1898 et la grande encre bleue au centre de l'album manuscrit de Noa Noa. En rassemblant
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