Editions Cêtre 1998, broché, 280pp; illustré - très bon état
Reference : 55989
ISBN : 9782878230949
Librairie Alpha
Anne et Yvan Abbal-Touzart
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Pièce in-4 de 20 pages, extraite d'un receuil de mémoires judiciaires. Vers 1800.
Pierre Côte part de Pontarlier en germinal de l'an II pour aller vendre des montres à Paris. A son retour, riche d'une belle somme, il se voit empêché de déposer son argent chez lui à cause des ébénements révolutionnaires. Il remet son argent à un parent contre une reconnaissance de dettes. Lorsqu'il veut récupérer son bien, ce dernier refuse de le lui donner et nie avoir reçu quoiuque ce soit.
broché - 15x22.5 - 147pp - 1984 - supplément aunuméro 10 des cahiers des arts et traditions populaires
Pontarlier, Thomas, 1857 in-12, XVII-431 pp., demi-percaline brune (rel. postérieure modeste). Dos passé, coins usés. Quelques rousseurs et mouillures dans le premier ouvrage.
Edition originale.Relié à la suite, du même auteur :Par monts et par vaux. Guide-manuel du touriste dans le Haut-Jura franco-suisse. 1re série, 12 excursions dans l'arrondissement de Pontarlier. Pontarlier, Simon, 1858, XII-202 pp., frontispice.Edition originale, première série seule parue. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Broché - 12 x 18,5 - 123 pp - année 1919 - Librairie Faivre-Vernay Pontarlier
1 L.A.S. de 4 pages, datée de Besançon, le 22 floréal an XI [ 12 mai 1803 ] "Monsieur, Lorsque je vous ai présenté une pétition pour admettre au Lycée Fortuné Michaud mon petit neveu, j'ignorais que le Général Michaud eut déjà obtenu du Ministre un arrêté en faveur de César Michaud son frère cadet et je n'aurais pas omis de vous en parler vu le petit nombre de places destinées au département du Doubs ; cependant, comme l'éducation du puiné presse plus que celle du cadet, s'il y avait quelque moyen de faire passer d'abord le plus agé, je vous prie de l'indiquer à M. Michaud qui aura l'honneur de vous présenter les deux fils et vous jugerez de ce qui convient le mieux, sauf à revenir à la suite pour le cadet lorsqu'il sera d'un age plus formé pour profiter de l'instruction du Lycée. Si le Père était en état de payer la pension de l'un, je lui dirais de le faire, mais les pertes qu'il a faites l'ont obligé de vendre la maison à Pontarlier et de se retirer à la campagne et s'il est possible de faire quelque chose d'extraordinaire cela ne tirera pas à conséquence, vu les services du Général Michaud et ceux du général Michaud [d'arcan ? ] qui n'a pas jouï longtemps de la place de Sénateur" [ Droz évoque sur une page le rétablissement de l'Académie, les remarques du Préfet à ce propos, il évoque M. LeFevre ] "Ayant été pendant 40 ans a portée de reconnaître l'utilité du premier établissement, je mourrai content dès que l'on aura repris le continuation du Recueil des Monumens de notre histoire, que j'avais proposé avant que M. Bertin s'en occupe pour la France entière et que j'avais bien avancé sous ses auspices" [... ] "j'espère que nous n'oterez point ce terme de féodalité de votre Dictionnaire quand il ne restera quand il ne restera qu'un tribut rendu au génie aux talens ou a la beauté. Je suis avec respect, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur".
Intéressant L.A.S. attribuable au juriste et érudit Nicolas Droz (né à Pontarlier en 1735, mort à Saint-Claude en 1805), dans laquelle il parle du Général Michaud, mais aussi du rétablissement prochain de l'Académie ("des sciences, belles-lettres et arts de Besançon et de Franche-Comté"), qui sera effectif l'année suivante, en 1804. Nicolas Droz avait été nommé en 1771 secrétaire perpétuel de l'ancienne Académie, supprimée en 1793. Il était l'oncle du savant Joseph Droz.