1908 1 Eau-forte en couleurs au repérage tirée à 60 exemplaires (N°18), monogrammée dans la plaque, signée sous le trait carré, titrée et numérotée sous le coup de plaque, avant 1908, 31.4 x 20.8 cm.
Reference : 21082
Un vieil homme à la barbe blanche, aux airs et habits d'un jeune fat, bottes montantes et pantalon pincé, se promène sur les boulevards. Provenance : collection personnelle de l'artiste.
Librairie Chrétien
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Succès Modernes 1920 approx.
Etat moyen Petit format
POLIN. 13 mars 1904. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 15 pages. Nombreuses illustrations et gravures en couleur monochrome, dans le texte et hors texte. Nombreuses partitions pour chants + paroles.. . . . Classification Dewey : 780-Musique
Revue hebdomadaire illustrée. Des concerts, théâtres, cabarets artistiques, music-halls. Classification Dewey : 780-Musique
RUEFF. 1904. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 15 pages dont 7 de partitions - clé de sol et clé de fa. Illustration sur le premier plat.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Classification Dewey : 780.26-Partitions
Le somptueux exemplaire du baron de Longepierre (1659-1721) relié à l’époque par Boyet en maroquin bleu doublé de maroquin rouge. Amstelodami, ex Officina Elzeviriana, Anno 1656. 2 volumes in-4. T.I: (8) ff. y compr. le titre gravé, 716 pp., T. II(daté 1655): 536 pp., (22) ff. d’index. Maroquin bleu, emblème de la Toison d’or aux angles, au centre et quatre fois répétée aux dos, doublures de maroquin rouge, dentelle intérieure dorée, toison dorée au centre, tranches dorées sur marbrures. Reliure de Boyet, actif sous le règne de Louis XIV. 235 x 167 mm.
«Belle édition, dont le texte est formé sur ceux de Turnière et d’Estienne.» Brunet III, colonne 272. Edition en grec, accompagnée de la traduction latine. « Le plus grand fait de la civilisation grecque reste toujours ceci, qu’Homère devint de si bonne heure panhellénique. Toute la liberté intellectuelle et humaine où parvinrent les Grecs revient à ce fait… De temps en temps s’éleva du fond le plus intime de l’hellénisme une protestation contre Homère; mais il resta toujours vainqueur. Toutes les grandes puissances spirituelles exercent à côté de leur action libératrice, une autre action déprimante; mais, à la vérité, cela fait une différence que ce soit Homère ou la Bible ou la Science qui tyrannise les hommes !» Nietzsche. «Inscrivez en tête d’un papier le nom d’Homère. C’est le plus grand nom, mon enfant. Les dieux ne seraient rien, et non seulement les dieux, mais les hommes, s’il ne les avait pas chantés… Rien n’est aussi pur qu’Homère… C’est le plus grand. C’est le plus vieux. C’est le patron. C’est le père. Il est le maître de tout. Et notamment il est le maître de tout ce qu’il y a jamais eu de plus grand dans le monde, qui est le familier.» Charles Péguy. Merveilleux exemplaire relié spécialement par Boyet pour Hilaire-Bernard de Roqueleyne, Baron de Longepierre, « Longepierre (1659-1721) se distingua tellement de ses condisciples, dans ses études classiques, que Baillet le plaça parmi les Enfants célèbres. Il composa, comme on le sait, plusieurs tragédies qui toutes, à l’exception de sa ‘Médée’, eurent une fin tragique. Le succès de sa ‘Médée’ fit qu’il ne voulut d’autres signes héraldiques sur ses livres que la Toison d’Or. L’amour des livres contribua peut-être plus à sa notoriété que ses pièces de théâtre. L’auteur dramatique est presque oublié aujourd’hui, tandis que le bibliophile est resté en grande réputation parmi les amateurs.» (J. Guigard. Nouvel armorial du Bibliophile. Paris, 1890). Cet exemplaire fut vendu 200000 FF (30500 €) le 5 juin 1988, il y a 34 ans (Ref. Livres précieux, n°83). Ex-libris manuscrit ancien sur le titre et ex-libris gravé au verso de C.L. Robert Jardel.
2 pièces autographes signées à savoir: 1 L.A.S. de 3 pp., datée du 12 mai 1908: «Mon cher ami, il pleut, mais ton article sur le Briseur de Fers vient de nous apporter le soleil. Oh! mon cher ami, comme tu es gentil! comme je devine, en relisant ton article, le charmant parti-pris de ne voir que le bon côté de mon livre! C’est une page de camarade, évidemment, et non de critique, quoiqu’elle soit superbe et d’une habileté délicieuse. Car c’est de «l’habileté du cœur». Eh bien, tu as raison, après tout! Tu ne signales au public que les bonnes choses, puisqu’elles lui sont utiles. Leur démontrer que je n’ai pas de talent eût été peut-être un jeu d’artiste mais une grosse erreur de moraliste et de philosophe. J’ai un petit nombre, lentement, très lentement grandissant d’amis et de lecteurs. Ce que je leur dis depuis 15 ans ne peut que leur faire du bien, les raffermir ou les consoler. Je ne cherche pas à donner le goût du «militaire» mais de «l’énergique». Si j’y parviens, qu’importent mes fautes! Du reste, je connais, aussi bien et même mieux que quiconque, mes défauts. Tu peux me le mettre sous les yeux et en ajouter de nouveaux, quand tu me rencontreras. Je suis à ce point dénué de «vanité littéraire» que je t’écouterai […] Mon livre est noble et pur d’intentions, je l’ai écrit laborieusement. Il vaut bien ce qu’il coûte. Le reste n’est que de la fumée de cigare. Maintenant, je veux aller te serrer la main à l’Echo [ … ] En attendant, mon vieux Rar, je t’embrasse»; [ On joint: ] 1 réponse autographe signée au questionnaire du «Salon des Littérateurs», billet de 2 feuillets pré-imprimé: Maître idéal: «Prothée». Esthétique: «Un beau livre sur mes genoux». Prix rêvé: «Les ors et les argents sont fous! ». Devise artistique: «Simplement». Description de l’œuvre en vers de huit: «Parce que le bec de mes plumes, Dans l’orme agité du journal, Tirelire mes amertumes, Et lance un pi-huit matinal, Est-il dit qu’une œuvre m’est née? Alors j’ai volé ma journée… Parce que d’un bout de pastel, En un coin de mauve banlieue, J’esquisse le flâneur untel, Ai-je fait plus d’un quart de lieue, Vers la connaissance du bien? Holà, Dentu, je n’en sais rien! Œuvre, mot risible, oiseau rare. – Vais là-bas fumer un cigare»
Belle réunion de deux très intéressantes pièces autographes signées de l’écrivain Georges d’Esparbès (1863-1944). Fréquentant le Chat Noir, ami de Léon Bloy ou de Jean Moréas, Georges d’Esparbès exaltera l’héroïsme militaire. On joint une troisième pièce signée par son fils Robert (dit Asté d’Esparbès).