1920 1 Huile sur carton, encadrée, signée en bas à droite avec envoi "A l'ami Albert", (1920), 34.3 x 28.5 cm.
Reference : 10376
Sur ses cheveux courts une jeune femme porte un haut-de-forme. Petits accidents au cadre.
Librairie Chrétien
M. Jean Izarn
178 Rue du Faubourg Saint Honoré
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France
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Conducteur original d'une représentation au Cabaret Bruant. S.l.n.d. [1903]. 1 cahier d'écolier manuscrit (17,5 x 22,5 cm) de 10 f. (écrits recto-verso) formant le conducteur de la pièce Le Cabaret de BRUANT, avec 5 feuillets autographes de chansons et notes diverses + une carte postale du « Cabaret Bruant », illustré d'un portrait en pied de Bruant, avec cette légende : « tous les clients sont des cochons ! »... Conducteur original d'une représentation au Cabaret Bruant, « Tableau populaire en un acte Représenté pour la première fois le 20 novembre 1903 ». Bruant y liste la distribution sur scène, un plan des lieux et de mise en scène, les dialogues des trois scènes prévues, avec de nombreuses corrections. Il est joint trois billets manuscrits de notes et textes de chants.
Le 84 boulevard de Rochechouart a une longue histoire montmartroise, dominée par la figure puissante d'Aristide Bruant : c'est là que Rodolphe Salis ouvrit en 1881 dans un ancien bureau de poste un cabaret et c'est à lui que revient de l'avoir baptisé « le Chat noir ». Il trouva en effet, abandonné dans le local désaffecté, un chat efflanqué qu'il adopta et qui lui porta bonheur quand il eut l'inspiration d'engager Aristide Bruant. En 1885 quand le cabaret est transféré 12 rue de Laval (aujourd'hui Victor Massé), Bruant achète le local et le baptise : le Mirliton. C'est le début de la réussite pour celui qui cherchait « fortune à Montmartre le soir » ! La pièce s'ouvre, après les mises en scène de Bruant, par la fameuse Complainte du Chat noir : « Je cherche fortune / Au-autour du Chat Noir / Au-au clair de la lune / A Montma-a-rtre ! / Je cherche fortune / Au-autour du Chat Noir / Au-au clair de la lune / A Montmartre le soir ! » ; suivent ensuite « A la Bastoche » où, « après la chanson on applaudit bruyamment : bravo, bravo » - Bruant, s'adressant au premier client : c'est pas des bravos qu'il faut c'est du pognon ! Suivent de nouveaux dialogues, puis, par Bruant, « La Vigne au Roi », avec le même scénario répété. Les conducteurs des pièces jouées sont rares, et l'on ne connaît que des versions de mises au propre. Précieuse et unique version autographe.
[Antoine de Rivarol] Enquête concernant du grabuge au cabaret de la famille Rivarol.
Reference : 015181
[Antoine de Rivarol] Enquête concernant du grabuge au cabaret de la famille Rivarol. P.S. par différentes personnes dont sa tante Françoise Rivarol et sa mère Catherine Avon-Rivarol, 1765, 13p in-4. Intéressante enquête faite par « Louis Broûzet, exempt de la maréchaussée générale du Languedoc à la résidence de Nîmes ». Il reprend donc les témoignages de ce qu'il se passé le 30 janvier 1765 au cabaret du Cheval blanc, des parents d'Antoine de Rivarol (1753-1801), à Bagnols-sur-Cèze. On y trouve différents témoignage et notamment celui d'« Avon Rivarol », la mère de l'écrivain, et « Françoise Rivarol », sa tante. Il y a aussi les interrogatoires des cuisiniers, de la voisine. L'affaire concerne des soldats qui ont maltraité Marion, la servante du cabaret. Beau document. [373]
Paris s. d. [ca 1953] | 21 x 27 cm | 11 feuillets rédigés au recto
Manuscrit en partie inédit d'un article sur le cabaret, neuf pages plus deux pages en addition rédigées à l'encre violette sur des feuillets de papier quadrillé perforés. Nombreuses ratures et corrections ainsi que plusieurs ajouts. Les feuillets sont numérotés en marge haute droite de 1 à 9 puis 12 et 13. Les neuf premiers feuillets de ce texte, qui ne fut jamais publié du vivant de Boris Vian, ont été retranscrits dansLes Vies posthumes de Boris Viande Michel Fauré (1975). Le texte a été fautivement daté de 1948 par Fauré : la mention d'En attendant Godot de Samuel Beckett, dont la première eut lieu en 1953, rend cette datation impossible. Intéressant texte évoquant les cabarets et les "troglodytes", bel écho au célèbreManuel de Saint-Germain-des-Prés(1951) : "Rendons à Saint-Germain-des-Prés ce qui lui revient de droit : outre un certain tonnage fourni aux journalistes en mal de copie, ce quartier tant décrié - par ceux qui justement ne l'ont connu que sous son aspect journalistique - est à l'origine de la transformation profonde du cabaret. Oui, il y avait bien une raison si les gens intelligents que sont Sartre, Prévert, Camus, Merleau-Ponty, etc., bref tous ceux qui en somme comptent aujourd'hui dans la littérature ou les arts suivaient avec autant d'attention le grand mouvement des caves, malgré la turbulence des troglodytes et l'incongruité des singes photographes, malgré l'activité brouillonne d'une génération de journalistes illettrés et malotrus, malgré la curiosité béate du badaud et l'aigre rancoeur des videurs de pots de chambre de la rue Dauphine." Après avoir brièvement évoqué le jazz, sujet sur lequel il est pourtant habituellementdithyrambique, Boris Vian consacre la plus grande partie de son texte au théâtre : "Le jazz, d'un côté se taillait à grands coups de trompette une place à l'ombre côté chambre des machines ; c'est là sa vraie ambiance : une cave enfumée, une arrière-boutique, un laboratoire obscur où se réunissent les fidèles. [...] Les musiciens se détendaient enfin. Mais de leur côté les comédiens ne restaient pas inactifs."Visionnaire, Vian sent "dans l'air une odeur de renouveau"comprenant l'importance que revêtira le théâtre de cabaret dans les années à venir. Deux feuillets (non transcrits dans l'ouvrage de Fauré) évoquent l'avant-garde théâtrale de ce début des années 1950 : "Et ce n'est pas un hasard si En attendant Godot, la pièce étonnante de Samuel Beckett, est une entrée de clowns qui dure deux heures, ne traite de rien en particulier, pose tous les problèmes, arrache le rire au moment où l'on devrait s'épouvanter [...] Et ce n'est pas un hasard si l'interprète principal de l'oeuvre de Beckett, ce pilier de tête du théâtre d'avant-garde, est un chevronné du cabaret." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1912 Paris Marcel Rivière & Cie Bibliothèque des Sciences Economiques & Sociales 1912 Un volume in°12 reliure demi chagrin havane dos à nerfs 196 pages Première édition
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( Hubert le Magnanime - Cabaret " La Bolée " ) - Francis Carco.
Reference : 1189
(1849)
Emouvante et très longue lettre autographe de Francis Carco, double page, avec en-tête son adresse Parisienne du 18 Quai de Béthune, Paris 4ème, datée et signée du 9 mars 1950. Dans ce courrier Carco appelle au secours un de ses amis - non identifié – pour venir en aide à Hubert le Magnanime, qui dirigeait le Cabaret de « La Bolée », Rue de l’Hirondelle. Dans ce cabaret, réplique du Lapin Agile, mais qui offrait plus d’inconnu, avec une clientèle composée d’anarchistes, de rôdeurs, d’étudiants, de chansonniers, et de filles de joies, on festoyait à bon marché, grâce au brave Hubert qui aimait les poètes, leur faisait place à table, et, résolu à tout pour eux, leur avançait en cachette de l’argent. Grand, robuste, sympathique, cet homme, hélas ! ne s’enrichissait guère dans ce commerce où l’on le payait avec des rimes. Il fut même, durant un temps, plutôt que de fermer ses portes et couper le crédit aux artistes qui en avaient besoin, après minuit, obligé de quitter soigneusement son gîte et de travailler aux Halles comme débardeur. Etat superbe, malgré deux petites traces d'adhésif aux coins supérieur. La lettre à été pliée en son milieu.
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