‎BEAUNIER André‎
‎La Révolte‎

‎Paris Plon et Nourrit 1914 In 16 Imprimé sur très bon papier bien blanc sans rousseurs . Couverture comportant de légers défauts . - 356 p. , 450 gr.‎

Reference : 016546


‎Broché Bon ‎

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Au vert paradis du livre
Claire ( Anne Marie ) Dréau
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‎BLIGH (William).‎

Reference : 5813

(1792)

‎Voyage à la Mer du Sud, entrepris par ordre de S. M. Britannique pour introduire, aux Indes Occidentales, l'arbre à pain, et d'autres plantes utiles ; par le Lieutenant G. Bligh. Avec une relation de la révolte à bord de son vaisseau etc.‎

‎Paris, Garnery, Buisson, Desenne, Blanchon, 1792. 1792 1 vol in-8° (205 x 130 mm) de : [2] ff. (titre, table) ; 372 pp. ; 1 planche et 2 cartes dépliantes. (tache brune en partie centrale en pied sur les premiers feuillets, rares salissures). Demi-basane fauve dépoque, plats recouverts de papier marbré rose, dos lisse orné, pièce de titre noire, tranches jaunes. (petit manque à la coiffe supérieure et à la pièce de titre).‎


‎Rare édition originale française (EO anglaise, Londres, la même année) de la relation officielle du voyage de Bligh et de la fameuse révolte du "Bounty" traduite par F. Soulés. Relation complète de son voyage, qu'il publia deux ans après sa "Relation de lenlèvement du Navire le Bounty", parue dès son retour en Angleterre, pour que son témoignage soit connu avant l'arrivée des mutins. Avec la fin du commerce triangulaire, du fait de lIndépendance américaine, les Anglais se trouvèrent en difficulté pour nourrir les esclaves des plantations. Sir Joseph Banks (1743-1820), naturaliste de la première expédition de James Cook, propose alors au Roi George III dimplanter larbre à pain, espèce quil a observée lors de ce voyage avec Cook dans les îles de la Mer du Sud. William Bligh (1754-1817), ami de Banks et réputé pour ses qualités maritimes est nommé commandant du Bounty et appareille pour Tahiti le 23 décembre 1787 pour ramener cette espèce. Le voyage est long et difficile : ils ne rejoignent Tahiti qu'en octobre 1788. Les Tahitiens acceptent de leur céder des arbres à pain, mais la traversée ayant été plus longue que prévu, ils ne peuvent prendre la mer avant six mois. Latmosphère pénible en mer, ne lest pas moins dans ces îles où plusieurs incidents ont lieu, si bien que le 28 avril, une vingtaine de jours après leur départ (5 avril 1789), Christian Fletcher, enseigne de vaisseau, déclenche la mutinerie, suivie par onze des quarante-deux membres déquipage. Ils enlèvent le navire et forcent Bligh et dix-huit autres membres de léquipage à prendre la mer sur une chaloupe, pour un voyage qui na guère déquivalent dans lhistoire de la marine : dix-neuf hommes sur une chaloupe sur 4 000 miles. Bligh parvint lors de cette périlleuse traversée à cartographier et à nommer des parties inconnues des côtes Nord-est de la Nouvelle-Hollande. L'ouvrage est illustré d'une planche représentant le fruit de l'arbre à pain et deux cartes, la première donnant la route parcourue par Bligh de Tofo à Timor (Nouvelle-Guinée) et la seconde figurant une partie de la côte de Tahiti. Exemplaire bien conservé de la première traduction française de cette relation. 1 vol. 8vo (205 x 130 mm) with : [2] ff. (title, table) ; 372 pp. ; 1 plate and 2 folding maps. (central brown stain at foot of first few leaves, rare soiling). Contemporary fawn half-basane, boards covered with pink marbled paper, ornate smooth spine, black title page, yellow edges. (small loss to upper headpiece and title-piece). Rare original French edition (English EO, London, same year) of the official account of Bligh's voyage and the famous Bounty revolt, translated by F. Soulés. A complete account of his voyage, which he published two years after his Relation de l'enlèvement du Navire le Bounty, published on his return to England, so that his testimony would be known before the arrival of the mutineers. With the end of the triangular trade, American Independence left the English struggling to feed the slaves on the plantations. Sir Joseph Banks (1743-1820), a naturalist on James Cook's first expedition, proposed that King George III plant the breadfruit tree, a species he had observed on this voyage with Cook to the South Sea islands. William Bligh (1754-1817), a friend of Banks and renowned for his seafaring skills, was appointed commander of the Bounty and set sail for Tahiti on December 23, 1787 to bring back the species. The voyage was long and difficult, and they didn't reach Tahiti until October 1788. The Tahitians agreed to let them have some breadfruit trees, but the crossing took longer than expected, and they couldn't set sail for another six months. The harsh atmosphere at sea was no less so on the islands, where several incidents took place, so much so that on April 28, some twenty days after their departure (April 5, 1789), Christian Fletcher, ship's ensign, triggered a mutiny, followed by eleven of the forty-two crew members. They kidnapped the ship and forced Bligh and eighteen other crew members to take to the sea in a longboat, for a voyage that has few equals in naval history: nineteen men in a longboat for 4,000 miles. During this perilous crossing, Bligh succeeded in mapping and naming unknown parts of the northeast coast of New Holland. The work is illustrated with a plate depicting the fruit of the breadfruit tree and two maps, the first showing Bligh's route from Tofo to Timor (New Guinea) and the second depicting part of the Tahiti coast. A well-preserved copy of the first French translation of this report.‎

J-F Letenneur Livres Rares - Saint Briac sur Mer
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Phone number : 06 81 35 73 35

EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎Oria‎

Reference : 2620

(1989)

ISBN : 290832600

‎La révolte essentielle‎

‎Le Nouveau Signe 1989 Broché - 381 pages Bon état 613 g‎


Phone number : 07 60 20 91 45

EUR35.00 (€35.00 )

‎KRISTEVA Julia‎

Reference : PSYCHAAAA645201123

(1996)

ISBN : 9782213595580

‎Sens et non-sens de la révolte. Pouvoirs et limites de la psychanalyse I‎

‎Paris, Fayard, 1996, 13,5 x 21,5, 502 pages sous couverture souple illustrée. "La révolte est ce qui garantit notre indépendance et nos capacités créatives, constate la psychanalyse. Mais la révolte est-elle encore possible ? Qui peut encore se révolter ? Contre quoi ? Et sous quelles formes nouvelles ? Face à la culture "show" ou "entertainment", est-il encore possible de bâtir et d'aimer une culture-révolte ? Non pas comme une nouvelle version de l'engagement ou comme une promesse paradisiaque, mais, au sens étymologique et proustien de la révolte dévoilement, retournement, déplacement, reconstruction du passé, de la mémoire, du sens. Ce discours direct sur les pouvoirs et les limites de la psychanalyse, que Julia Kristeva a tenu dans son cours à l'Université de Paris VII en 1994-95, interroge l'expérience de trois écrivains du XXe siècle qui illustrent les avancées et les impasses de la culture - révolte : Aragon, entre magie verbale et imposture politique; Sartre, l'insoumis, qui ne cesse d'affirmer qu'"on a raison de se révolter"; Barthes, enfin, inattendu dans ce contexte, qui pratique l'écriture comme une démystification. L'interprétation psychanalytique qui conduit pour l'essentiel cette enquête, tout en faisant apparaître les pouvoirs et les limites du discours analytique lui-même, permet d'ouvrir de nouvelles perspectives de vie psychique et culturelle." ‎


‎Dos plissé ; couverture légèrement insolée.‎

Phone number : 04 78 58 44 04

EUR12.00 (€12.00 )

‎BUIJTENHUIJS (Robert).‎

Reference : 107741

(1971)

‎Le Mouvement « Mau-Mau ». Une révolte paysanne et anti-coloniale en Afrique noire.‎

‎ Paris-La Haye, Mouton, 1971, gr. in-8°, xiii-428 pp, biblio, broché, couv. lég. défraîchie, bon état‎


‎Les Mau-Mau, membres d'une société secrète kikouyou au Kenya, se révoltèrent en 1952 contre les autorités et les colons britanniques. Cette révolte qui dura quatre ans fut violemment réprimée. — "La colonisation européenne a-t-elle affecté les Kikuyu de façon si particulière que leur révolte solitaire et le calme des autres peuples du Kenya s'en trouveraient expliqués ? Ou faut-il chercher l'explication du Mau-Mau dans certains caractères originaux qui auraient distingué les Kikuyu des autres populations de la région dès avant l'intervention européenne ? Telles sont les premières questions que se pose R. Buijtenhuijs dans l'une des analyses les plus poussées qui ait été faite « sans passion » du Mau-Mau, cette révolte anti-coloniale qui a profondément traumatisé la Grande-Bretagne au lendemain de la seconde guerre mondiale. Pourquoi les Kikuyu se sont-ils révoltés précisément à la fin de 1952 ? L'auteur cherche la réponse en étudiant la situation coloniale au Kenya, la place des Kikuyu dans le système colonial et l'évolution de leurs rapports avec le colonisateur, avant et après la seconde guerre mondiale. La deuxième partie de l'ouvrage, la plus longue, est également la plus originale : par une analyse poussée de la révolte elle-même, l'auteur dépasse les interprétations déjà avancées du phénomène Mau-Mau et dégage ses multiples significations, de renouveau culturel, de révolte anti-coloniale, et de guerre civile. Participant tout la fois du traditionalisme et de la modernité, le Mau-Mau, conclut l'auteur, est un « phénomène contradictoire en lui-même » et ambigu. Cette ambiguïté explique la diversité des commentaires qu'il a provoqués et pour une part leur caractère passionnel et engagé : à l'époque, la violence des passions déchaînées fut telle qu'aujourd'hui encore, R. Buijtenhuijs le rappelle, il est difficile sur certaines questions fondamentales, notamment celle des serments dits « avancés », de faire la part de la réalité et celle de l'affabulation." (Nicole Grandin, Cahiers d'études africaines, 1973) ‎

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EUR40.00 (€40.00 )

‎André BRETON‎

Reference : 75729

(1953)

‎"Allons, ce n'est pas encore cette fois que dans la révolte je parviendrai à introduire la "mesure" que nous prêche aimablement M. Camus." Lettre autographe signée inédite adressée au critique Charles Estienne‎

‎Paris 8 janvier 1953 | 21 x 27 cm | 1 pages et quelques lignes sur un feuillet‎


‎Lettre autographe signée inédite d'André Breton adressée au critique Charles Estienne?; une page et quelques lignes à l'encre noire sur un papier à en-être de la galerie de l'Étoile Scellée. Deux pliures transversales inhérentes à l'envoi, un petit manque angulaire en marge haute droite. Très belle lettre rendant compte de la disparition de l'un des amis les plus chers d'André Breton et de sa brouille avec Albert Camus. Breton fait part à son ami de la disparition de l'artiste surréaliste tchèque Jind?ich Heisler?: «?Votre lettre parlait de ces jours où il semble «?qu'il y ait juste assez de feu pour vivre?»?: c'était bien loin d'être assez de feu lundi, lorsqu'elle me parvenait?: un de mes deux ou trois meilleurs amis, Heisler, pris soudain de malaise en se rendant chez moi le samedi, avait dû être hospitalisé d'urgence et je venais de recevoir le pneumatique de Bichat m'annonçant sa mort. Je suis resté longtemps hagard devant ce fait non moins impensable qu'accompli?: il n'était pas d'être plus exquis que celui-ci, mettant plus de chaleur dans ses entreprises, dont la plus constante était de tout alléger et embellir à ceux qu'il aimait.?» Les deux poètes étaient en effet très proches?: Heisler avait participé, au côté de Breton, au lancement de Néon en 1948 et l'avait soutenu lors d'un épisode dépressif, l'accompagnant avec d'autres amis à l'île de Sein. «?Le début de l'année 1953 est assombri par la mort de Jind?ich Heisler (le 4 janvier). Fidèle entre les fidèles, il «?a vécu intégralement pour le surréalisme?» selon Breton qui rend hommage à son activité d'animateur?: «?C'est ainsi qu'il fut de 1948 à 1950 l'âme de Néon et jusqu'à ses derniers instants le plus grand enfanteur de projets que son génie lui soufflait le moyen de réaliser comme par enchantement.?»?» (Henri Béhar, André Breton) * Dans cette lettre empreinte de douleur, Breton fait soudainement référence à L'Homme révolté d'Albert Camus paru deux années plus tôt?: «?Allons, ce n'est pas encore cette fois que dans la révolte je parviendrai à introduire la «?mesure?» que nous prêche aimablement M. Camus.?» Les deux écrivains se rencontrent à New York à la fin mars 1946 alors que Camus est invité aux États-Unis pour une tournée de conférences comme représentant de Combat. «?Tous deux se concertent sur la meilleure façon de préserver le témoignage de certains hommes libres des distorsions idéologiques. Ils rêvent à une sorte de pacte par lequel des gens de leur trempe s'engageraient à ne s'affilier à aucun parti politique, à lutter contre la peine de mort, à ne jamais prétendre aux honneurs quels qu'ils soient.?» (ibid.) Avec d'autres intellectuels, ils fonderont en 1948 le Rassemblement démocratique révolutionnaire (RDR). Cet idylle prendra fin quelques années plus tard, à l'automne 1951, lorsque Camus publiera «?Lautréamont et la banalité?» extrait de son Homme révolté à venir. Breton, extrêmement blessé, lui répond dans un article intitulé «?Sucre jaune?» (in Arts)?: «?Cet article [...] témoigne de [l]a part [de Camus], pour la première fois, d'une position morale et intellectuelle indéfendable. [...] Il ne veut voir en Lautréamont qu'un adolescent «?coupable?» qu'il faut que lui en sa qualité d'adulte il morigène. Il va jusqu'à lui trouver dans la seconde partie de son uvre?: Poésies, une punition méritée. À en croire Camus, Poésies ne serait qu'un ramassis de «?banalités laborieuses?» [...] Il n'y aurait encore que demi-mal si l'indigence de ces vues ne se proposait d'élever la thèse la plus suspecte du monde, à savoir que la «?révolte absolue?» ne peut engendrer que le «?goût de l'asservissement intellectuel?». C'est là une affirmation toute gratuite, ultra-défaitiste qui doit encourir le mépris plus encore que sa fausse démonstration.?» Ainsi, deux ans plus tard, Breton tient encore rigueur du crime de lèse-majesté de Camus envers celui que Breton a érigé en père du surréalisme, mais plus encore, cette allusion à la philosophie pacifiste de Camus, ‎

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