‎[J. Vittou] - ‎ ‎PIGAULT-LEBRUN‎
‎Théodore‎

‎Paris Didier & Méricant In-12 Collection " Nouvelle Collection Illustrée " n° 48 . Quelques petits défauts mais bien conservé . Illustré de gravures . Sans date , fin XIX° siècle . ( Nombreux autres n° , taper la collection en mot clé dans notre catalogue ) .- 128 p. , 250 gr.‎

Reference : 009750


‎Broché Très Bon État . 1° édition‎

€15.00 (€15.00 )
Bookseller's contact details

Au vert paradis du livre
Claire ( Anne Marie ) Dréau
9 place de la Mairie
34530 Aumes
France

auvertparadisdulivre@yahoo.fr

04 67 98 96 91

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Sale conditions

CONDITIONS DE VENTE : Vente par correspondance dans le monde entier ( régie par la loi de la VPC ) 7 jours sur 7 . Pour recevoir le devis des frais de port vous devez veiller à bien rédiger votre email . Emballage sous carton et enveloppe kraft ou bulles si livre très léger , départ par Poste ou Mondial Relay . Expédition dès réception du règlement par Paypal ou par virement bancaire ou par chèque de banque française , libellé à l'ordre de Mme DREAU , adressé à la Librairie : Au vert paradis du livre , 9 place de la Mairie 34530 AUMES . France . Achat-Vente sur le site et par email ou téléphonique au 04 67 98 96 91 .

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎BOST (Théodore) et Sophie BONJOUR.‎

Reference : 101258

(1977)

‎Les derniers puritains, pionniers d'Amérique. Lettres de Théodore Bost et Sophie Bonjour, 1851-1920, présentées par Charles Marc Bost.‎

‎ Hachette, 1977, fort in-8°, 439 pp, préface d'Yves Berger, 12 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎


‎1851- Théodore Bost, Suisse francophone et de père français, quitte son pays natal. Il a dix-sept ans et s'embarque pour l'Amérique. Il vivra là-bas jusqu'à sa mort, en 1920. Qu'allait-il donc chercher au Nouveau Monde ? Et avec lui les immigrants, par dizaines de milliers ? Les lettres qui composent ce livre le disent : « De l'ouvrage, du terrain et de la liberté. » L'Amérique ou le mythe de la terre promise... Longue, minutieuse chronique de la vie quotidienne, pleine de soucis d'argent, de spéculations sur les récoltes à venir, de voeux rarement accomplis, d'espoirs si souvent fauchés, ces lettres racontent l'acharné combat, jamais gagné, toujours recommencé, mille fois perdu, que les pionniers livrent à la nature... — "Les lettres de Théodore Bost et Sophie Bonjour illustrent bien la vie des pionniers au milieu du XIXe siecle. Leur intérêt tient d'abord à la durée inaccoutumée de cette correspondance (1851-1920) dont seuls sont publiés des extraits. Elle tient aussi au caractère des deux personnages, lui, le dixième enfant d'une famille de onze, fils de pasteur contestataire rejeté par sa congrégation, condamné à une errance qui va le mener à travers la Suisse et la France jusqu'à un petit village de Dordogne, elle, aussi, d'ascendance suisse et protestante. L'itinéraire de Théodore et de Sophie les conduit de New York dans le Minnesota, puis en Californie, ou ils meurent, lui à 86 ans en 1920, elle à 87 ans en 1922. Que de choses ils ont vues, qu'ils racontent dans leurs lettres : la guerre de Secession, les guerres indiennes, la mise en valeur du Middle West, la Grande Guerre. De bons textes de liaison et des notes rendent la lecture de cette correspondance facile et agréable." (Claude Fohlen, Revue Historique) — "Le 26 février 1851, à Serrières, près de Neuchâtel, en Suisse, Théodore Bost, prend la diligence pour Genève. Le 20 avril suivant, il débarque à New York. Il a dix-sept ans. Théodore est le dixième des onze enfants d’un pasteur suisse d’origine française. A treize ans, malade, il a dû quitter l’école pour aller travailler dans des fermes. C’est alors qu’il a formé comme des centaines de milliers d’Européens de l’époque, le projet d’aller défricher des terres en Amérique. Du jour de son arrivée à New York jusqu’à celui de sa mort, survenue en 1920, en bon fils, bon frère et bon cousin qu’il est, Théodore écrira plusieurs fois par semaine aux membres de sa famille. Ses lettres et celles de sa femme, Sophie Bonjour, qu’il épouse en 1858, ont été retrouvées, classées, annotées, présentées par Charles Marc Bost, son petit-neveu (...). Un document unique et passionnant." (Le Nouvel Observateur, 1er août 1977) — "Le pasteur Ami Bost (1790-1874), d'une famille du Dauphiné réfugiée à Genève, joua un rôle important dans le Réveil en France. Il eut dix fils, dont six furent pasteurs, et une fille. Parmi ces enfants, John Bost, fut le fondateur des asiles de La Force et le dixième, Théodore Bost (1834-1920) s'établit en Amérique comme fermier. C'est de sa correspondance que sont extraites les lettres publiées ici par son petit-neveu, Charles-Marc Bost, fils du pasteur Charles Bost, historien du protestantisme. Ces lettres écrites par un jeune homme très religieux, montrent un aspect inhabituel de l'Amérique des années 1850. Parti dans le nouveau monde en 1851, à l'âge de 17 ans, Théodore a d'abord quelques occupations de courte durée : il travaille dans une ferme ; il enseigne ensuite le français dans une mission baptiste au Canada, puis sous forme de cours particuliers dans le Vermont. Il colporte des livres religieux pendant quelques mois et il part pour l'Ouest en 1855. Après avoir travaillé à la construction d'une route, sans pratiquement se faire payer, puis avoir été employé d'un marchand de bois, il achète pour 300 dollars un « claim » (c'est-à-dire un terrain non défriché, qui n'a pas encore été vendu par le gouvernement) avec de l'argent prêté par ses parents, dans le Minnesota. Alors commence la partie la plus étonnante de ce récit, racontant la vie, rarement décrite, du défricheur. Il mène une vie incroyablement dure, lors des premiers hivers, mais bénéficie de l'aide de ses voisins. Peu à peu il met en culture une partie de ses 160 acres. Naturalisé américain en 1856, il paye 200 dollars et devient réellement propriétaire de sa ferme en 1857. Depuis 1856, il correspondait avec Sophie Bonjour, avec qui il souhaitait se marier. Celle-ci arriva en Amérique en 1858, et le mariage put enfin être célébré. Théodore et Sophie continuent à mettre en valeur le domaine, défrichant, améliorant la maison d'habitation, élevant un petit troupeau de bovins. Ils subissent les aléas de l'agriculture, victimes de calamités naturelles ou des fluctuations de cours des produits agricoles, et sont à plusieurs reprises aidés par des prêts de la famille Bost. Ils jettent un regard critique sur l'Amérique, se plaignent de la dureté générale des habitants, bien qu'ils aient vécu au milieu d'un petit groupe de chrétiens dont ils étaient les piliers. Anti-esclavagistes de toujours, ils applaudissent au début de la guerre de Sécession, puis s'indignent de la conduite de certains politiciens du Nord. Ils décrivent sans sympathie la révolte des indiens, rapidement réprimée, en 1863. Cette même année, les Bost construisent une nouvelle maison, plus confortable, sur leur domaine. La mauvaise santé de Théodore l'incite à abandonner les gros travaux de la terre, et il développe la plantation d'arbres fruitiers, et se lance dans l'apiculture, ayant 57 ruches en 1867 et jusqu'à 90 en 1872. En 1870, il était retourné en Europe pour soigner sa santé et voir sa famille, ce que bien peu d'émigrants ont pu accomplir. En 1874, il devient marchand à Excelsior, puis vend sa ferme ; mais il ne peut s'adapter à cette nouvelle condition et retourne sur une autre ferme qu'il achète près de l'ancienne en 1877. A partir de ce moment, les lettres s'espacent de plus en plus. En 1887, les Bost s'installent en Californie, d'abord comme fermiers, puis retraités, auprès de leurs nombreux enfants et petits-enfants. Lors de l'affaire Dreyfus, Théodore se montre favorable au capitaine ; pendant la première guerre mondiale, il décrit l'évolution de l'opinion américaine, et, s'enthousiasme lors de l'entrée en guerre des Etats-Unis. Sa dernière lettre est d'avril 1920, deux mois avant sa mort à quatre-vingt-six ans. Sophie lui survivra deux ans. L'intérêt de ces lettres réside dans ce que leurs auteurs avaient une plus grande cuture que la plupart des pionniers, et qu'ils décrivent le développement de l'Amérique avec leurs yeux d'Européens, faisant parfois preuve d'un certain humour pour décrire leurs difficultés. Ils n'ont jamais été parfaitement intégrés à ce pays où la dureté et l'égoïsme étaient la loi générale, ce qui était trop contraire à leurs convictions chrétiennes. Certes, ils n'ont pas fait fortune, et ne sont pas devenus de ces riches « cousins d'Amérique » que l'on imagine généralement, mais le récit de leur lutte de tous les jours ne manque pas de grandeur. Il présente certainement un aspect plus caractéristique de la vie américaine au XIXe siècle que lés images traditionnelles de cow-boys ou de millionnaires." (J. Thierry du Pasquier, Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français, 1978) ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 43 54 43 61

EUR25.00 (€25.00 )

‎[Cavalière] - ‎ ‎[Revue] KOENIG Théodore‎

Reference : 007160

(1969)

‎Phantomas 86. Théodore Koenig‎

‎Bruxelles Directeur Théodore Koenig 1969 In-8 agrafé, couverture illustrée Edition originale ‎


‎16e année, juin 1969. Texte de Théodore Koenig : Poèmes restreints et proses concises. Illustrations de Ailk Cavalière Très bon exemplaire 0‎

Phone number : 01 42 66 38 10

EUR20.00 (€20.00 )

‎SON, Johannès - Pierre AGUETANT, Marcel AUTHIER, Antoine BARBIER, Théodore BOTREL, Théodore CABAUD, Edmond CHAPOY, Gabriel CLOUZET, Jacques CONSTANT, Alexandre DUBOIS, Edmond FEVELAT, Léon HELIARD, Georges NORMANDY, Georges, ROLLIN, Camille ROY, Joseph SERRE.‎

Reference : 92617

‎La Bresse et la Dombes d'après les Tableaux, Etudes et Dessins de Johannès Son. Préface de Julien Tiersot, Prologue de Jules Bois. Poésies de Pierre AGUETANT, Marcel AUTHIER, Antoine BARBIER, Théodore BOTREL, Théodore CABAUD, Edmond CHAPOY, Gabriel CLOUZET, Jacques CONSTANT, Alexandre DUBOIS, Edmond FEVELAT, Léon HELIARD, Georges NORMANDY, Georges, ROLLIN, Camille ROY, Joseph SERRE, Johannès SON. ‎

‎ Ars Vita, Coquemer, Imprimeur d'Art Paris, 1912, 1 volume grand in-folio de 470x325 mm environ, non paginé (116 pages environ), sous chemise cartonnée de l'éditeur avec dos et coins toilés. Avec 25 reproductions hors-texte sous serpente, et 115 dessins dans le texte. Exemplaire N° 203/350. Quelques bordures légèrement fendillées sur certains dessins, rousseurs sur la couverture et les pages de gardes, plis et petites déchirures sur les serpentes, dos de la chemise émoussé sur le haut et le bas avec début de fente, sinon bon état. ‎


‎ Johannès Son, Peintre burgien (Lyon, Rhône 1859 - Bourg-en-Bresse, Ain 1942) Jean-Antoine, dit Johannès Son, né à Lyon, s'installe à Bourg-en-Bresse en 1862 avec sa famille quand son père est chargé de la construction de la ligne de chemin de fer qui relie Bourg-en-Bresse à Lons-le-Saunier. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

Phone number : 33 04 78 42 29 41

EUR200.00 (€200.00 )

‎VAUDOYER, Jean-Louis‎

Reference : 63957

(1929)

‎[ Manuscrit autographe signé d'un article sur Théodore Aubanel ] Billet de Minuit : "Aubanel fêté en Avignon ou Le souvenir d'Aubanel" : "On vient de clore le cycle des fêtes données en Avignon ces dernières semaines pour commémorer le centenaire de Théodore Aubanel. Dans ce jardin du musée Calvet, où, voici peu de temps, Pol Neveux honorait le passage de Stendhal, un écrivain du nord de la Loire (le signataire de ces lignes), invité par l'Académie du Vaucluse, a apporté à la poésie méridionale l'hommage d'Oïl à Oc. Hommage d'autant plus convaincu et justifié que les chants intimes de Théodore Aubanel, par la qualité de coeur qui les dicte, par leur accent de vérité humaine et permanente, rayonnent bien au-delà de leur foyer. Les vingt-cinq petites pièces qui, dans la Grenade Entr'Ouverte, composent le "Livre de l'Amour" ont été souvent comparées, égalées à l'Intermezzo de Henri Heine. Intermezzo latin, où celui qui devait chanter plus tard en vers impérissables la vénus d'Arles élève, songeant à celle qu'il aima et qui s'est faite religieuse, sa plainte pure, brûlante et soumise. [...] [il évoque : ] "la pauvre fille de Charité, cette "Zani" au visage d'espagnole qui, pour la robe de bure des Soeurs de St Vincent de Paul, quitta la robe "couleur-de-Grenade" qu'elle portait le jour où Aubanel la vit pour la première fois. Les souvenirs terrestres de Zani et d'Aubanel, dans leur matérialité pour ainsi dire décantée, sont pieusement conservés dans la famille du poëte. Présentement, on peut les voir dans une salle du musée Calvet. Il y a là des portraits d'Aubanel, des siens, entre autres du "Corsaire grec" dont le poète descendait. Il y a là aussi un portrait de Zani, pas bien grand, tout modeste, sombre hostie offerte aux mystères cruels du sacrifice. Il y a là des manuscrits, des lettres ; ce touchant "cahier rouge" où Aubanel consigna mille détails tendres [... ] Enfin, dans sa blancheur immaculée, voici le grand exemplaire unique de La Grenade Entr'ouverte, que le poète fit imprimer spécialement "pour Zani" et que sa sainte inspiratrice, toute vouée à soigner les vieillards, à guider les enfants ne devait jamais, pour le presser sur un coeur inconsolé, toucher de ses maines mortelles".‎

‎Manuscrit autographe signé de 2 pages format 25 x21 cm, s.d. [1929 ] : Billet de Minuit : "Aubanel fêté en Avignon ou Le souvenir d'Aubanel" : "On vient de clore le cycle des fêtes données en Avignon ces dernières semaines pour commémorer le centenaire de Théodore Aubanel. Dans ce jardin du musée Calvet, où, voici peu de temps, Pol Neveux honorait le passage de Stendhal, un écrivain du nord de la Loire (le signataire de ces lignes), invité par l'Académie du Vaucluse, a apporté à la poésie méridionale l'hommage d'Oïl à Oc. Hommage d'autant plus convaincu et justifié que les chants intimes de Théodore Aubanel, par la qualité de coeur qui les dicte, par leur accent de vérité humaine et permanente, rayonnent bien au-delà de leur foyer. Les vingt-cinq petites pièces qui, dans la Grenade Entr'Ouverte, composent le "Livre de l'Amour" ont été souvent comparées, égalées à l'Intermezzo de Henri Heine. Intermezzo latin, où celui qui devait chanter plus tard en vers impérissables la vénus d'Arles élève, songeant à celle qu'il aima et qui s'est faite religieuse, sa plainte pure, brûlante et soumise. [...] [il évoque : ] "la pauvre fille de Charité, cette "Zani" au visage d'espagnole qui, pour la robe de bure des Soeurs de St Vincent de Paul, quitta la robe "couleur-de-Grenade" qu'elle portait le jour où Aubanel la vit pour la première fois. Les souvenirs terrestres de Zani et d'Aubanel, dans leur matérialité pour ainsi dire décantée, sont pieusement conservés dans la famille du poëte. Présentement, on peut les voir dans une salle du musée Calvet. Il y a là des portraits d'Aubanel, des siens, entre autres du "Corsaire grec" dont le poète descendait. Il y a là aussi un portrait de Zani, pas bien grand, tout modeste, sombre hostie offerte aux mystères cruels du sacrifice. Il y a là des manuscrits, des lettres ; ce touchant "cahier rouge" où Aubanel consigna mille détails tendres [... ] Enfin, dans sa blancheur immaculée, voici le grand exemplaire unique de La Grenade Entr'ouverte, que le poète fit imprimer spécialement "pour Zani" et que sa sainte inspiratrice, toute vouée à soigner les vieillards, à guider les enfants ne devait jamais, pour le presser sur un coeur inconsolé, toucher de ses maines mortelles".‎


‎Beau manuscrit autographe signé de Jean-Louis Vaudoyer de son bel article consacré au grand poète du Félibrige, Théodore Aubanel (1829-1886). Il y évoque notamment la figure de Jenny Manivet dite "Zani", premier amour du poète avignonnais. On joint une carte postale ancienne du monument de Théodore Aubanel à Avignon.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR250.00 (€250.00 )

‎[ Manuel Henri] - ‎ ‎Botrel Théodore - Dihau Désiré,Botrel Théodore,Feautrier E. - Botrel Théodore‎

Reference : 94444

(1905)

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR20.00 (€20.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !