Paris Robert Laffont 1971 Grand In 8 Collection " Best sellers " . Traduit de l'américain par Jacques Brécard . Auteur d'Exodus ce livre nous plonge après la 2° guerre mondiale dans un procès qui se déroule à Londres . Un médecin se reconnait dans plusieurs romans publiés aux Etats-Unis où on accuse " un médecin " d'avoir pratiqué des opérations chirurgicales criminelles sur les déportés juifs et attaque l'auteur en justice . Ce médecin est-il coupable ou pas ? Il faudra un coup de théâtre de dernière minute pour qu'éclate la vérité . - 446 p. , 750 gr.
Reference : 007312
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Au vert paradis du livre
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Edit. Calmann-Lévy, 1882 In-8° de 266 pp.,
Dans un souci d'une description fidèle, l'ouvrage présente une usure du dos et une déformation de ce dernier. En l'état.
Reference : 9506
Paris, Pierre Gaillard, 1803. 4 tomes en 2 volumes in-8 (190 x 110 mm), 1 f. n. ch., VI pp., 1 ff. bl., 136 pp.; 1 f. n. ch., 182 pp., 1 f. n. ch; 1 f. n. ch., 152 pp. ; 1 f. n. ch., 152 pp., 1 f. n. ch. Demi-chagrin rouge, dos à nerfs, titre et tomaison dorés, tranche dorée, un coin légèrement abîmé (reliure de la fin du XIXe siècle).
Cette édition est illustrée d'un frontispice et de 100 gravures à mi-page d’après les dessins de Romain de Hooghe. Les Cent Nouvelles nouvelles sont considérées comme le premier recueil de nouvelles français. Cette édition est la réimpression d’une des meilleures éditions illustrées de ce recueil. Destinées à la cour de Bourgogne, rédigées dans le style du Decameron de Boccace, les Cent Nouvelles nouvelles sont contées par divers seigneurs de cette cour où Philippe le Bon, amateur de lettres et des arts, attirait à lui littérateurs, poètes, peintres et musiciens. Les bibliographes ont longtemps attribué à Antoine de La Sale, le secrétaire de ce petit cercle de lettrés, la paternité de la majorité des nouvelles du recueil, désormais attribuées à Philippe Pot. De la bibliothèque de P. R. Dupperay avec son ex-libris gravé (1945) comprenant la devise "Sanctus Amor Patriae Dat Animum". Très bon exemplaire. Brunet, I, 1735-1736 (pour l’édition de 1701).
Paris, chez l’auteur ; Béchet jeune, 1821. In-4 (275 x 210 mm), XI pp., 269 pp., 1 p. n. ch. et 13 ff. n. ch. (explication des planches). Basane racinée, chiffre doré sur le plat supérieur, dos lisse orné de caissons à croisillons dorés et d’un fer maritime, pièce de titre rouge, tranches mouchetées, reliure restaurée, tache en marge inférieure, petites rousseurs éparses (reliure de l’époque).
Première édition française. Elle réunit les travaux fondateurs de Fox publiés à Londres en 1803 et 1806, traduits par Joseph-Jean-François Lemaire (1782-1834), chirurgien-dentiste du roi de Bavière et auteur du Dentiste des dames. Cet ouvrage est illustré de 23 planches lithographiées dessinées par Delorieux, représentant l’évolution de la dentition, différents cas d’irrégularité, des caries et diverses affections dentaires, ainsi que des exemples d’opération. "This is the first book to illustrate diseases of the teeth" (Morton). Fils d’un dentiste du même nom, Joseph Fox (1775-1816) fit des études de médecine au Guy's Hospital de Londres et donna à partir de 1799 une série de conférences pionnières sur la dentisterie. Ses deux premiers ouvrages, The natural history of the human teeth (1803) et The history and treatment of diseases of the teeth (1806) ont joué un rôle fondamental pour la science dentaire anglaise, après les travaux de John Hunter et de Robert Blake à la fin du XVIIIe siècle. Bon exemplaire en reliure d’époque. Quérard, La France littéraire, III, p. 188. Morton’s medical bibliography, n° 3679.1.
Bordeaux, Simon Millanges, 1601. In-8 (158 x 107 mm), 8 ff. n. ch., 776 pp., 4 ff. n. ch. Vélin, dos lisse, titre et auteur manuscrits à l'encre en tête, usures sur les coupes en gouttière, vélin patiné avec petites taches rousses sur le plat supérieur, traces angulaires de mouillure dans la seconde moitié de l'ouvrage (reliure de l’époque).
Édition originale, second tirage, de l’œuvre la plus importante de l’auteur. C’est la seule édition vue par l’auteur, offrant l’état le plus authentique de sa pensée, deux ans avant sa mort. Ce traité de philosophie morale est consacré dans sa première partie à la connaissance de soi, tandis que la deuxième partie livre les règles générales de la sagesse, et la dernière porte sur les quatre vertus morales à acquérir et à conserver: la prudence, la justice, la force et la tempérance. Pierre Charron (Paris, 1541-1603), théologien et philosophe, fut un des moralistes les plus célèbres de son temps. Il fut le prédicateur de Marguerite de Navarre et l’ami de Montaigne, dont les Essais l’inspirèrent profondément au point qu’il en retranscrivit certains passages ne pouvant le dire mieux. Il confia la publication de son nouveau traité à son imprimeur traditionnel, Simon Millanges, et un contrat en date du 10 mai 1601 précise que l’imprimeur était tenu de donner à l’auteur 50 exemplaires moitié en blanc, moitié reliés, et 30 exemplaires de chaque réimpression (Dast de Boisville, «Simon Millanges, imprimeur à Bordeaux de 1572 à 1623», Bulletin historique et philologique, 1896, pp. 5-6). Le premier tirage se différencie par ses 10 ff. de préface et ses 772 pp. Le traité De la sagesse fut rédigé en réponse à des attaques dont Pierre Charron faisait l’objet à la suite de ses précédents ouvrages sur la religion, Trois vérités et Discours chrétiens. Condamné par le Parlement, l’Université et les Jésuites dès sa parution, l’ouvrage de Charron devint, pour les libertins, le bréviaire de la libre pensée. La dénonciation par des théologiens comme «athée superstitieux» obligea Charron à opérer des remaniements en vue d’une seconde édition, parue de manière posthume en 1604 à Paris. L’ouvrage, condamné par la Sorbonne pour «fidéisme» dès décembre 1603, fut mis à l’Index Librorum Prohibitorum en septembre 1605. Le XVIIe siècle se méfiera des ouvrages de Charron en tant que sectateur des sceptiques; Mersenne demandait de l’exclure comme particulièrement dangereux (L’impiété des déistes, athées, 1624) tandis que des rationalistes comme Guy Patin l’incluait dans une liste de livres «capables de prendre le monde par le nez» au côté de Rabelais, Montaigne, Bodin et Lipse (lettre du 27 mars 1665 à M. de Salins de Beaune). Mais sa théorisation de la raison comme auxiliaire de la foi sut séduire des jansénistes comme Saint-Cyran. Un exemplaire de ce tirage a figuré à la vente Bordes de Fortage, t. 1, n° 465. Bel et rare exemplaire en reliure de l'époque. Louis Desgraves, Bibliographie S. Millanges, n°164. Brunet, Manuel du libraire et de l’amateur de livres, I, 1810. Graesse, II, 123. Index librorum prohibitorum 1600-1966, éd. De Bujanda, p. 214.
Rennes, imprimerie de Julien du Clos, 1567. Plaquette in-12 (184 x 130 mm), 12 ff. n. ch. Demi-maroquin rouge à la Bradel, titre en long, mouillure pâle en tête, restauration de papier en marge d’un feuillet (reliure moderne).
Rarissime édit concernant la réorganisation des juridictions de Bretagne. Cet édit du roi Charles IX vise à simplifier les juridictions de Bretagne, en unissant aux sièges des villes de premier plan les juridictions des cités alentours. Dans certains cas, le roi a opté pour l’établissement d’un siège royal, d’un juge ou d’un sénéchal. L’édit précise que les officiers qui voient leur charge supprimée pourront être remboursés ou continueront à jouir de leurs gages jusqu’à leur mort. Ex-libris du bibliophile breton Le Blohic, avec comme souvent, une note de sa main sur la première garde donnant ici d’intéressantes informations: «Ces deux impressions sont d’une insigne rareté; Duval les signale sans les avoir vues dans son étude sur la librairie à Rennes au XVIe siècle (SHAB 1985). Le premier Édit est totalement d’actualité à l’heure (toujours repoussée) de la réunification de la Bretagne (la Loire Atlantique détachée depuis Pétain) et de la multiplication des structures inter-communales…» Exemplaire parfaitement relié. Pettegree, Walsby & Wilkinson, Livres vernaculaires français, 2007, n°11444. Un seul exemplaire est répertorié au CCfr, à la BnF.