Minerva/France-Loisirs 1981 In Quarto D'un raffinement proverbial , la civilisation chinoise remonte à une haute antiquité . Elle est restée inchangée jusqu'à l'époque moderne . Le texte est servi par une riche iconographie de photographies en couleurs , pleine page . Ethnologie .- 96 p. , 800 gr.
Reference : 000453
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Paris , Imprimerie Royale , 1841. In-8 de XX-275 pp., demi-basane fauve, dos lisse orné de filets dorés et de 4 chevaux ailés frappés en noir, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale. L'oeuvre la plus célèbre du théâtre chinois, écrite à la fin de la dynastie des Yuan, sans doute après 1356. C'est l'une des plus anciennes pièces du théâtre du Sud parvenues jusqu'à nous. Traduit par Antoine Bazin (1799-1863), élève d'Abel Rémusat et de Stanislas Julien, il fut professeur de chinois à la Bibliothèque royale, à l'École des langues orientales en 1840 et fut titulaire de la première chaire de chinois en 1843. Le pipa est un luth quatre cordes, un des plus anciens instruments de musique chinois qui apparaît dans les textes chinois du second siècle avant J.C..Provenance : bibliothèque Henri Joliet, bibliophile dijonnais avec son ex-libris au monogramme CBMHI et sa devise «Plus penser que dire ».
Paris, Imprimerie impériale, 1813. Grand in-folio de (3) ff., LVI pp., 1112 pp., (1) f. d’errata, demi-basane, dos lisse (reliure du XIXe siècle).
Édition originale du premier dictionnaire chinois, monument typographique publié sur ordre de Napoléon en 1809. Il s'agit de la première publication philologique à grande échelle dans une langue occidentale moderne traitant du chinois et, en tant que telle, une étape importante dans la rencontre de l'Orient et de l'Occident. L'éditeur était à cette époque l'un des rares Français à résider en Chine et ce depuis plus de 17 ans.« Tout le inonde sait que cet ouvrage est du P. Basile de Gemona, de l'ordre des Mineurs. Klaproth raconte que, en 1808, on s'était d'abord adressé à Antonio Montucci, de Sienne, pour rédiger le Dictionnaire chinois, mais que, comme il était étranger, de Guignes lui fut préféré » (Cordier).« Cet ouvrage immense a été l'objet de plusieurs critiques, mais il n'en est pas moins le plus complet de ce genre qui existe en Europe, et il est en outre un chef-d'oeuvre de la typographie » (Quérard, III, 527).Exemplaire enrichi d’onglets marginaux avec caractères chinois manuscrits.Très bon exemplaire dans une solide reliure au dos restauré, large tache prononcée sur les sept derniers feuillets.Cordier, Biblioteca sinica, III, 1589.
Paris, Payot, 1939. In-8, 228 pp., broché.
A Cologne, , 1774. 6 tomes en 3 vol. in-12 de (16)-297-(23) pp. ; (4)-309-(23) pp. ; (4)-331-(27) pp. ; (4)-351-(23) pp. ; (4)-309-(19) pp. ; (4)-207-(13) pp., demi-basane brune, dos lisse orné de filets dorés, pièces de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
« Bien que cette oeuvre soit presque exclusivement écrite par Goudar, un des aventuriers amis de Casanova, nous savons par deux témoignages, que Casanova, lui-même, a contribué à un certain nombre de lettres (tome IV, lettres 46, 48, 72, 75; tome V, lettres 12, 39, 80, 83), qui figurent parmi ses premières oeuvres » (Rives-Child, 6).Ange Goudar, aventurier et polygraphe, rencontra Casanova pour la première à Paris, en 1759 ; il publia une foule de brochures et de livres, traitant aussi bien de l'économie politique que de la musique et de la danse, publiés souvent sous le nom de sa femme, Sara Goudar, et dont plusieurs sont dédiés à l'ami du Vénitien, lord Pembroke. Ami intime de Casanova, Goudar lui proposa en 1760 de lui vendre, pour soumettre Marianne Charpillon, un fauteuil spécialement combiné : muni de ressorts, ses bras s'écartaient et réduisaient à l'immobilité la personne qui s'y asseyait. L'idée seule d'employer un tel meuble, qualifié par lui de "redoutable", révolta Casanova pour qui la participation volontaire de la femme était essentielle.Bon exemplaire complet, mais modeste ; 1 coiffe usée. Mars, 77 ; Sgard, 387.
A Cologne, , 1774. 6 vol. in-12 de (16)-297-(23) pp. ; (4)-309-(23) pp. ; (4)-331 (27) pp. ; (4)-351-(23) pp. ; (4) 309 (19) pp. ; (4)-207-(13) pp., veau porphyre, dos lisse orné, triple filet d'encadrement sur les plats, pièces de titre et de tomaison vertes, tranches rouges (reliure de l'époque).
« Bien que cette oeuvre soit presque exclusivement écrite par Goudar, un des aventuriers amis de Casanova, nous savons par deux témoignages, que Casanova, lui-même, a contribué à un certain nombre de lettres (tome IV, lettres 46, 48, 72, 75; tome V, lettres 12, 39, 80, 83), qui figurent parmi ses premières oeuvres » (Rives-Child, 6).Ange Goudar, aventurier et polygraphe, rencontra Casanova pour la première à Paris, en 1759 ; il publia une foule de brochures et de livres, traitant aussi bien de l'économie politique que de la musique et de la danse, publiés souvent sous le nom de sa femme, Sara Goudar, et dont plusieurs sont dédiés à l'ami du Vénitien, lord Pembroke. Ami intime de Casanova, Goudar lui proposa en 1760 de lui vendre, pour soumettre Marianne Charpillon, un fauteuil spécialement combiné : muni de ressorts, ses bras s'écartaient et réduisaient à l'immobilité la personne qui s'y asseyait. L'idée seule d'employer un tel meuble, qualifié par lui de "redoutable", révolta Casanova pour qui la participation volontaire de la femme était essentielle.Provenance : bibliothèque de Vimal Lajarigge d'Ambert (ex-libris sur chaque volume), conseiller de préfecture du Puy-de-Dôme.Bel exemplaire. Mars, 77 ; Sgard, 387.