‎Collectif ‎
‎L'étonnement‎

‎Rosas - Anne Teresa De Keersmaeker. Si et seulement si etonnement.‎

‎Doornik, La Renaissance Du Livre, 2002 Couverture souple, 25 x 25 cm, 330 pages, illustrées en couleur et en noir et blanc. NEUF! ISBN 9782804606954.‎

‎Résumé "Une Flamande cinglante. Aux déplacements tranchants. Comme un couteau. Avec étonnement, comme si elle ne savait pas trop ce qu'elle faisait, mais elle le savait très bien. Sueur sur la lèvre supérieure. Pieds sur le sol." Josse De Pauw, auteur et acteur, évoque en 37 mots Anne Teresa De Keersmaeker telle qu'il se souvient d'elle dans Rosas danst Rosas, aux côtés d'une "solide Italienne", d'une "petite japonaise" et d'une "grande Wallonne". D'autres auteurs dans cet ouvrage sont plus prolixes. Ensemble, tous ces textes - essais solidement étayés, entrevues allant au fond des choses ou souvenirs sommaires - brossent un portrait passionnant du travail de la chorégraphe et de sa compagnie. Ce livre retrace le parcours effectué en vingt ans par Anne Teresa De Keersmaeker et Rosas, en paroles et en images, ainsi qu'à travers un volet documentaire très complet. C'est un ouvrage de référence indispensable pour les nombreux amateurs de danse contemporaine et de Rosas. Les contributions sont signées Jean-Marc Adolphe, Sara Jansen, Anna Luyten, Jean-Luc Plouvier, Pieter T'Jonck, Michel Uytterhoeven, Elke Van Campenhout, et Marianne Van Kerkhoven. Rosas/Anne Teresa De Keersmaeker, si et seulement si étonnement comprend de nombreuses photos souvent inédites de Herman Sorgeloos et, entre autres, de Bernaded Dexters, Serge Leblon et Jean-Luc Tanghe.‎

‎Étonnement d'un amour - Journal 1974-1976‎

‎Les Presses de Taizé 1979 168 pages 1979. 168 pages.‎

‎" Il y a un an que mon père mourait, à Marseille. C'est tout près encore, je devine ce que tu sens, je prévois ce que tu sentiras quand les mois passeront - pas encore les années. Et cet étonnement, il faut le dire, de se trouver orphelin, à un âge où l'on croyait, bêtement, que le mot n'est plus de mise. Emouvante lettre autographe signée adressée à son ami Carlo Rim lui témoignant sa tendre affection pour les récents deuil de son père et l'accident de sa femme‎

‎Paris 8 février 1944 | 15 x 19 cm | une feuille‎

‎Touchante lettre autographe signée, 32 lignes à l'encre noire sur un feuillet, de Pierre Bost à son ami Carlo Rim dans laquelle il partage sa peine concernant le décès d'un être cher et comment l'amitié peut atténuer un peu la tristesse accablante. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. "8 février 44 Cher Carlo, oui je t'envoie, oui, nous vous envoyons de bons voeux, s'il en est temps encore ; c'est à ça que servent les amis, c'est à dire à pas grand'chose, mais à quelque chose, après tout. J'ai pensé à toi avec beaucoup d'affection, dans ton deuil. Il y a un an que mon père mourait, à Marseille. C'est tout près encore, je devine ce que tu sens, je prévois ce que tu sentiras quand les mois passeront - pas encore les années. Et cet étonnement, il faut le dire, de se trouver orphelin, à un âge où l'on croyait, bêtement, que le mot n'est plus de mise. Mais si, oui, j'ai beaucoup pensé à toi, et si je te le dis un peu tard, ça ne fait rien. Et à l'accident de ta femme, aussi. Je connais ces accumulations de catastrophes, je vous plains de tout coeur. Comment va-t-elle ? Bien, je l'espère, et sans suites ? Heureux mortels qui faites du ski, nous comprendrions bien que vous soyez un peu permis du plaisir que vous y prenez ; maus un coup de soleil sur le nez, une fourbure... là c'est trop. Pourra-t-elle recommencer au moins ? Faites-lui nos bonnes amitiés, nos voeux, tout ce qu'on peut fzirer d'aimable dans une clinique. Et bonne chanceà vous deux. Tu travailles ? Moi, oui. Mais en ce moment sans plaisir. Où sont les plaisirs ? Partagez-vous notre fidèle affection. Garde pour toi la mienne, toute particulière. Pierre Bost." Provenance : du fonds Carlo Rim, qui fut un écrivain provençal auteur notamment deMa belle Marseille,un caricaturiste, un cinéaste et l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

‎LE MAGASIN PITTORESQUE - Livraison n°07 - Etonnement.‎

‎Jouvet et Cie éditeurs 5 rue Palatine.. 1er avril 1902. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 23 pages environ illustrées de gravures et de photos en noir et blanc dans le texte. Paginées de 145 à 168.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque‎

‎Etonnement par S. Lami, gravure par Puyplat, avec petit poème de quelques lignes en dessous de la gravure. Une station oenologique dans le Midi (hérault) par Antoine de Saporta, à suivre, illustré de photos dans le texte (laboratoires du directeur, du préparateur et des élèves). La ferronerie, suite et fin par Calmettes - le fer forgé illustré de gravures dans le texte (outils du repousseur, le relévé au marteau, tôle découpée et rôle relevée au marteau). L'enclos du tempe au XVIIIème siècle, suite et fin , illustré d'une gravure dans le texte de la façade de l'hôtel du grand Prieur sur la rue du temple (article par Clairin). Le photorama par Reynier (sans illustration). Une plante nouvelle - le cassava avec gravure dans le texte de cette plante. Une journée d'Albert Dürer par berthold. La prochaine traversée du Sahara par un ballon non monté avec gravure dans le texte de ce ballon. Le buste de Schaunard . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque‎

‎Un si vif étonnement. la honte, le rire, la mort‎

‎Paris, Editions du Seuil, 1988, 14 x 20,5, 256 pages sous couverture imprimée. ‎

‎Pliure angulaire à la première de couverture avec contamination aux premières pages ; étiquette à la quatrième de couverture.‎