Broché très bon état sous jaquette .Contenu propre . 1993. 343 pages . PHOTOS SUR DEMANDE
Reference : BAZ9376KLW
ISBN : 2905899409
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Livre au trésor
M. Hubert Colau
Z.A. La Goguerie
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Albin Michel (8 novembre 2000)-Collection De mère en fille. In-8 broché 20,5 x 3,3 x 17 cm , dos toilé rouge imprimé en blanc, illustré de dessins dans le texte, 285 pages./ Parfumée, sensuelle, ensoleillée, douce ou épicée, la cuisine italienne est aussi diverse et contrastée que ses nombreuses régions : du Piémont à la Sicile en passant par la Toscane et le Latium, un savoureux itinéraire gastronomique s offre aux esprits voyageurs et gourmands. Leda Vigliardi Paravia nous invite à redécouvrir les grands classiques de la cuisine italienne/ -500g.C. - Très bon état.
Editions de l'Atelier Sans date. ouvrage cartonné avec jaquette 188 pages abondamment illustré en TRES BON ETAT d'occasion; complet et solide sans déchirures ni annotations intérieur propre Les femmes ont toujours pris leur part de peine dans la vie des hommes. Elles vivaient autrefois à l'ombre d'un père puis dans celle d'un mari. Elles se dépensaient du matin au soir effacées mais efficaces au fond de l'atelier ou au faîte des gerbières à la boutique ou à la manufacture. Si l'ouvrière percevait un maigre salaire l'épouse d'un artisan ne devait se contenter que de vagues mercis. La fille de ferme quant à elle connaissait plus les réprimandes que les compliments. Il y avait aussi le ménage à tenir les enfants à élever le quotidien à gérer avec parcimonie toutes ces taches indispensables mais tellement banales qu'on finissait par ne plus les voir. Il y a les rêves perdus les grandes tristesses et les joies les gestes qui se perpétuaient de génération en génération. C'est en confident que Gérard Boutet a écouté ces vénérables grand-mères. Leurs souvenirs évoquent un hier où elles n'étaient que des gamines confiantes dans la vie qui se présentait à elles
Très bon état
COURRIER DU LIVRE
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782702926550
Imprimerie de Cottin | Paris 1801 | 8.50 x 13.50 cm | 2 volumes reliés en 1
Edition originale sous ce titre et version définitive la plus aboutie de cette histoire licencieuse attribuée à Antoine Bret (et précédemment à Claude Villaret), dont la première version parue à Amsterdam en 1745 sous le titre Galanteries de Thérèse. Reliure en demi chagrin rouge, dos à quatre nerfs sertis de pointillés dorés et orné de caissons dorés, plats de cartonnage rouge comportant des taches noires, gardes et contreplats de papier à la cuve. Rare ouvrage illustré de 2 gravures en frontispices. Savoureux petit roman libertin, prétendument autobiographique, d'une jeune courtisane qui conte son apprentissage du métier par sa mère et, bien entendu, son épanouissement. Mais la particularité de l'ouvrage est de maintenir une confusion entre fiction affriolante et récit prétendument authentique. La préface elle-même est signée de l'autrice présumée, qui justifie la présence de son portrait en frontispice, par une argumentation d'une pure misogynie: «L'essentiel d'une femme, c'est la beauté; l'esprit et les vertus ne sont que des qualités accessoires; la première ne donne pas toujours autant de plaisir qu'elle semble en promettre, la seconde tout aussi respectable qu'ennuyeuse, ressemble assez à ces curiosités, qui n'étant d'aucun usage dans le commerce de la vie, sont bonnes tout au plus pour l'étalage.» Réédité dans la collection le coffret du bibliophile à la fin du siècle, le roman sera précédé d'une préface érudite, révélant l'auteur véritable et analysant le succès séculaire de cette uvre: «Il n'est pas jusqu'à sa morale qui ne soit bien indicative. Thérèse n'affiche pas de philosophie profonde, décevante, ou même seulement gênante, mais elle sait trouver des traits d'observation pittoresques, colorés, rapides; elle abonde en réflexions pratiques sagement pratiques. Et enfin elle se recommande par-dessus tout par un bon cur, une de ces bontés qui facilitent la vie, et plus particulièrement la vie galante. Toutes ces qualités suffisent à rendre attachante, autant qu'attrayante, la lecture de ces courts mémoires qui dépeignent au vrai, sans grande rhétorique, les étapes rapides de l'existence d'une fille qui d'elle-même s'est consacrée à donner du plaisir, sans ménager ni son corps, ni son cur.» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Michel Lévy | Paris 1855 | 11.50 x 18.50 cm | broché et deux pages sur un feuillet
Edition originale très rare et recherchée à l'instar de tous les ouvrages de l'auteur, de cette pièceinspirée de l'un des nombreux tumultes de sa vie : l'empoisonnement que Forneret aurait subides mains de son amante Jeanne Sarrey. Deux petites déchirures marginales restaurées sur le premier plat, titre discrètement inscrit à la plume en tête du dos muet. Bel exemplaire. Exemplaire enrichi d'une rarissimelettre autographe signée de Xavier Forneret, un des quelquesmanuscrits connusde la main de l'Homme noir.Le scandaleux génie tente de faire jouerMère et fille au théâtre de la Gaîté.Lettre datée par l'auteur du 27 mai 1854, adressée au dramaturge Charles Desolme. Deux pages à l'encre noire sur un bifeuillet, petite déchirure marginale le long du pli du bifeuillet, sans atteinte au texte. Ce littérateur foncièrement marginal, qui évolua à l'écart des cénacles littéraires parisiens, eut bien des peines à monter ses pièces à Dijon comme à Paris.Mère et fillemet à nu "les sentiments de la famille débarassés du mouvement de personnages accessoires et du fracas d'une grande mise en scène" selon les propres mots de l'auteur. Les tentatives de Forneret dans cette lettre pour monter la pièceavec Hippolyte Hostein, alors directeur du théâtre de la Gaîté, demeurèrent vaines. La pièce fut créée l'année suivante au théâtre de Montmartre, et son auteur dépensa une fortune pour en faire la promotion. Elle aurait dû être jouée - avec Jamais, une autre de ses pièces désormais perdue - une nouvelle fois au Théâtre de l'Ambigu, qui revint sur son engagement. Bien familier des cours de Justice, Forneret attaqua avec succès son directeur Charles Desnoyers en 1856, qui se défendit en déclarant qu'il était "impossible de les mettre en scène, parce qu'elles étaient injouables". Près d'un siècle plus tard, ses oeuvres en majorité publiées à compte d'auteur et délaissées par ses contemporains, seront redécouvertes par les Surréalistes, qui proclamèrent enfin l'importance littéraire de Forneret au même titre que celles de Lautréamont etde Raymond Roussel. "Mon cher Monsieur Desolme, D'après notre conversation d'hier au sujet du renvoi de mon manuscrit, je regrette que M. Hostein en commettantcette action à la convenance, ne m'avait pas dit qu'il y avait moyen de s'entendre si je consentais à quelques modifications possibles, d'exigence scénique ; car je n'ai point la prétention d'avoir écrit un chef-d'oeuvre auquel il est défendu de retrancher ou d'ajouter un iota. Si donc, M. Hostein voulut bien prendre l'engagement de conserver le titre de ma pièce, les péripéties finales de chaque acte, et convenir entre nous, en une seule séance (si la chose est praticable) des changements à apporter à mon ouvrage [...] si au contraire, M. le Directeur de la Gaîté faisait une autre pièce de mon drame, au point que je dusse rougir de la signer, une oeuvre qui par cela seulement qu'elle ne serait plus la mienne, je me verrais contraint de me retirer ; en effet, que me resterait-il - je le demande - à vous, à tout homme de bonne logique et de bonne foi ? [...] je pars après-demain lundi, toutefois pour revenir bientôt si nous ne tombons pas d'accord, si résolu que je suis à ce queMère et filletrouve à se caser quelque part [...] - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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