‎Brian W. ALDISS ‎
‎L'interprète‎

‎ OPTA POCHE TRES BON ‎

Reference : AJ899J
ISBN : 2720101184


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Livre au trésor
M. Hubert Colau
Z.A. La Goguerie
28330 Authon-du-perche
France

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5 book(s) with the same title

‎De Nicola, Francesco.‎

Reference : 112096

‎Dionis Chrysostomi De Ilio non Capto Francesco Philelfo interprete, De Philosophia. De Philosopho. De Ornatu Philosophi Georgio Merula interprete. Il Ritorno dei Classici nell’Umanesimo 3.11.‎

‎ Firenze, SISMEL - Edizioni del Galluzzo 2020, 240x175mm, X- 372pagine, in brossura. Nuovo stato. ‎


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Phone number : 41 26 323 23 43

CHF30.00 (€32.16 )

‎LABBE Philippe (Borges 1607-1667 Paris, prof. jesuite de philosophie et de theologie)‎

Reference : HI246

(1648)

Librairie Ancienne Cerat - Chalandri - Athènes
Logo ILAB

Phone number : 00 30 210 3616330

EUR1,600.00 (€1,600.00 )

‎LESSEPS (Jean-Baptiste Barthélemy) ‎

Reference : PHO-2166

(1790)

‎Journal historique du voyage de M. de Lesseps, consul de France, employé dans l’expédition de M. le comte de la Pérouse, en qualité d’interprète du Roi ; Depuis l’instant où il a quitté les frégates Françoises au port Saint-Pierre & Saint-Paul du Kamtschatcka, jusqu’à son arrivée en France, le 17 octobre 1788. ‎

‎Paris, de l’Imprimerie Royale, 1790. 2 volumes in-8° (20 × 12,5 cm), demi veau ivoire, dos lisse avec pièces de titre et tomaison maroquin noir, (6)-VII-1-280 pp. ; 4 ff., 380 pp., VI pp. d’errata. Illustré de deux cartes dépliantes (Kamtschatka ; Route de M. de Lesseps) manque la planche dépliante (Caravane kamtschadale). Petits défauts, coins usés ‎


‎Lesseps accompagne La Pérouse en qualité d’interprète de russe lors de la grande expédition scientifique française autour du monde. Débarqué au port de Saint-Pierre-et-Saint-Paul du Kamtschatka (Petropavlovsk) en 1787, il est chargé de rapporter en France les journaux, cartes et dépêches de l’expédition. Il entreprend alors un voyage terrestre exceptionnel de près de 14 000 kilomètres, traversant le Kamtschatka, la Sibérie orientale, la Russie européenne puis la Baltique. À son arrivée à Paris, le 17 octobre 1788, il apprend la disparition tragique de ses compagnons. Son récit constitue de ce fait un témoignage capital et un complément indispensable à l’histoire du voyage de La Pérouse. Jean-Baptiste de Lesseps (Sète, 1766 – Lisbonne, 1834) suit très jeune son père, consul de France, à Hambourg puis à Saint-Pétersbourg ; dès l’âge de douze ans, il maîtrise le russe, l’allemand et l’espagnol. Après des études au collège jésuite de Versailles, il est nommé vice-consul de France à Cronstadt. Remarqué par l’ambassadeur de France en Russie, le comte de Ségur, il est chargé de porter à Versailles d’importantes dépêches, ce qui lui permet de rencontrer Paul Fleuriot de Langle, commandant en second de l’expédition de La Pérouse. Sur la demande expresse de ce dernier, et avec l’accord du ministre de la Marine, Lesseps est adjoint à l’expédition comme interprète franco-russe. Il poursuit ensuite toute sa carrière dans la diplomatie et meurt en service à Lisbonne. Il était l’oncle de Ferdinand de Lesseps. Ch-1A ‎

Phone number : 09 86 72 59 94

EUR800.00 (€800.00 )

‎LESSEPS (Jean-Baptiste Barthélemy) ‎

Reference : PHO-2142

(1790)

‎Journal historique du voyage de M. de Lesseps, consul de France, employé dans l’expédition de M. le comte de la Pérouse, en qualité d’interprète du Roi ; Depuis l’instant où il a quitté les frégates Françoises au port Saint-Pierre & Saint-Paul du Kamtschatcka, jusqu’à son arrivée en France, le 17 octobre 1788. ‎

‎Paris, de l’Imprimerie Royale, 1790. 2 volumes in-8° (20 × 13,5 cm), reliés en cartonnage postérieur, dos lisse avec pièces de titre, d’auteur et de tomaison, (6)-VII-1-280 pp. ; 4 ff., 380 pp., VI pp. d’errata. Illustré de deux cartes dépliantes (Kamtschatka ; Route de M. de Lesseps) et d’une planche dépliante (Caravane kamtschadale). Petits défauts, réparations aux faux-titre, titre et 1er feuillet. ‎


‎Lesseps accompagne La Pérouse en qualité d’interprète de russe lors de la grande expédition scientifique française autour du monde. Débarqué au port de Saint-Pierre-et-Saint-Paul du Kamtschatka (Petropavlovsk) en 1787, il est chargé de rapporter en France les journaux, cartes et dépêches de l’expédition. Il entreprend alors un voyage terrestre exceptionnel de près de 14 000 kilomètres, traversant le Kamtschatka, la Sibérie orientale, la Russie européenne puis la Baltique. À son arrivée à Paris, le 17 octobre 1788, il apprend la disparition tragique de ses compagnons. Son récit constitue de ce fait un témoignage capital et un complément indispensable à l’histoire du voyage de La Pérouse. Jean-Baptiste de Lesseps (Sète, 1766 – Lisbonne, 1834) suit très jeune son père, consul de France, à Hambourg puis à Saint-Pétersbourg ; dès l’âge de douze ans, il maîtrise le russe, l’allemand et l’espagnol. Après des études au collège jésuite de Versailles, il est nommé vice-consul de France à Cronstadt. Remarqué par l’ambassadeur de France en Russie, le comte de Ségur, il est chargé de porter à Versailles d’importantes dépêches, ce qui lui permet de rencontrer Paul Fleuriot de Langle, commandant en second de l’expédition de La Pérouse. Sur la demande expresse de ce dernier, et avec l’accord du ministre de la Marine, Lesseps est adjoint à l’expédition comme interprète franco-russe. Il poursuit ensuite toute sa carrière dans la diplomatie et meurt en service à Lisbonne. Il était l’oncle de Ferdinand de Lesseps. M4-Et3 ‎

Phone number : 09 86 72 59 94

EUR1,200.00 (€1,200.00 )

‎[Imprimerie de J.-A. Quillot] - ‎ ‎Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD‎

Reference : 33946

(1848)

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎


‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

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