‎[JOURNAUX 1848] ‎
‎Le Flâneur ‎

‎Paris, rue de la Harpe, 45, 3 mai 1848, in-folio, [2] ff. n. ch. ‎

Reference : 233425


‎Seul numéro paru. Dirigé par J. Montaigu."Les jours sont besogneux et demandent toutes nos pensées, toutes nos heures ; flânons, mais flânons en patriotes.". Hatin, 463. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

€200.00 (€200.00 )
Bookseller's contact details

Librairie Historique Fabrice Teissèdre
M. Fabrice Teissèdre
82, rue Bonaparte
75006 Paris
France

lecurieux@teissedre-librairie.fr

33 01 43 26 71 17

Contact bookseller

Payment mode
Others
Cheque
Others cards
Sale conditions

Les conditions d'achat sont celles en usage dans la librairie ancienne. Les commandes seront traitées par ordre d'arrivée et donneront lieu à une réponse de notre part en particulier quant à la disponibilité des ouvrages. Les envois se feront en recommandé et assuré à la charge du client.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎Le Flaneur des deux rives, bulletin d'études apolinariennes - [Apollinaire, Guillaume]‎

Reference : 2323

(1955)

‎Le Flaneur des deux rives, bulletin d'études apolinariennes. N° 5, mars 1955.‎

‎ 1955 Paris, Le Flaneur des deux rives, 1955. 24 x 16 cm, 34 (3) pp., plaquette agrafée.‎


‎Sommaire : Guillaume Apollinaire, André Derain / Henri Matisse / Lettre à Maurice Raynal - André Derain, Guillaume Apollinaire - Maurice Raynal, Les Peintres cubistes, par G. A. - André Billy, Un successeur des Templiers - Gabriel Fournier, Souvenirs sur Apollinaire - Dominique Combette, Entretien avec Michel Décaudin - Bernard Guillemain, Mémorial pour rire - Raymond Warnier, Louis Perceau critique d'Apollinaire - Pierre-Marcel Adéma, Ephéméride apollinarien. Bulletin de souscription joint. Bon exemplaire. ‎

Phone number : 01 48 24 13 55

EUR20.00 (€20.00 )

‎[APOLLINAIRE Guillaume]. LE FLÂNEUR DES DEUX RIVES. " Bulletin d'études apollinariennes ". ‎

Reference : 8533

‎LE FLÂNEUR DES DEUX RIVES. " Bulletin d'études apollinariennes ". Paris (20, rue Dauphine). Directeur : Pierre-Marcel Adéma. Secrétaire de rédaction : Michel Décaudin. In-8° agrafé. Couverture brique. 8 numéros (dont un double) ont paru en 7 livraisons, de mars 1954 à septembre-décembre 1955. (Destribats, 585) (Vasseur, 45)‎

‎COLLECTION COMPLÈTE EN TRÈS BON ETAT.Textes inédits ou rares d'Apollinaire. Textes et articles d'André Breton, Paul Léautaud, Max Jacob, Jean Cocteau, Pierre Mac Orlan, Pierre Albert-Birot, Louis de Gonzague Frick, André Salmon, Léopold Survage, André Derain, Pierre-Marcel Adéma, Michel Décaudin, Ralph Messac, Philippe Chabaneix‎


‎Collection complète du n° 1 au n° 8. Très propre.‎

Phone number : 06.10.17.78.84

EUR170.00 (€170.00 )

‎BALZAC Honoré de & HUART Louis & LEMOINE Edouard‎

Reference : 50224

(1841)

‎Physiologie du flaneur [Ensemble]Physiologie de l'employé [Ensemble] Physiologie de la femme la plus malheureuse du monde‎

‎Aubert & Lavigne 1841, In-18 (8,5x13,5cm), relié.‎


‎Edition originale de ces trois physiologies bien illustrées ; pour exemple la première physiologie contient 65 vignettes. Seule la Physiologie du flaneur porte une date. Physiologie du flaneur. Vignettes de Alophe, Daumier et Maurisset. Physiologie de l'employé. Vignettes par Trimollet. Physiologie de la femme la plus malheureuse... Vignettes par Valentin. Reliure en demi basane noire d'époque. Dos lisse orné de filets. titres dorés. Frottements. rares rousseurs éparses, sur un papier demeuré bien blanc. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR550.00 (€550.00 )

‎Anonyme (Léon Vanier ?)‎

Reference : 78187

(1888)

‎Le rêve d'un flaneur‎

‎Paris, Léon Vanier, Libraire-Editeur, 1888, 125x185mm, broché, 300p. Edition originale. Couverture défraîchie. Solide exemplaire. ‎


Phone number : (+32) 470 87 87 88

EUR50.00 (€50.00 )

‎ESPARBES, Georges d’‎

Reference : 63949

(1908)

‎[ Lot de 2 belles pièces autographes signées ] 1 L.A.S. de 3 pp., datée du 12 mai 1908: «Mon cher ami, il pleut, mais ton article sur le Briseur de Fers vient de nous apporter le soleil. Oh! mon cher ami, comme tu es gentil! comme je devine, en relisant ton article, le charmant parti-pris de ne voir que le bon côté de mon livre! C’est une page de camarade, évidemment, et non de critique, quoiqu’elle soit superbe et d’une habileté délicieuse. Car c’est de «l’habileté du cœur». Eh bien, tu as raison, après tout! Tu ne signales au public que les bonnes choses, puisqu’elles lui sont utiles. Leur démontrer que je n’ai pas de talent eût été peut-être un jeu d’artiste mais une grosse erreur de moraliste et de philosophe. J’ai un petit nombre, lentement, très lentement grandissant d’amis et de lecteurs. Ce que je leur dis depuis 15 ans ne peut que leur faire du bien, les raffermir ou les consoler. Je ne cherche pas à donner le goût du «militaire» mais de «l’énergique». Si j’y parviens, qu’importent mes fautes! Du reste, je connais, aussi bien et même mieux que quiconque, mes défauts. Tu peux me le mettre sous les yeux et en ajouter de nouveaux, quand tu me rencontreras. Je suis à ce point dénué de «vanité littéraire» que je t’écouterai […] Mon livre est noble et pur d’intentions, je l’ai écrit laborieusement. Il vaut bien ce qu’il coûte. Le reste n’est que de la fumée de cigare. Maintenant, je veux aller te serrer la main à l’Echo [ … ] En attendant, mon vieux Rar, je t’embrasse»; [ On joint: ] 1 réponse autographe signée au questionnaire du «Salon des Littérateurs», billet de 2 feuillets pré-imprimé: Maître idéal: «Prothée». Esthétique: «Un beau livre sur mes genoux». Prix rêvé: «Les ors et les argents sont fous! ». Devise artistique: «Simplement». Description de l’œuvre en vers de huit: «Parce que le bec de mes plumes, Dans l’orme agité du journal, Tirelire mes amertumes, Et lance un pi-huit matinal, Est-il dit qu’une œuvre m’est née? Alors j’ai volé ma journée… Parce que d’un bout de pastel, En un coin de mauve banlieue, J’esquisse le flâneur untel, Ai-je fait plus d’un quart de lieue, Vers la connaissance du bien? Holà, Dentu, je n’en sais rien! Œuvre, mot risible, oiseau rare. – Vais là-bas fumer un cigare»‎

‎2 pièces autographes signées à savoir: 1 L.A.S. de 3 pp., datée du 12 mai 1908: «Mon cher ami, il pleut, mais ton article sur le Briseur de Fers vient de nous apporter le soleil. Oh! mon cher ami, comme tu es gentil! comme je devine, en relisant ton article, le charmant parti-pris de ne voir que le bon côté de mon livre! C’est une page de camarade, évidemment, et non de critique, quoiqu’elle soit superbe et d’une habileté délicieuse. Car c’est de «l’habileté du cœur». Eh bien, tu as raison, après tout! Tu ne signales au public que les bonnes choses, puisqu’elles lui sont utiles. Leur démontrer que je n’ai pas de talent eût été peut-être un jeu d’artiste mais une grosse erreur de moraliste et de philosophe. J’ai un petit nombre, lentement, très lentement grandissant d’amis et de lecteurs. Ce que je leur dis depuis 15 ans ne peut que leur faire du bien, les raffermir ou les consoler. Je ne cherche pas à donner le goût du «militaire» mais de «l’énergique». Si j’y parviens, qu’importent mes fautes! Du reste, je connais, aussi bien et même mieux que quiconque, mes défauts. Tu peux me le mettre sous les yeux et en ajouter de nouveaux, quand tu me rencontreras. Je suis à ce point dénué de «vanité littéraire» que je t’écouterai […] Mon livre est noble et pur d’intentions, je l’ai écrit laborieusement. Il vaut bien ce qu’il coûte. Le reste n’est que de la fumée de cigare. Maintenant, je veux aller te serrer la main à l’Echo [ … ] En attendant, mon vieux Rar, je t’embrasse»; [ On joint: ] 1 réponse autographe signée au questionnaire du «Salon des Littérateurs», billet de 2 feuillets pré-imprimé: Maître idéal: «Prothée». Esthétique: «Un beau livre sur mes genoux». Prix rêvé: «Les ors et les argents sont fous! ». Devise artistique: «Simplement». Description de l’œuvre en vers de huit: «Parce que le bec de mes plumes, Dans l’orme agité du journal, Tirelire mes amertumes, Et lance un pi-huit matinal, Est-il dit qu’une œuvre m’est née? Alors j’ai volé ma journée… Parce que d’un bout de pastel, En un coin de mauve banlieue, J’esquisse le flâneur untel, Ai-je fait plus d’un quart de lieue, Vers la connaissance du bien? Holà, Dentu, je n’en sais rien! Œuvre, mot risible, oiseau rare. – Vais là-bas fumer un cigare»‎


‎Belle réunion de deux très intéressantes pièces autographes signées de l’écrivain Georges d’Esparbès (1863-1944). Fréquentant le Chat Noir, ami de Léon Bloy ou de Jean Moréas, Georges d’Esparbès exaltera l’héroïsme militaire. On joint une troisième pièce signée par son fils Robert (dit Asté d’Esparbès).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR295.00 (€295.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !