Paris, Amiot-Dumont, 1955 in-8, 396 pp., biblio., demi-chagrin bleu nuit, dos à nerfs, couv. cons. (reliure moderne). Très bon exemplaire.
Reference : 232990
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1 volume in-4° relié plein simili cuir éditeur décoré semis de fleurs de lys, vignette illustrée couronnée au centre, motifs floraux dans les écoinçons, tripe filet doré s'encadrement, tête dorée, signet. Sur papier bouffant. 364 p. + illustrations - Très bel état.
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1 vol. in-8° rel. plein cartonnage contemporain sous jaquette illlustrée, 378 p. + 1 cahier central d'illustrations noir et blanc, très bon état.
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La Table Ronde, 1981, in-8°, 378 pp, préface de Ghislain de Diesbach, 8 pl. de gravures hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
"Le malheur de Louis XVI fut d'accéder au trône à une époque où il était impossible de l'occuper sans faire exactement l'inverse de ce que réclamaient les Français, tant il est vrai que ce que le peuple demande est rarement ce qu'il veut. Les Français étaient grisés du mot de " liberté", mais chaque liberté réelle que Louis XVI leur accordait cessait de leur plaire dès qu'ils en jouissaient et le joug, dont ils avaient tout loisir de se plaindre, leur devenait d'autant plus intolérable qu'il s'allégeait. "Sous ses prédécesseurs", remarquait Soulavie, un de ses sujets tardivement repentis, "le monarque était l'objet du culte des Français ; sous Louis XVI, les Français devinrent l'objet du culte du monarque." Ainsi l'amour, en changeant de camp, avait-il préludé au divorce entre le Roi et la nation. "Livre de justice et de réparation", écrivit Bernard Faÿ lorsque, voilà plus de vingt ans, il me dédicaça un exemplaire de Louis XVI ou la fin d'un monde que les Editions de la Table ronde ont l'excellente idée de rééditer. La modestie de Bernard Faÿ l'empêchait d'ajouter : "le meilleur livre sur Louis XVI". Il m'appartient de le dire aujourd'hui." (Ghislain de Diesbach, préface)
Le Livre Contemporain, 1961, in-8°, 501 pp, reliure cartonnée brique de l'éditeur, sans la jaquette, bon état
"Le malheur de Louis XVI fut d'accéder au trône à une époque où il était impossible de l'occuper sans faire exactement l'inverse de ce que réclamaient les Français, tant il est vrai que ce que le peuple demande est rarement ce qu'il veut. Les Français étaient grisés du mot de " liberté", mais chaque liberté réelle que Louis XVI leur accordait cessait de leur plaire dès qu'ils en jouissaient et le joug, dont ils avaient tout loisir de se plaindre, leur devenait d'autant plus intolérable qu'il s'allégeait. "Sous ses prédécesseurs", remarquait Soulavie, un de ses sujets tardivement repentis, "le monarque était l'objet du culte des Français ; sous Louis XVI, les Français devinrent l'objet du culte du monarque." Ainsi l'amour, en changeant de camp, avait-il préludé au divorce entre le Roi et la nation."
Perrin, 1972, in-8°, 378 pp, 8 pl. de gravures hors texte, reliure skivertex bordeaux de l'éditeur, bon état
"Le malheur de Louis XVI fut d'accéder au trône à une époque où il était impossible de l'occuper sans faire exactement l'inverse de ce que réclamaient les Français, tant il est vrai que ce que le peuple demande est rarement ce qu'il veut. Les Français étaient grisés du mot de " liberté", mais chaque liberté réelle que Louis XVI leur accordait cessait de leur plaire dès qu'ils en jouissaient et le joug, dont ils avaient tout loisir de se plaindre, leur devenait d'autant plus intolérable qu'il s'allégeait. "Sous ses prédécesseurs", remarquait Soulavie, un de ses sujets tardivement repentis, "le monarque était l'objet du culte des Français ; sous Louis XVI, les Français devinrent l'objet du culte du monarque." Ainsi l'amour, en changeant de camp, avait-il préludé au divorce entre le Roi et la nation."