Paris, Baudouin frères, 1824 in-8, XIV-390 pp., demi-cartonnage gris à la Bradel, filets dorés (reliure de l'époque).
Reference : 229721
Fierro, 576 : "Tentative de justification des excès commis par Fréron lors de la répression qu'il exerça à Marseille et à Toulon d'octobre 1793 à janvier 1794". LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Baudouin Frères, 1824. In-8 de XIV et 390 pp.. Avec une notice sur la vie de Fréron et un discours préliminaire. Rousseurs éparses. Demi-veau blond d'époque, dos à nerfs très bien orné de filets dorés et fleurons à froid, pièces de titre et de tomaison noires, tranches marbrées. Quelques légers frottements.
Fréron était le filleul du roi de Pologne Stanislas Leczinski, neveu de l'abbé Royou, célèbre pamphlétaire royaliste durant la Révolution, il est directeur de "l'Année Littéraire" de 1776 à 1789, et fonde en 1790 "L'Orateur du Peuple", journal violemment antimonarchique auquel Marat collabore. Collection des Mémoires relatifs à la Révolution française.
Paris, Adrien Egron, octobre 1817. 2 ouvrages en 1 vol. in-8°, demi-basane verte, dos lisse orné de filets dorés, tranches jaspées. Reliure du XIXe s; Quelques petites épidermures. Bon exemplaire. (2) ff., xiv pp., (1) f. blanc, 390 pp.; xvj-167 pp. Quelques rousseurs.[D36]
Réunion de deux ouvrages publiés dans la collection des Mémoires relatifs à la Révolution française. Le Mémoire de Fréron est une justification de la répression qu'il avait exercée sur Marseille et Toulon pendant la Terreur. ce texte avait été publié pour la première fois en 1796. Quérard III, 211. Edition originale des Mémoires de Charles d'Autichamp, célèbre chef vendéen qui font le récit de sa tentative de soulever l'ouest de la France en 1815 pendant les Cent Jours. Tulard, 26; Lemière, 15.
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Paris, Baudouin frères 1824 xiv + 390pp., dans la série "Collection des mémoires relatifs à la Révolution Française" 16e livraison, 21cm., br.orig. (petit manque de papier en haut du dos) protégée par une couv. de papier cirstal, quelques rousseurs (texte toujours très bien lisible), bon état, G86725
FRERON, Citoyen, ex-Député à la Convention nationale et Commissaire du Gouvernement dans les départements
Reference : 16721
(1796)
1796 PARIS, Louvet / Marchant / du Louvre - An IV de la République française (1796) - In-8 - EDITION ORIGINALE, signée par l'auteur - 1/2 reliure postérieure - Dos à 4 nerfs avec titre et fleurons dorés - Exemplaire signé par l'auteur - Bien complet du fac-similé de lettre adressée au sous-préfet - 35 + 299 & VIII pages ((Les pièces justificatives occupent les pages 65 à 299) - rousseurs - Envoi rapide et soigné - 16721
Elie Fréron, Paris, 1754,Saint-Domingue, 1802 - Protégé du roi Stanislas( son parrain) et des filles de Louis XV), Louis-Stanislas Fréron fut un ardent révolutionnaire. D'abord proche de Danton, il fut ensuite envoyé par le Directoire pour soumettre les départements du midi. L'ouvrage relate les "sanglants exploits" des bandes royalistes formées à l'époque de la réaction thermidorienne: à Lyon en décembre 1794 ceux qui avaient occupé des fonctions publiques pendant la Terreur furent jetés dans le Rhône. Ce fut ensuite le tour d'Aix-en-Provence, puis de Marseille où la "Compagnie du Soleil", sous les ordres de Robin et avec la complicité du commandant Pagès, attaqua le fort de Saint-Jean. Parmi les pièces justificatives se trouvent divers témoignages de veuves ou de citoyens ayant échappé au massacre, des déclarations concernant Pagès et Manoly, le récit des massacres dans les prisons de Tarascon- PREMIERE ET UNIQUE PARTIE PUBLIEE - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
P., Baudouin Frères, 1824, in-8°, xiv-390 pp, reliure demi-basane havane, dos lisse avec filets dorés, pièces de titre et d'auteur basane noire, tranches mouchetées (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, dos lég. frotté, bon état (Coll. des Mémoires relatifs à la Révolution française)
"Tentative de justification des excès commis par Fréron lors de la répression qu'il exerça à Marseille et à Toulon d'octobre 1793 à janvier 1794" (Fierro, 576). — "(...) Outre sa carrière de journaliste, F. s'illustra surtout comme révolutionnaire. Malgré ses alliances royalistes, il prit part à tous les événements de la Révolution, après avoir renoué avec ses anciens camarades Desmoulins et Robespierre. Il fut chargé de plusieurs missions dans les départements, par exemple à Marseille en 1793, où, par des atrocités, il essaya avec Barras de soumettre cette ville à l'autorité de la Convention. Encore en 1793, lorsque les Anglais se furent emparés de la ville de Toulon, Fréron fut chargé de la reprendre. Il commença par changer le nom de Toulon en celui de Port-la-Montagne, et fut responsable de l'exécution de centaines de Toulonnais. Au mois de mars 1794, le Comité de Salut Public le rappela à Paris, où il fit partie du Club des Cordeliers, et fut lié à la faction de Danton et de Desmoulins, contre Robespierre. Lors de la chute de ce dernier, le 9 thermidor (27 juil. 1794), Fréron et Barras dirigèrent l'attaque contre l'hôtel de ville, citadelle des robespierristes. Toujours avec Barras après les événements du 1er prairial An III (20 mai 1795), il reçut l'ordre de désarmer les habitants du faubourg Saint-Antoine, qu'il tenta en vain de raser. Vers la fin de la Révolution, il essaya de faire valoir son élection à la Guyane au Conseil des Cinq-Cents mais il fut repoussé. Après la révolution du 18 brumaire, il n'eut qu'un poste médiocre dans l'administration des hospices, en dépit de ses rapports personnels avec les Bonaparte." (Lawrence Lynch, Dictionnaire des journalistes)