‎[ENFANTS TROUVES - HOSPICES]. ‎
‎[Recueil de pièces].‎

‎La surprise de la haine ; [Suivi de] L'Apologie du siècle ; [Suivi de] Pélopée ; [Suivi de] Le vice puni ou Cartouche [Recueil de pièces de théâtre 18ème]‎

‎ 1851 Couverture rigide 1 volume in-8, reliure plein veau, dos à 5 nerfs ornés, titres dorés, roulette dorée sur les coupes, tranches marbrées, quelques épidermures sur les plats. Ex-libris : « Bibliothèque de Monsieur d'Octeville ». DE BOISSY. La surprise de la haine. Paris, chez Prault Père, 1734. Titre, Approbation, 100 pages, petit manque au coin inférieur page 33, sans perte de texte, quelques brunissures légères des pages 65 à 80. Edition originale. [Suivi de] DE BOISSY. L'Apologie du siècle, ou Momus corrigé. Paris, chez Prault Père, 1734. Titre, 38 (4) pages. Les pages 33 à 40 sont détachées du cahier central, Edition originale. [Suivi de] PELLEGRIN. Pélopée. Paris, chez François le Breton, 1733. 6 feuillets non chiffrés (titre, épitre, préface, distribution), 69 (3) pages. Page de titre avec rabat mal coupé. Edition originale. [Suivi de] RACOT DE GRANDVAL, Nicolas. Le vice puni ou Cartouche. Paris, chez Pierre Prault, 1725. Titre, Avertissement, 119 pages (Dictionnaires argot-français et français-argot). Page de titre avec rabat mal coupé, sans perte de texte. Petites déchirures pages 3, 13, 31, sans perte de texte. A noter le dictionnaire de l'argot, particulièrement savoureux. Nouvelle édition revue et corrigée. Bon exemplaire.‎

‎ Bon état ‎

‎Recueil de pièces de théâtre ‎

‎ 1784 Couverture rigide 1 volume In- 8, reliure plein veau d'époque, dos lisse orné, pièce de titre rouge, titre doré, filets dorés sur les coupes, coiffe supérieure arasée, épidermures sur les plats, petit manque en tête à la charnière du second plat. MARMONTEL, Cléopatre. Paris, chez Moutard, 1784, xi (1) (faux titre, titre, préface, distribution), 71 pages. [Suivi de] GOLDONI, Le Bourru bienfaisant. Paris, chez la Veuve Duchesne, 1771, vi, 106 pages. [Suivi de] BARTHE, La mère jalouse. Paris, chez la Veuve Duchesne, 1772, titre, « dédicace » de l’auteur, 104 pages. Edition originale. [Suivi de] FAVART, L'Anglois à Bordeaux. Paris, Duchesne, 1763, titre, « dédicace » de l'auteur, 72 pages. Edition originale, quelques mouillures sur les derniers feuillets. [Suivi de] DORAT, Le malheureux imaginaire. Paris, chez Delalain, 1777, xv (titre, avant-propos), 109 (1) pages, petite déchirure page 89 avec manque de papier sur partie inférieure, sans perte de texte, mouillures sur une quinzaine de feuillets. Edition originale. [Suivi de] DORAT, Le célibataire. Paris, chez Delalain, 1776, titre, xxxii (frontispice gravé par Marillier, Épitre), 135 (1) pages. Edition originale. Bon exemplaire de ces éditions, pour certaines originales.‎

‎ Bon ‎

‎Les avantures de Pomponius - Recueil de pièces touchant la Régence - Second recueil de pièces sur la Régence - Brevet de garde des manuscrits du régiment de la calotte‎

‎ Un volume de 165x94 mm. reliure du XVIIIe siècle, pleine basane brune. Reliue frottée, avec manques de cuir en tête et en queue du dos, cois émoussés. Exemplaire gauchi. Intérieur avec papier diversement bruni, n'altérant jamais la lecture. Manque de papier en mages intérieures des pages 193-194 avec petite atteinte au texte.Les avantures de Pomponius : 11 pages manuscrites (dont le feuillet de garde), sans titre ni faux titre, (12 pages d'Epitre et de Table), 1 feuillet interfolié manuscrit, 222 pages. SUIVI DE : : Recueil de pièces touchant la Régence : 117 pages (dont feuillet de titre). Deux feuillets interfoliés, dont 3 manuscrits. SUIVI DE : Second recueil de pièces sur la Régence : 84 pages. SUIVI DE : Brevet de garde des manuscrits du régiment de la calotte. : Paris, Hotel ordinaire du régiment, Sans date; 12 pages. Les avantures de Pomponius, attribuées à LABADIE, et revu et publié par l'abbé Prévost pour cette édition, dont la collation correspond à l'édition de Rome, Chez les Héritiers de Ferrante et Pallavicini en 1724. La dernière partie, de la page 217 à 222 est titrée : "Brevet d'Inspecteur sur la Musique, & Danse du Régiment de la Calotte".Recueil de pièces touchant la Régence, composé des titres suivants : Les Noels de la Régence - Chanson sur la Régence - Sommaie des Chapitres contenus en La Grande Chronique de Sotermelée - Suivent les prophéties du tems - Relation abrégée de l'Etablissement de la Calotte - Couplets - Parodie de la dernière scène du 5e acte de Mitridate de Racine - Les Philippiques (avec notes manuscrites à l'encre, écriture ancienne, en marges). Second recueil de pièces sur la Régence contenant : Notes sur les avantures de Pomponius (Clés pour le texte en première partie) - Lettre de Monseigneur l'Eveque de Montpellier au Roi - Dialogue Hercule Thésée‎

‎Recueil des Pièces en 6 volumes.‎

‎État : Très bon état - Année : 1960 et 1961 - Format : in 8° - Tome(s) : 6 volumes - Pages : 374, 538, 399, 535, 507 et 371pp - Editeur : La Table Ronde - Lieu d'édition : Paris - Type : Cartonnage toile éditeur - Divers : Dos très (très) légèrement insolé (brunissure). Qqes très rares et petites taches sur les plats de couv. Intérieurs parfaits. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jean-anouilh/7331-recueil-des-pieces-en-6-volumes?lrb‎

‎Piéces roses, piéces noires, nouvelles pièces noires, piéces brillantes, pièces grinçantes, pièces costumées. Recueil en 6 volumes reliés sous emboîtage des pièces écrites et publiées par jean Anouilh avant 1961. Chaque volume est établi dans une reliure éditeur en toile crême avec, contre-collé sur le premier plat, une vignette dessinée par Jean Denis Malclès. ˮIl n'est pas de saison théâtrale sans qu'on reprenne une ou plusieures pièces de Jean Anouilh, consacrant ainsi cet auteur, tout de fantaisie et de raillerie, comme un grand écrivain classique, alors qu'il est notre contemporain. Ayant très vite compris les ressorts de la comédie humaine en notre siècle, il reste un des meilleurs antidotes à tous les pesants conformismes d'aujourd'hui.ˮ (Jean Mabire - Que Lire? vol. 3)‎

‎Recueil de pièces en prose et en vers. Prose et vers de Moisant de Brieux‎

‎Rare édition originale de ce recueil de pièces par l’érudit normand Moisant de Brieux, considéré comme l’un des plus grands poètes de son temps. Caen, Jean Cavelier, 1671. In-12 de (1) f.bl., (6) ff., 179 pp., (1), (1) f.bl. Relié en plein maroquin rouge, triple filet doré d’encadrement sur les plats, dos à nerfs finement orné, double filet doré sur les coupes, roulette dorée intérieure, tranches dorées sur marbrures. Lortic Fils. 140 x 80 mm.‎

‎Rare édition originale de ce recueil de pièces par l’érudit normand moisant de Brieux, considéré comme l’un des plus grands poètes de son temps. Catalogue Ruble, 559 ; Bulletin Morgand et Fatout, 6983 ; Brunet, III, 1791 ; Frère, Manuel du bibliographe normand, 155. « Edition originale, rare, de ce recueil de prose et de vers, renfermant entre autres un curieux morceau intitulé : ‘Cy est ly traitie de Chevalerie à tous allans et venans, translaté du latin en langue vulgaire’ (en l’année 1377) ». (Ruble) « Les poésies de Moisant de Brieux se composent de stances, d’odes, de sonnets, d’énigmes, d’épigrammes et de madrigaux. Les pièces en prose, qui occupent les pp. 103-172, ont plus d’intérêt que les pièces en vers. Elles sont presque toutes consacrées à l’étude de notre vieille langue, que le poète normand cultivait avec prédilection. On y trouve notamment le texte d’un ‘Traité de Chevalerie, à tous allans et venans’, qui, dit le texte, fut mis en français en l’an 1377. Le volume se termine par un ‘Tombeau de mademoiselle de La Luzerne et de monsieur de Ruqueville, son frère’. Mlle de La Luzerne était la correspondante ordinaire de Moisant de Brieux, celle à qui étaient adressées ses recherches philologiques ». (Catalogue Rothschild, n°1907). « Elevé dans la religion réformée, Jacques Moisant de Brieux (né en 1614 à Caen, mort en 1674 dans la même ville) fit ses études dans l’université de Sedan, dont tous les maitres professaient le protestantisme. Après avoir été quelque temps conseiller au Parlement de Metz, de Brieux revint à Caen, où florissait alors une foule de savants ; à leur exemple, il se livra avec ardeur à la culture des lettres. Il rassemblait chez lui tous les savants de Caen : Huet, Bochart, Tannegui Lefèvre, Heinsius, Chapelain, La Roque, Ségrais, etc. Ces réunions qui avaient lieu le lundi de chaque semaine et dans lesquelles on discutait des points d’histoire et de littérature, donnèrent naissance à l’Académie de Caen. M. de Brieux correspondait avec une partie des savants de l’Europe ». (Frère, Manuel du bibliographe normand, 154). Anobli par Louis XIV en 1644, Moisant reçoit ses lettres en 1665 confirmant sa noblesse « pour l'estime et la réputation qu'il s'est acquises parmi les Savants et les Gens de Lettres ». Plus que personne, il ranima le goût des lettres par la fondation de l’Académie des Belles-lettres de Caen (1652) qui s’est perpétuée sous ce titre. Moisant de Brieux passe pour un des meilleurs poètes latins de son temps ; Bayle, qui jugeait Moisant de Brieux « le plus grand poète qui fut en France et fort versé dans les Belles Lettres », parle de ses vers avec les plus grands éloges… « Tous les ouvrages de Moisant de Brieux sont rares et recherchés » ajoute Frère dans son Manuel du bibliographe normand. Bel exemplaire de cette rare œuvre littéraire finement relié en maroquin rouge par Lortic Fils. D’après nos recherches, seules 3 Institutions publiques françaises possèderaient cette originale : les Bibliothèques de Caen et de Rouen, et la B.n.F.‎