S.l., 1767; in-12, 285 pp., f. 95-96 présentant des traces d'humidité, basane fauve marbrée, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, tranches marbrées Dos frotté, avec dorure passée. (reliure de l'époque).
Reference : 215046
Notre édition, datée de 1767 comme l'originale, ne correspond pas à la collation donnée par Tchemerzine (à savoir [2] ff. n. ch. et 264 pp.), mais elle contient quand même deux lettres (les LIV et LV) dirigées contre Madame Geoffrin (sur trois ?), si bien qu'il est difficile de préciser sa position dans l'histoire éditoriale de ce texte posthume.L'on sait que, vexée, la salonnière fit rechercher et détruire tant qu'elle put des exemplaires de l'édition originale ; mais ce tirage fut-il concerné ? Cf. Tchemerzine-Scheler IV, 931 (pour l'originale). LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Librairie Historique Fabrice Teissèdre
M. Fabrice Teissèdre
82, rue Bonaparte
75006 Paris
France
lecurieux@teissedre-librairie.fr
33 01 43 26 71 17
Les conditions d'achat sont celles en usage dans la librairie ancienne. Les commandes seront traitées par ordre d'arrivée et donneront lieu à une réponse de notre part en particulier quant à la disponibilité des ouvrages. Les envois se feront en recommandé et assuré à la charge du client.
1 vol. in-12 sous cartonnage d'attente, s.n., s.l., 1767, 285 pp. et 1 f. blanc
Exemplaire à toutes marges de ce tirage, peut-être florentin, qui contient encore deux lettres (Lettre 54 et Lettre 55) visant Mme de Geoffrin. Mme de Geoffrin, qui tenait son célèbre salon, avait pourchassé impitoyablement les exemplaires de l'édition originale, publié à la même date, afin de les détruire, en raison des 3 lettres qui l'y attaquait. Etat très satisfaisant (cartonnage postéreur modeste, rares rouss., ex-libris ms. "L'avocat Delachenal", exemplaires à toutes marges méritant reliure).
A Rome,, , A Rome,, 1767 ; in-12, , bas. marbr. brune, dos orné, tranches rouges.(Reliure de l'époque). - VIII pp., 347 pp., 5 pp. n.ch. de table. Edition rare, parue immédiatement après l'originale de Florence. Une grande partie de l'édition de Florence publiée par l'abbé Guasco fut détruite par Madame Geoffrin qui en faisait rechercher les exemplaires avidement, car ils contiennent trois lettres contre elle! Cette édition romaine a dû échapper à sa vigilance, bien qu'elle contienne, elle aussi, ces 3 lettres ( aux pp. 162-176). La même année ( 1767), Madame Geoffrin fit paraître à Paris une édition expurgée. Au sujet de toute cette affaire et des relations de Mad. Geoffrin avec le douteux abbé Guasco, voir P. de Ségur. Le Royaume de la rue St Honoré. Mad. Geoffrin pp. 292 à 300. Tchemerzine p.462 signale un frontispice que cet ex. n'a point.