Paris, 1754-1806 18 pièces en un fort vol. in-8, demi-basane bouteille, dos lisse orné de guirlandes et fleurons dorés, tranches marbrées (rel. du XIXe s.). Coiffes frottées.
Reference : 204271
Recueil de succès de la scène parisienne de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe :I. FENOUILLOT DE FALBAIRE DE QUINGEY (Charles-Georges) : L'Ecole des moeurs, ou Les Suites du libertinage, drame en cinq actes, et en vers. Représentée à la Comédie Françoise le 13 mai 1776. Paris, Didot l'aîné, 1778, 60 pp. Cioranescu, XVIII, 28 487 (pour l'originale de 1776). - II. VOLTAIRE : Eriphile, tragédie, représentée par les Comédiens ordinaires du Roi, le vendredi 7 mars 1732. Pièce que l'auteur ne voulut point faire imprimer de son vivant. Avec les changemens qu'il fit après les représentations. Paris, 1779, 54 pp. Bengesco I, 53. Une des trois éditions parues l'année de l'originale : la pièce, au succès moins que médiocre, ne fut effectivement jamais imprimée du vivant de Voltaire. - III. MARTY (Joseph) : La Théâtromanie, comédie en un acte, mêlée de vaudevilles. Représentée pour la première fois sur le Théâtre des élèves, rue de Thionville, le dix-neuf février 1806. Paris, Allut, Martinet, 1806, 42 pp. un f. n. ch. - IV. MERCIER (Louis-Sébastien) : Natalie, drame en quatre actes. Paris, Ruault, 1776, 54 pp. Cioranescu, XVIII, 44 525 (pour l'originale de 1775). - V. BLIN DE SAINMORE (Adrien-Michel-Hyacinthe) : Joachim, ou Le Triomphe de la piété filiale. Drame en trois actes et en vers. Amsterdam, et se trouve à Paris, chez plusieurs libraires, 1776, 48 pp. Cioranescu, 12 141 (pour l'originale de 1775). - VI. MARCOUVILLE (Pierre-Augustin Lefèvre de) : L'Heureux déguisement, ou La Gouvernante supposée, opéra-comique en deux actes, mêlée d'ariettes. Représenté pour la première fois sur le Théâtre de la Foire S. Laurent le 7 août 1758. Avignon, Louis Chambeau, 1759, 40 pp. Cioranescu, 42 484 (pour l'originale de 1758). - VII. SEDAINE (Michel-Jean) : Le Déserteur, drame en trois actes et en prose, mêlé de musique. La musique par M***. Représenté pour la première fois par les Comédiens italiens ordinaires du Roi, le 6 mars 1771. Paris, N.-B. Duchesne, 1771, 44 pp. 59 766 (pour l'originale de 1769). - VIII. BOUTET DE MONVEL (Jacques-Marie) : Le Chevalier sans peur et sans reproche, ou Les Amours de Bayard, comédie héroïque en quatre actes ; représentée à Paris, par les Comédiens François, devant Leurs Majestés. Paris, & se trouve à Lyon, Mademoiselle Olyer, 1789, 74 pp .Cioranescu, 13 710 (pour une édition de 1790, l'originale est de 1788). - IX. FAVART (Charles-Simon) : La Rosière de Salenci, comédie en trois actes, mêlée d'ariettes ; représentée devant Sa Majesté à Fontainebleau, le 25 octobre 1769. Et à Paris, par les Comédiens ordinaires du Roi, le 14 décembre 1769. Paris, veuve Duchesne, 1770, 84 pp. Cioranescu, 28 314 (pour l'originale de 1769). - X. DIEULAFOY (Michel) : Défiance et malice, ou Le Prêté rendu, comédie en un acte et en vers, représentée, pour la première fois, sur le Théâtre français de la République, le 17 fructidor an IX [4 septembre 1801]. S.l.n.d. [Paris], 44 pp., l'adresse a été découpée sur la page de titre. - XI. MARSOLLIER DES VIVETIERES (Benoît-Joseph) : Adolphe et Clara, ou Les Deux prisonniers, comédie en un acte et en prose, mêlée d'ariettes. Représentée, pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre de l'Opéra-comique-national, rue Favart, le vingt-deux pluviôse an 7 [10 février 1799]. Musique du citoyen d'Aleyrac. Paris, Cailleau, an VII [1799], 37 pp. Cioranescu, 43 301. - XII. VIAL (Jean-Baptiste-Charles) : Clémentine, ou La Belle-mère, comédie en un acte et en prose, mêlée d'ariettes ; représentée, pour la première fois, au Théâtre Feydeau, le 2e jour complémentaire, an VII de la République française [18 septembre 1799]. Paris, Huet, Charon, an VIII [1800], 56 pp. Cioranescu, 63 303. Edition originale. - XIII. PIIS (Pierre-Antoine-Augustin) : La Fausse paysanne, ou L'Heureuse inconséquence ; comédie en trois actes, en vers, mêlées d'ariettes. Réprésentée pour la première fois, par les Comédiens italiens ordinaires du Roi, le jeudi 26 mars 1789. Musique de M. de Propiac. Paris, et se trouve à Bruxelles, J.-L. de Boubers, 1789, 70 pp., manquent les pp. 3-6. Cioranescu, 50 252. - XIV. ROCHON DE CHABANNES (Marc-Antoine-Jacques) : La Péruvienne, opéra-comique, représenté pour la première fois sur le Théâtre de la Foire S. Germain, le 23 mars 1754. La Haye, Pierre Paupie, 1754, 35 pp. Cioranescu, 53 667. Edition originale. - XV. FAVART : Soliman second, ou Les Trois sultanes, comédie en trois actes et en vers, représentée pour la première fois par les Comédiens italiens ordinaires du Roi, le 9 avril 1761 & remise au Théâtre le 19 décembre de la même année. Nouvelle édition. Paris, Didot l'aîné, 1786, 54 pp. Cioranescu, 28 305 (pour l'originale de 1762). - XVI. FENOUILLOT DE FALBAIRE DE QUINGEY : Les Deux avares, comédie en deux actes en prose, mêlée d'ariettes ; représentée pour la première fois à Fontainebleau, devant Sa Majesté, le samedi 17 octobre 1770. Musique de M. Grétry, [Paris], Ballard, 1770, [4]-58 pp. Cioranescu, 28 483. - XVII. DUMANIANT (Antoine-Jean-André Bourlin, dit) : Laure et Fernando, fait historique sous la date de 1738, en prose et en quatre actes, représenté, pour la première fois, à Paris, sur le théâtre de Molière, le 19 nivôse an X [9 janvier 1802]. Paris, Barba, an X - 1802, 37 pp. Cioranescu, 26 503. - XVIII. MOLIERE : Amphitryon, comédie en trois actes et en vers. Nouvelle édition. Paris, Delalain, 1775, 64 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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[De l'Imprimerie Nationale] - CONVENTION NATIONALE : BORIE ; DUFRICHE-VALAZE
Reference : 67694
(1793)
De l'Imprimerie Nationale, s.d. [ 1793 ], 171-210-2-64 pp.
Rare exemplaire de l'édition originale, bien complet des pièces comprises dans les trois inventaires (et constituant le "Premier recueil"). "Le premier recueil comprend les pièces trouvées aux Tuileries, le 20 août, et recueillies par le Comité de Surveillance". Bon état (dos frotté avec fente mais bon exemplaire par ailleurs). Tourneux, I, 3611
[Chez Alexandre Corréard,] - Collectif ; NAPOLEON ; LAS CASES, Comte ; BERTRAND, Comte ; GOURGAUD, Général Baron ; MONTHOLON, Général Comte ; FLEURY DE CHABOULON ; GOUJON, Alexandre ; etc.
Reference : 68089
(1821)
9 vol. in-8 reliure de l'époque demi-veau brun, dos lisse orné, Chez Alexandre Corréard, Paris, 1820-1822 : Tome 1 : 2 ff., 443 pp. avec deux planches hors texte (portrait en couleurs de Napoléon et Plan de Longwood) ; Tome 2 : 2 ff., 496 pp. avec deux planches hors texte (portraits de Las Cases avec son fils et de Gourgaud) ; Tome 3 : 2 ff., 459 pp. avec une planche hors texte, une carte dépliante et deux tableaux dépliants ; Tome 4 : 2 ff., 432 pp. avec 2 planches hors texte (portrait de Bertrand et Montholon) ; Tome 5 : 2 ff., 522 pp. ; Tomes 6 et 7 : Les Cent Jours. Mémoires pour servir à l'histoire de la Vie Privée du retour et du Règne de Napoléon en 1815, De l'Imprimerie de C. Roworth, A Londres, 1820, 2 ff., XVI-416 pp. ; 2 ff., 400 pp. ; Tomes 8 et 9 : 2 ff., 467 ; 2 ff., 432 pp. Rappel du titre complet : Titre complet : Recueil de pièces authentiques sur le Captif de Sainte-Hélène ; de Mémoires et Documens écrits ou dictés par l'empereur Napoléon ; suivis de Lettres de MM. le Grand-Maréchal comte Bertrand, le comte Las Cases, le général baron Gourgaud, le général comte Montholon, les docteurs Warden, O'Meara et Autommarchi, et plusieurs personnages de haute distinction.
Jolie série réunissant dans une agréable reliure du temps les 9 premiers tomes de cet important recueil. Les tomes 10 à 12, ici manquants, parurent soit chez un autre éditeur, soit plus tardivement, en 1825. Dans notre exemplaire, les Mémoires sur les Cent Jours par Fleury de Chaboulon sont dans l'une des toutes premières éditions de Londres, antérieure d'un an à l'édition de Corréard. Bon ensemble en reliure décorative, réunissant les 9 premiers tomes et bien complet des 7 planches hors texte et de la carte dépliante (notice collé en garde du premier volume, qq. petit frott. en dos et coupes, bon exemplaire par ailleurs).
Collectif ; DUCHESSE DE MAZARIN, Louise-Jeanne de DURFORT DE DURAS
Reference : 66238
(1779)
1 vol. in-8 cartonnage vert d'époque recueillant 35 pièces manuscrites de différents formats, relatives aux dépenses faites dans le Duché de Mazarin Année 1779 à 1780
Plusieurs pièces sont signées de Louise-Jeanne de Durfort de Duras, Duchesse de Mazarin (1735-1781), l'un des plus grandes collectionneuses de son temps. Les autres pièces sont signées par son "Intendant et Fondé de la Procuration générale" de Madame la Duchesse de Mazarin, et certaines également signées par Dayot, Procureur et Receveur Général du Duché. Ce recueil de pièces relatives aux dépenses du Duché de Mazarin (ancien duché de Rethel devenu Duché de Mazarin de 1683 à la Révolution), est indiqué sous le numéro 360 du Catalogue de vente des manuscrits et livres de la Succession de l'historien et marchand Amans-Alexis Monteil (1769-1850). On peut également relever sur le premier feuillet manuscrit la mention manuscrite "ex collectione Mesr. A Claudin", où l'on reconnaît la signature du grand expert et érudit Anatole Claudin (1833-1906), qui a barré sur la pièce de titre au premier plat la mention "Mt. apprt. à Mr. Monteil" et a apposé sa signature sur la droite. Bon état (la couverture a été plastifiée dans la seconde partie du XXe siècle, bon état par ailleurs) pour ce recueil de belle provenance.
Rare édition originale de ce recueil de pièces par l’érudit normand Moisant de Brieux, considéré comme l’un des plus grands poètes de son temps. Caen, Jean Cavelier, 1671. In-12 de (1) f.bl., (6) ff., 179 pp., (1), (1) f.bl. Relié en plein maroquin rouge, triple filet doré d’encadrement sur les plats, dos à nerfs finement orné, double filet doré sur les coupes, roulette dorée intérieure, tranches dorées sur marbrures. Lortic Fils. 140 x 80 mm.
Rare édition originale de ce recueil de pièces par l’érudit normand moisant de Brieux, considéré comme l’un des plus grands poètes de son temps. Catalogue Ruble, 559 ; Bulletin Morgand et Fatout, 6983 ; Brunet, III, 1791 ; Frère, Manuel du bibliographe normand, 155. « Edition originale, rare, de ce recueil de prose et de vers, renfermant entre autres un curieux morceau intitulé : ‘Cy est ly traitie de Chevalerie à tous allans et venans, translaté du latin en langue vulgaire’ (en l’année 1377) ». (Ruble) « Les poésies de Moisant de Brieux se composent de stances, d’odes, de sonnets, d’énigmes, d’épigrammes et de madrigaux. Les pièces en prose, qui occupent les pp. 103-172, ont plus d’intérêt que les pièces en vers. Elles sont presque toutes consacrées à l’étude de notre vieille langue, que le poète normand cultivait avec prédilection. On y trouve notamment le texte d’un ‘Traité de Chevalerie, à tous allans et venans’, qui, dit le texte, fut mis en français en l’an 1377. Le volume se termine par un ‘Tombeau de mademoiselle de La Luzerne et de monsieur de Ruqueville, son frère’. Mlle de La Luzerne était la correspondante ordinaire de Moisant de Brieux, celle à qui étaient adressées ses recherches philologiques ». (Catalogue Rothschild, n°1907). « Elevé dans la religion réformée, Jacques Moisant de Brieux (né en 1614 à Caen, mort en 1674 dans la même ville) fit ses études dans l’université de Sedan, dont tous les maitres professaient le protestantisme. Après avoir été quelque temps conseiller au Parlement de Metz, de Brieux revint à Caen, où florissait alors une foule de savants ; à leur exemple, il se livra avec ardeur à la culture des lettres. Il rassemblait chez lui tous les savants de Caen : Huet, Bochart, Tannegui Lefèvre, Heinsius, Chapelain, La Roque, Ségrais, etc. Ces réunions qui avaient lieu le lundi de chaque semaine et dans lesquelles on discutait des points d’histoire et de littérature, donnèrent naissance à l’Académie de Caen. M. de Brieux correspondait avec une partie des savants de l’Europe ». (Frère, Manuel du bibliographe normand, 154). Anobli par Louis XIV en 1644, Moisant reçoit ses lettres en 1665 confirmant sa noblesse « pour l'estime et la réputation qu'il s'est acquises parmi les Savants et les Gens de Lettres ». Plus que personne, il ranima le goût des lettres par la fondation de l’Académie des Belles-lettres de Caen (1652) qui s’est perpétuée sous ce titre. Moisant de Brieux passe pour un des meilleurs poètes latins de son temps ; Bayle, qui jugeait Moisant de Brieux « le plus grand poète qui fut en France et fort versé dans les Belles Lettres », parle de ses vers avec les plus grands éloges… « Tous les ouvrages de Moisant de Brieux sont rares et recherchés » ajoute Frère dans son Manuel du bibliographe normand. Bel exemplaire de cette rare œuvre littéraire finement relié en maroquin rouge par Lortic Fils. D’après nos recherches, seules 3 Institutions publiques françaises possèderaient cette originale : les Bibliothèques de Caen et de Rouen, et la B.n.F.
Sans lieu, , 1735. In-4 manuscrit (17 x 22 cm) de (1)-399-(6) pp. à 16 lignes par page, table, veau fauve, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches dorées sur marbrure, triple filet doré d'encadremnt et fleurons aux angles sur les plats, signet de soie vert (reliure de l'époque).
Précieux recueil calligraphié de pièces satiriques daté 1735 qui couvre une période courte mais riche en événements dont le mouvement convulsionnaire autour de la tombe du diacre François de Pâris (1727-1732) ou la célèbre affaire de la demoiselle Cadière et du Père Girard (1731) accusé de subornation, traduits en épigrammes et chansons anonymes :Observations sur la Déclaration du Roy du 24 may 1730 au sujet de la bulle Unigenitus, Mémoire qui a causé la disgrâce de Messieurs les ducs d'Epernon et de Gesvres, Parodie de la lettre écrite le 22 juillet 1730 par le Père Girard à la demoiselle Cadière - Chanson sur l'air que je regrette mon amant, Chanson sur le Père Girard et Mademoiselle Cadiere sur l'air La Faridondon, Fable du Corbeau et de la colombe, Sonnet de Mademoiselle Cadière, Imprécations contre le Parquet du Parlement d'Aix, Épitaphe de Monsieur Paris par un jésuite, Épigramme au sujet de la fermeture du Cimetière de Saint Médard, Chanson sur Monsieur Herault Lieutenant Général de Police, Chanson sur la mort du Père Girard, Chanson sur l'exil de Monsieur l'abbé Pucelle, Lucifer dédommagé sur les miracles de Monsieur l'abbé Pâris, Chanson sur le voyage de Voltaire à Philisbourg par Monsieur de Montcrif etc.« Le poème satirique au XVIIIe siècle (…) se décline de mille manières. Ces textes se réclament des genres littéraires les plus divers, étant souvent des parodies de formes connues (…) on les chantera sur des airs à la mode, que ce soit "Joconde", "l’air des Pendus", "l’Alleluia". Le texte satirique surgit de nulle part, l’auteur anonyme se gardant bien de se faire connaître pour d’évidentes raisons. (…) il s’est trouvé des collectionneurs plus systématiques pour recueillir soigneusement toute cette littérature clandestine, parfois en se contentant d’accumuler les supports qui leur sont tombés entre les mains, dans un grand désordre d’écritures et de formats de papier. Cette pratique de collecte, à l’usage, se révèle plus rare qu’on ne pourrait le penser. Plus souvent les amateurs fortunés ont chargé un copiste de transcrire ces textes dispersés en leur donnant l’uniformité d’une écriture unique et la régularité de la disposition chronologique. Preuve que l’on tient à ces recueils, ils sont assez souvent par la suite enchâssés dans de superbes reliures. Ainsi naissent les « chansonniers » aux titres divers (Recueil de chansons choisies en vaudevilles pour servir à l’histoire anecdote ; Recueil de pièces sur les affaires du temps ; Recueil de poésies historiques et satiriques, chansons, parodies et autres pièces sur les affaires du temps et différents sujets, etc.) mais ayant même finalité. Il se trouvera même pour finir des « libraires » pas trop regardants sur le respect dû aux règlements de la police des livres pour donner forme imprimée à ces petits textes en des anthologies aux formes variées. Mais cet ultime avatar demeure marginal et on peut dire qu’une caractéristique fondamentale de cette production multiforme est d’être restée manuscrite » (Henri Duranton).Pâles mouilures marginales sur quelques feuillets, épidermures sur le plat supérieur et large mouillure sur le plat inférieur, coins émoussés.Henri Duranton, Textes versifiés satiriques du XVIIIe siècle, Université Jean Monnet Saint Étienne, 2012.