‎BREITMAN, Michel.‎
‎D'exil en exil.‎

‎Paris : Denoël, 1970 In-8, broché, couverture imprimée.‎

Reference : 41758


‎A l'état de neuf. Edition originale. Un des 20 exemplaires du tirage de tête sur vélin pur fil Lafuma Navarre. ‎

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M. Michel Bouvier
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‎BREITMAN MICHEL‎

Reference : RO40132083

(1970)

‎D'EXIL EN EXIL‎

‎Denoël. 1970. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 250 pages. Envoi manuscrit de l'auteur en page de faux-titre. Ouvrage de Service de Presse (2e plat perforé).. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi‎


‎Roman. Adeline et Corentin s'aiment, comme seuls savent aimer les enfants. Ils vivent dans cet état de grâce, dans cet autre monde, cette île perdue et misérable au bout des océans où rien ne vient les troubler. (...) Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi‎

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Phone number : 05 57 411 411

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‎BREITMAN MICHEL.‎

Reference : R150204255

(1970)

‎D EXIL EN EXIL‎

‎DENOEL. 1970. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 250 pages- 2 dernières pages légèrement tâchées- dos jauni. . . . Classification Dewey : 0-GENERALITES‎


‎ Classification Dewey : 0-GENERALITES‎

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‎HUGO Victor -‎

Reference : 4703

‎Oeuvres Romanesques, Dramatiques Et Poétiques, Volume 32, Oeuvres Politiques III, Actes Et Paroles, Pendant L'Exil 1852-1870 (Suite), Depuis L'Exil 1870-1884, Éditions Edito-Service, Genève, 1964-1970‎

‎ 12,5x20,5 cm, 485 pages, état neuf, plein cuir bistre, tabac foncé, dos avec pièces de titre et entre nerfs dorés, tranchefile et signet, plats enluminés, portrait en frontispice, Collection distribuée par le Cercle du Bibliophile, imprimé en Suisse, dessins et gravures à pleine page tirés de l'édition de la "Librairie du Victor Hugo illustré" de 1895, ouvrage réalisé d'après les maquettes de Gilbert Gilliéron - ‎


‎Actes et paroles - Pendant l'exil est un recueil publié en 1875 de textes de Victor Hugo : discours, déclarations publiques et textes divers (souvent parus dans la presse) entre 1852 et 1870. Ces oeuvres, comme l'indique le titre, ont été écrites pendant son exil de 1851 à 1870. Actes et paroles - Pendant l'exil, que complètent Actes et paroles - Avant l'exil et Actes et paroles - Depuis l'exil, dévoile la pensée politique hugolienne et son engagement public durant le Second Empire depuis ses lieux d'exil successifs. Pour bibliophile, fin lettré, lecteur passionné. ‎

Librairie Marco Polo - Saint Ismier

Phone number : 04 76 52 56 20

EUR22.00 (€22.00 )

‎HUGO Victor & HUGO Adèle‎

Reference : 70986

(1856)

‎Lettre autographe signée à la veuve du sculpteur David d'Angers : "Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde"‎

‎Hauteville House 11 et 13 mai 1856, 14x21,5cm, une feuille.‎


‎Lettre autographe signée de Victor Hugo datée du 13 mai 1856 à la suited'une lettre inédite de Madame Victor Hugo à Madame David d'Angersdatée du 11 mai. 4 pages sur un feuillet remplié à filigrane "Barbet Smith Street Guernesey". Publiée dans Correspondance de Victor Hugo, Paris, année 1856, p. 246 Dans cette lettreimprégnée des apparitions et spectres qui hantent lesContemplationsrécemment publiées, Victor Hugo s'adresse à la veuve de son grand ami le sculpteur David d'Angers, fervent républicain et artiste particulièrement admiré des romantiques. En pleine crise mystique, Hugo parle à l'ombre du sculpteur à qui il dédia de sublimes poèmes dansLes feuilles d'automneainsi queLes rayons et les ombres et réclame auprès de sa veuve son portrait favori, un buste en marbre jadis sculpté par David d'Angers. Après l'expulsion des proscrits de l'île de Jersey,VictorHugo fait l'achat d'Hauteville House grâce au succès desContemplationset apprend avec tristesse la disparition d'un ami cher.Il écrit à la veuve du sculpteur sur le même feuillet que sa femme Adèle, également liée avec la famille de David d'Angers, créateur d'un médaillon à son effigie : «Vous êtes la veuve de notregrand David d'Angers, et vous êtes sa digne veuve comme vous avez été sa digne femme». Le sculpteur de renom s'était déjà lié au premier salon romantique de Nodier à l'Arsenal et fréquentait presque quotidiennement Hugo à la fin des années 1820 dans l'ambiance bonapartiste et bon enfant de la rue Notre-Dame des Champs, en compagnie des frères Devéria, Sainte-Beuve, Balzac, Nanteuil et Delacroix. En 1828, l'écrivain avait posé avec bonheur dans l'atelier de David d'Angers rue de Fleurus, pour un médaillon puis un buste qui avaient été suivis de deux sublimes poèmes célébrant le talent du sculpteur dansLes Feuilles d'Automne etLes rayons et les ombres.De tous ses portraits pourtant nombreux, il chérissait plus que tout autre son buste de marbre signé David d'Angers et n'hésite pas à le réclamer à sa veuve : «Avant peu, peut-être, madame, ma famille vous demandera de lui rendre ce buste qui est ma figure, ce qui est peu de chose, mais qui est un chef-d'uvre de David, ce qui est tout. C'est lui encore plus que moi, et c'est pour cela que nous voulons l'avoir parmi nous». De ces séances de pose avec le sculpteur naquirent de fructueuses conversations esthétiques et politiques où s'était affirmée leur aversion commune pour la peine de mort. Ils assistèrent au ferrement des galériens qui rejoignaient Toulon depuis Paris, décrit par Hugo dans deux chapitres duDernier jour d'un condamné. Victime de l'exil comme Hugo, David d'Angers était rentré à Paris avant de rejoindre le monde des morts: «Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde, comme je vois sa grande vie dans l'histoire sévère de notre temps». La «grande vie» de David d'Angers fut consacrée à façonner les effigies des hommes illustres, par un subtil équilibre de ressemblance et d'idéalisation. Le sculpteur prend finalement place dans le panthéon personnel de Victor Hugo, lui qui avait orné le fronton du véritable Panthéon des grands hommes où repose aujourd'hui l'écrivain: «David est aujourd'hui une figure de mémoire, une renommée de marbre, un habitant du piédestal après en avoir été l'ouvrier. Aujourd'hui, la mort a sacré l'homme et le statuaire est statue. L'ombre qu'il jette sur vous, madame, donne à votre vie la forme de la gloire». C'était en effet à l'ombre des grands hommes qu'Hugo vécut son exil à Jersey, loin du tumulte de la capitale et dans le silence ponctué par les embruns frappant les carreaux. Hugo s'était plongé dans l'occulte et parlait aux disparus :«David est une des ombres auxquelles je parle le plus souvent, ombre moi-même», déclare-t-il, rappelant le poème final desContemplations, «Ce que dit la bouche d'ombre», dicté au poète grâce au procédé spirite des «tables tournantes». Alors au sommet de leur popularité, les tables se pratiquaient dans tous les salons de Paris, jusque chez l'empereur aux Tuileries et à Compiègne. Trois ans auparavant, il s'était ému de pouvoir converser avec sa fille disparue, Léopoldine, et lui avait érigé un monument poétique, lesContemplations, dont les Hugo profitaient du triomphe : «Je suis heureux que le livre desContemplationsait été lu par vous. Vous y avez retrouvé nos chers souvenirs et nos aspirations communes. L'exil a cela de bon, qu'il met le sceau sur l'homme et qu'il conserve l'âme telle qu'elle est». Ses conversations nocturnes s'étendirent bientôt à une cohorte d'illustres personnages, qui communiquaient avec la famille Hugo par les craquements d'un guéridon. Lors de séances quasi-quotidiennes, Hugo avait invoqué l'âme de Chateaubriand, Dante, Racine, Annibal, André Chénier, Shakespeare, Molière, Aristote, Lord Byron, Louis XVI, Napoléon 1er, ou encore Jésus-Christ: «c'est seulement vers les ombres que je me tourne, car c'est là qu'est la gloire, la fierté, la grandeur des âmes, la lumière; et il y a maintenant plus de vie dans les morts que dans les vivants» confie-t-il à la veuve du sculpteur. David d'Angers avait atteint l'éternité à laquelle ils aspiraient tous deux à travers les mots et la matière, demeurant à jamais présent dans ses souvenirs et les portraits marmoréens qu'il sculpta pour lui. Au travers des lignes, se dévoile le poète desContemplations, l'homme endeuillé et toujours meurtri par la disparition de sa fille Léopoldine et de son cher ami.Hugo se livre ici à un magnifique mouvement de lyrisme épistolaire, le sculpteur angevin ayant laissé à la postérité les plus beaux portraits de l'écrivain. Bien des années plus tard,Victor Hugo lui-même fut placé en grande pompe au Panthéon des grands hommes, dont son ami David d'Angers avait orné le fronton. "Guernesey, 13 mai [1856]. Je ne veux pas, madame, que cette lettre parte sans vous porter mon remerciement, mon respect et mon souvenir. Vous êtes la veuve de notregrand David d'Angers, et vous êtes sa digne veuve comme vous avez été sa digne femme. À cette heure, toutes les fois que je me tourne vers la patrie, c'est seulement vers les ombres que je me tourne, car c'est là qu'est la gloire, la fierté, la grandeur des âmes, la lumière; et il y a maintenant plus de vie dans les morts que dans les vivants. David est une des ombres auxquelles je parle le plus souvent, ombre moi-même. Mon exil est comme voisin de son tombeau, et je vois distinctement sa grande âme hors de ce monde, comme je vois sa grande vie dans l'histoire sévère de notre temps. Soyez fière, madame, du nom grave et illustre que vous portez. David est aujourd'hui une figure de mémoire, une renommée de marbre, un habitant du piédestal après en avoir été l'ouvrier. Aujourd'hui, la mort a sacré l'homme et le statuaire est statue. L'ombre qu'il jette sur vous, madame, donne à votre vie la forme de la gloire. Je suis heureux que le livre desContemplationsait été lu par vous. Vous y avez retrouvé nos chers souvenirs et nos aspirations communes. L'exil a cela de bon, qu'il met le sceau sur l'homme et qu'il conserve l'âme telle qu'elle est. Avant peu, peut-être, madame, ma famille vous demandera de lui rendre ce buste qui est ma figure, ce qui est peu de chose, mais qui est un chef-d'uvre de David, ce qui est tout. C'est lui encore plus que moi, et c'est pour cela que nous voulons l'avoir parmi nous. Je mets à vos pieds ma tendre et respectueuse amitié. post scriptum inédit :est-ce que vous seriez être assez bonne pour faire jeter cette lettre à la poste. Mille remerciements, espérons, Madame. V.H." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR7,500.00 (€7,500.00 )

‎CAMUS (Albert)‎

Reference : 28454

(1957)

‎L'Exil et le Royaume‎

‎ Paris, Gallimard, (4 mars) 1957. 1 vol. (120 x 190 mm) de 231 p., [3] et 1 f. Broché, non coupé. Édition originale. Un des 210 exemplaires sur pur fil (n° 146). Envoi signé : " à Monsieur Gian-Franco Zaffrani, en très cordial et fidèle hommage, Albert Camus ". ‎


‎Les six nouvelles de L'Exil et le royaume (La Femme adultère, Le Renégat, Les Muets, L'Hôte, Jonas et La Pierre qui pousse) furent toutes rédigées entre 1954 et 1955. La Chute, à l'origine, en était une septième, avant que Camus n'en fasse un roman entier - comme le rappelle le prière d'insérer, daté de février 1957 : « La Chute, avant de devenir un long récit, faisait partie de L'Exil et le Royaume. Ce recueil comprend six nouvelles (...). Un seul thème pourtant, celui de l'exil, y est traité de six façons différentes, depuis le monologue intérieur jusqu'au récit réaliste. Les six récits ont d'ailleurs été écrits à la suite, bien qu'ils aient été repris et travaillés séparément. Quant au royaume dont il est question aussi, dans le titre, il coïncide avec une certaine vie libre et nue que nous avons à retrouver, pour renaître enfin. L'exil, à sa manière, nous en montre les chemins, à la seule condition que nous sachions y refuser en même temps la servitude et la possession. » Le recueil est dédié - c'est le seul - à sa femme, Francine. Le fil directeur en est bien l'exil, forcé ou volontaire, d'un personnage central qui, "qu'on le croise dans les quartiers ouvriers d'Alger, dans un quartier bourgeois de Paris ou dans un village du Brésil, peine à retrouver un sens à sa vie. Les hommes et les femmes chez Camus sont en perpétuelle interrogation, pour ne pas dire introspection - c'est vrai partout, et peut-être plus encore prégnant encore chez Janine, La Femme adultère, qui semble être exilée d'elle-même et pourtant actrice de son destin (…). L'Hôte est une nouvelle qui se termine avec cette phrase qui a valeur universelle, qui dit beaucoup de Camus lui-même : 'Dans ce vaste pays qu'il avait tant aimé, il était seul'. Comme une confidence à son malheur." (in Dictionnaire amoureux, p. 164). Exemplaire de Gian-Franco Zaffrani, Secrétaire général de la RAI et fondateur du Prix Italia, aujourd'hui encore l'un des prix internationaux les plus importants dans le domaine : il récompense la qualité, la créativité, et l'innovation dans les programmes radiophoniques, télévisuels et numériques sur le web. Le prix Italia se déroule chaque année au mois de septembre, durant une semaine, dans une ville italienne d'art et de culture. La première édition s'est tenue à Capri en 1948. Camus s'y rendra en 1954, sur l'invitation de l'Association culturelle italienne, donnant des conférences à Turin, Gênes et Rome, dans la " joie à la pensée de retrouver l'Italie. Depuis 1938, date de mon dernier séjour, je ne l'avais pas revue. La guerre, la résistance, Combat, et toutes ces années de répugnant sérieux. Des voyages, mais instructifs et où le coeur se taisait. Il me semblait que ma jeunesse m'attendait en Italie, et des forces nouvelles, et la lumière perdue" (Carnets III). ‎

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