‎FARRERE. Claude - LOUYS. Pierre. ‎
‎Correspondance manuscrite de Claude Farrère à Pierre Louÿs, autour de la littérature.‎

‎ 1905 1905 Farrère et Louÿs se sont rencontrés lors d’un concours donné par un journal et auquel Farrère, connu à l’époque sous le nom de Charles Bargone, brillant officier de Marine, a envoyé un manuscrit. Cette oeuvre remporta un succès notable et elle parut quelques temps après, dans son premier recueil de contes, intitulé Fumée d’opium. Pierre Louÿs, charmé par cet écrivain de six ans son cadet, lui offre même de le préfacer. Ils assurèrent ensuite une correspondance régulière, dans laquelle Louÿs enseigna les rudiments du métier d’écrivain au néophyte, avec un conseil particulier: recopier plusieurs fois ses manuscrits. Bon élève, Farrère, qui était déjà à l’école d’un autre Pierre, Loti, ne tarda pas à remporter le prix Goncourt, en 1905, avec les Civilisés, trois années après la parution de son premier ouvrage. Comme un symbole, Farrère préfaça et compléta le dernier ouvrage de Pierre Louys, paru à titre posthume en 1927, Psyché, dont on retrouve plusieurs évocations dans ces lettres. ‎

Reference : 11475


‎Nous présentons une correspondance autour de la littérature, composée de 18 lettres autographes et de 3 télégrammes de Claude Farrère à Pierre Louys, entre 1908 et 1912, témoignant d’une réelle proximité entre les deux poètes. Ces lettres, écrites sur papier blanc ou bleu, parfois à en-tête, sont souvent accompagnées de leurs enveloppes, adressées à Pierre Louys, 29, rue de Boulainvilliers à Paris, et au Grand Hotel de Tamaris, la plupart signées Fargone. Ce lien entre les 2 écrivains a été créé par la littérature et continue d’être entretenu par la littérature: il s’envoient régulièrement des manuscrits, se tiennent informés et en détail des avancées des travaux de chacun. Dans deux lettres, Farrère envoie un manuscrit à Louÿs, lui demandant de le lire une dernière fois avant de l’envoyer à Fayard. Farrère insiste dans une autre lettre pour que Louÿs maintienne le titre La femme et le pantin - qui se révèlera un de ses plus grands succès - alors que son éditeur souhaitait le changer. Farrère y demande aussi plus simplement des conseils d’ordre grammatical, rappelant le lien de maître à élève qui les a longtemps uni.Pierre Louÿs et Claude Farrère partageaient une amitié pleine d’admiration réciproque. 3 télégrammes pour accuser réception de colis et un pour lui annoncer l’envoi de deux paquets, qu’il doit lire, juger et déposer chez Fayard. Lettre (1911, Beyrouth), lettre rédigée depuis Beyrouth et le cuirassier Ernest Renan, il raconte la vie à bord et recommande un des ses articles.Lettre (1910) Farrère essaye de convaincre Louÿs, de garder le titre La Femme et le pantin, que son éditeur souhaite lui faire changer. Il parle ensuite de stratégie militaire et d’armement. Lettre, dans laquelle il mentionne le roman Psyché que Louÿs est en train d’écrire et qui paraitra à titre posthume, préfacé et terminé par cf, mentionné dans plusieurs lettres auparavant.lettre (1908) a propos d’un concours littérairelettre (1908) à propos d’un concours littérairelettre (1908) toujours à propos du concours, organisé par le journal NiveCarte postale (1908) pour une demande de date lui manquant dans un de ses livresLettre (1908) questions d’édition, de revenus, d’imprimerie.Lettre il y demande l’avis de Louÿs sur un manuscrit, il le déposera ensuite chez Fayard. Lettre 27-8-1908: il répond en quelques pages à la demande de son adresse, pour répondre à la lettre jointe d’un écrivain (C. M. Savarit) qui souhaiterait l’obtenir pour que sa femme puisse rentrer en contact avec lui dans le but de mettre en scène son roman Les Civilisés, un bordereau d’envoi.Lettre 7-9-1908, il s’ennuie en vacances et mentionne la sortie prochaine de son dernier livre. Lettre 27-2-1909, il y évoque des problèmes d’argent qu’il souhaiterait que Louÿs transmet au directeur de FéminaLettre donnant des nouvelles d’un manuscrit retrouvé et demandant un conseil de grammaire. Lettre 24-11-1910 , il donne son avis sur l’interprétation médiocre de Frondaie d’une pièce de Louÿs, il lui propose de lui prêter de l’argent pour venir superviser la mise en scène de la pièce à Paris.Lettre, récit d’une discussion littéraire, avec une critique des Goncourt et de Margueritte, qui “écrivent pour n’être pas compris".Lettre incomplète, parlant de la difficulté à terminer “cet atroce” Thomas l' Agnelet et critique un autre écrivain.lettre 11-1-1912, difficultés dans la rédaction de Thomas l' Agnelet , moral bas. ‎

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