Librairie Hachette Paris 1929 "collection "" l' histoire de France racontée à tous "" - 426 pages en format 14 - 20 cm - reliure rigide en percaline avec titre en dorure"
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Nathan Fernand Broché 1950 In-8, (17.5x24.5 cm), broché, couverture à rabats illustrée, 188 pages, illustrations abondantes en noir et blanc ; mors et dos légèrement frottés, plats jaunis, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Draeger Cartonnage souple avec jaquette 1953 Grand in-4 (38x29 cm), cartonnage souple sous jaquette illustrée, non paginé, illustrations en noir dans le texte suivi d'une suite de 14 planches hors texte sous chemise en noir avec légende au dos ; quelques rousseurs, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Draeger Cartonnage souple avec jaquette 1953 Grand in-4 (38 x 29 cm.), cartonnage souple sous jaquette illustrée, non paginé, illustrations en noir dans le texte suivi d'une suite de 14 planches hors texte sous chemise en noir avec légende au dos, ex-libris au verso de la page de garde ; légers frottements aux coiffes, dos incurvé, bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Albin Michel, s.d. (1924), in-12, xxiv-366 pp, broché, couv. lég. salie, bon état
Excellent ouvrage. — "Le livre de M. Gaiffe est avant tout un recueil de textes, tous contemporains de Louis XIV, qui nous renseignent exclusivement sur « l'envers » du XVIIe siècle, c'est-à-dire sur les faiblesses, sur les tares, sur les vices de la société louis-quatorzienne. On ne peut donc reprocher à M. Gaiffe de nous montrer seulement « les vilains côtés d'un siècle qui en eut d'admirables », puisqu'il n'a pas voulu faire autre chose, que le titre même de son livre en définit l'objet et qu'il précise encore ses intentions dans la préface. On ne saurait non plus l'accuser d'immoralité, parce que certains de ses textes parlent crûment des turpitudes qu'ils dévoilent : son livre – il le dit nettement aussi – n'est point fait pour être mis dans toutes les mains. M. Gaiffe a eu soin d'emprunter les textes qu'il cite uniquement à des contemporains de Louis XIV, à des « témoins ». Il a eu soin de les citer toujours exactement et intégralement ; enfin, de les puiser aux sources les plus variées. Tout cela est de bonne méthode. Mais ces témoins ne sont, certes, pas d'égale valeur et il leur réserve à tous le même accueil : à la Palatine comme à La Bruyère ou à Bourdaloue, aux auteurs comiques comme aux moralistes, aux pamphlétaires et aux chansonniers comme aux magistrats. Il est à craindre que bien des lecteurs ne distinguent pas entre des témoignages qui leur sont offerts sans distinction, et que les imaginations graveleuses de la Palatine ou les calomnies du recueil Maurepas ne contribuent au moins autant à fixer leur conception du siècle de Louis XIV que les réflexions de La Bruyère ou les sermons de Bourdaloue..." (G. Pagès, Revue Historique, 1926) — "La persistance des opinions reçue est telle que, de nos jours encore, des historiens mondains se complaisent à représenter la société française du XVIIe siècle sous des dehors pompeux et comme l'image du bon ton, des goûts épurés, des nobles sentiments. Cependant ni Michelet, ni Lavisse, ni d'autres auteurs ne nous ont permis de souscrire à une conception aussi berquinienne du siècle de Louis XIV. Elle résiste bien moins encore à la lecture des mémoires, correspondances, gazettes et autres sources narratives de l'époque elle-même. Les archives judiciaires, les rapports de police, les études des moralistes ou des économistes du XVIIe siècle ne nous permettent plus d'ignorer que ni la majesté ni les triomphes du Grand Roi n'ont empêché son peuple de souffrir et n'ont préservé ses sujets ou son entourage des travers, des passions ou des vices qui, deux siècles et demi plus tard, autorisent à porter sur cette société un jugement moins admiratif que ne l'exigerait la légende. M. F. Gaiffe a lu tous les auteurs, feuilleté tous les dossiers du grand siècle ; il ouvre ceux-ci et laisse parler ceux-là devant nous. L'objet de son livre n'est point de rapetisser une époque qui eut ses gloires et sa beauté, mais d'en montrer un aspect méconnu, parfois volontairement, et de permettre aux hommes d'aujourd'hui de comparer leurs propres grandeurs et petitesses à celles de leurs pères, qui ne furent médiocres en rien. On lit M. Gaiffe avec agrément et profit." (Roger Picard, Revue d'histoire économique et sociale) — "La première idée de cet ouvrage m’est venue fort simplement : j’avais constaté, dans maintes conversations, l’ignorance stupéfiante autant qu’obstinée d’un grand nombre de personnes, en ce qui concerne la vie et les mœurs au XVIIe siècle. N’essayez point de corriger la vision simpliste de ces ignorants dont un supplément d’enquête dérangerait le parti pris paresseux ou gênerait les convictions politiques. Je ne me dissimule aucune des objections qui seront adressées à cette publication : elle dérangera trop d’idées préconçues, elle gênera trop ceux qui ont intérêt à entretenir le culte du Faux, pour qu’on ne tente pas de discuter la valeur des documents reproduits ici ou d’en amoindrir la portée. Il ne sera guère possible d’en contester l’authenticité : je n’ai pas inséré une ligne qui ne fût de l’époque même, pas accueilli un seul témoignage – si piquant ou si instructif qu’il fût – qui provînt d’un historien postérieur. Les critiques, les plaintes, les tableaux satiriques, les cris de détresse ou les rires indignés ne sont pas de moi : ils sont des contemporains eux-mêmes que j’ai seulement présentés en troupe nombreuse et infiniment variée depuis le haut magistrat jusqu’au chansonnier obscur, depuis la princesse de sang royal jusqu’à la sorcière issue de la lie du peuple. Je les ai laissés parler : au lecteur d’en faire son profit." (F. Gaiffe)
Ouvrage de Daniel Rops faisant partie de sa série "L'Église des Origines à nos jours." Ce livre se concentre sur la période historique correspondant aux temps classiques, notamment le XVIIe siècle, qui est souvent considéré comme le "Grand Siècle" en France. Dans ce livre, Daniel Rops explore comment l'Église catholique a évolué et a influencé la société pendant le Grand Siècle. Il examine les développements religieux, les mouvements de réforme, les figures religieuses marquantes, et les événements majeurs de l'époque. Le titre "Le Grand Siècle des Âmes" suggère peut-être l'importance de la spiritualité et de la vie religieuse pendant cette période. Daniel Rops est connu pour sa capacité à combiner la recherche historique approfondie avec une narration vivante, ce qui rend ses ouvrages accessibles aux lecteurs intéressés par l'histoire religieuse. "L'Église des Temps Classiques : Le Grand Siècle des Âmes" offre une perspective sur l'histoire de l'Église catholique à une époque où la religion jouait un rôle central dans la vie et la culture en Europe. vol in-8, 185x130, broché, 495pages non coupées, très bon exemplaire. Arthème Fayard, 1958 d'autres livres de Daniel Rops en vente, groupez les achats ! ref/162