‎La Bibliothèque Des Expositions‎
‎Goya‎

‎Los Proverbios. Colleccion de diez y ocho laminas invetadas y grabadas al agua fuerte. La suite complète de « Los Proverbios » de Goya‎

‎Los Proverbios de Goya. Publicala la Real Academia de Nobles Artes de San Fernando, Madrid, 1891. Album in-folio comprenant un titre et la suite complète de 18 eaux-fortes publiées sous le titre « Los Proverbios » mais dont le titre prévu par Goya était « Disparates » (Extravagances). Brochure verte de l’époque défraichie. 315 mm x 490 mm.‎

‎Troisième édition, premier tirage imprimé à quelques dizaines d’exemplaires seulement. Harris, 248-265 ; Delteil 202-219. D’autres éditions furent imprimées, notamment en 1864, en 1875, en 1902, en 1904... Un industriel espagnol, primitivement propriétaire des cuivres, avait donné une édition différente en 1850. Elle est aujourd’hui introuvable. « This edition is well printed on suitable paper » (Harris). Seuls 100 exemplaires de cette troisième édition, tirages a et b confondus, furent imprimés. « Dans le premier tiers du XIXe siècle, domine en Espagne l’un des plus grands artistes des temps modernes et dont la haute valeur dépasse toutes les frontières : Goya y Lucientes. Une partie de l’œuvre de ce maître repose sur le XVIIIe siècle : ses traductions des peintures de Velasquez, quelques planches isolées et rares, puis sa célèbre série des ‘Caprices’. Toutefois, une autre portion de son œuvre, au moins d’égal intérêt, a vu le jour au XIXe siècle, comme la ‘Tauromachie’, les ‘Désastres de la Guerre’, les ‘Disparates’ et ses belles lithographies, comme les ‘Taureaux’, dits de Bordeaux, qui eurent une influence indéniable sur Eugène Delacroix. L’œuvre gravé et lithographié de Goya est très important. Il ne renferme pas moins de 288 pièces qui placent leur auteur parmi les maîtres les plus extraordinaires et les plus attirants de l’estampe, tant par la science, la fantaisie, l’imagination, la profondeur de pensée, l’indépendance d’esprit, la puissance d’exécution, la verve enfin qui traversent son œuvre, qu’il s’agisse des ‘Caprices’ ou des ‘Désastres de la Guerre’, et le rendent à la fois si précieux, si varié et si captivant. Goya d’ailleurs, tout en appartenant en partie au XVIIIe siècle, comme nous l’avons déjà fait remarquer, a devancé son époque ; il est et doit être regardé dans l’histoire de l’Art comme l’un des plus grands précurseurs des temps modernes, aussi bien par ses hardiesses et les buts qu’il a atteints, que par la richesse de sa pointe, à l’aide de laquelle il sait exprimer la quintessence de la vie jusque dans le domaine purement imaginatif. Son esprit est d’ailleurs avant tout attiré par les fortes émotions et son arme principale est la satire ». Loÿs Delteil. Exemplaire à toutes marges de la dernière grande œuvre de Goya. Elle fut gravée par l’artiste après La Tauromachie, dans les années 1818-1820, époque à laquelle Goya se replonge dans la vie populaire espagnole qu’il a toujours aimée.‎

‎Goya.‎

‎ Hachette, 1964, gr. in-8°, 302 pp, 8 planches en couleurs (illustrations contrecollées) et 85 planches en noir, 70 gravures dans le texte, imprimé sur papier vergé, reliure simili-cuir noir décoré de l'éditeur, rhodoïd, étui carton (lég. abîmé), bon état (Coll. Génies et Réalités)‎

‎Par Jacques Chastenet (La vie de Francisco Goya y Lucientes, peintre), Michel del Castillo (Peintre de lui-même), Jean Lucas-Dubreton (Peintre du peuple), Jorge Semprún (Peintre de la femme), Jean Babelon (Peintre du Roi), Enrique Lafuente-Ferrari (L'évolution de son génie), Claude Roy (Ses cauchemars), Maurice Rheims (L'histoire de sa cote), Claude Roger-Marx (Ensuite commence la peinture moderne). — "Dans la collection « Génies et Réalités », un Goya soigneusement relié et illustré auquel ont collaboré M. Jacques Chastenet, de l'Académie française, qui a retracé avec brio la vie du peintre, et MM. J. Lucas-Dubreton, Jean Babelon et quelques autres ; ils étudient avec soin sa facture, l'évolution de son génie et ses rapports avec la cour d'Espagne." (André Gavoty, Revue des Deux Mondes, 1964) ‎

‎Dossier de l'art n° 34 - L'Espagne au temps de Goya par Jean Louis Augé, Le carnet italien, précieux document sur le jeune Goya par Jean Louis Augé, Goya peintre de cour, l'apprentissage de la clairvoyance par Jean Louis Augé, Goya peintre de fresques‎

‎Editions Faton. Décembre 1996. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 70 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 700-LES ARTS‎

‎Sommaire : L'Espagne au temps de Goya par Jean Louis Augé, Le carnet italien, précieux document sur le jeune Goya par Jean Louis Augé, Goya peintre de cour, l'apprentissage de la clairvoyance par Jean Louis Augé, Goya peintre de fresques, une constante liberté par Jean Louis Augé, Goya portraitiste, un oeil noir et interrogateur par Jean Louis Augé Classification Dewey : 700-LES ARTS‎

‎Labyrinthe. N° 1. Nouvelle série. Bunuel/Goya - Amagatsu - Britannicus - Crevel/Man Ray - Borotsky - Art Cycladique - Edmonde Charles-Roux/Roger Vivier - Thierry Mugler - Marcel Jouhandeau/Christian Bérard - Adamov/Picasso - Dubuffet.‎

‎ P., Jacques Damase Editeur, 1986, pt in-4° à l'italienne (24,4 x 22,2), 120 pp, broché, couv. illustrée à rabats illustrée d'un dessin de Jonathan Borofsky sur le premier et le troisième plat, bon état‎

‎Contributions de : - Ushio Amagatsu : Amalgames, poèmes et calligraphies. - Antoine Vitez : Photos pour Britannicus par Kiuston. - René Crevel : Le miroir aux objets. Photos de Man Ray. - Ramon Tio Bellido : Jonathan Borofsky : De un à l'infini. - David Sylvester : The Cycladic in Modern Art. - Marielle Issartel : Le Goya de Bunuel "un manuscrit trouvé à Saragosse"... - Luis Bunuel inédit : Goya, extraits d'un scénario de 1928. - Christine Armengaud : Musique et nature. - Sylvain Dubuisson : Voyage autour de ma chambre. Nouveaux objets. - Edmonde Charles-Roux : Les souliers de Roger Vivier. - Olivier Kaeppelin : Thierry Mugler, un carnet de notes. - Marcel Jouhandeau : Christian Bérard le peintre. - Arthur Adamov : La femme qui pleure. - Denis Bablet : Théâtre et peinture. - Catherine Strasser : La pensée du primitivisme chez les poètes décadents. - Jean Dubuffet : Onze lettres à René de Solier (1946). - Didier Semin : Thierry Le Moign, photos. ‎

‎Goya.‎

‎ Club des Libraires de France, 1959, in-8° étroit (20 x 11,5), 270 pp, traduction de Marcel Carayon, 16 illustrations en noir sur un dépliant et 6 reproductions en couleurs contrecollées, tirage numéroté sur vélin blanc, reliure pleine toile rouge de l'éditeur, illustration en médaillon au 1er plat, rhodoïd, signet, bon état (Coll. Biographies)‎