‎La Seconde Guerre Mondiale‎
‎Les Conférences‎

‎ Christophe Colomb Jaquette en très bon état 1984 144 pages en format 23 - 30 cm - nombreuses photographies - reliure rigide en percaline avec titre en dorure 2-88097-112-8‎

Reference : 036707
ISBN : 2880971128


‎Très Bon État ‎

€11.25
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Henry Charlier

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‎Collectif,Filoz N.‎

Reference : gu1582

(1899)

‎Revue hebdomadaire des cours et conférences (7e année, 1ere série) (2 volumes)‎

‎Oudin et Cie Revue hebdomadaire des cours et conférences Reliure d'éditeur 1899 Deux volumes in-8 (14x22 cm), reliures percaline demi-chagrin, titre doré aux dos, du n°1 (17 novembre 1898) au n°35 (13 juillet 1899), 7e année de la Revue hebdomadaire de cours et conférences ; coiffes et coins frottés, dos légèrement déteints, un petit trou au mors supérieur du volume II, quelques rayures sur les plats, intérieur frais, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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Phone number : 33 02 99 66 78 68

EUR70.00 (€70.00 )

‎[Catholicisme] FRAYSSINOUS, Denis‎

Reference : 103378

(1875)

‎Défense du christianisme ou Conférences sur la religion / par M. D. Frayssinous, évêque d'Hermopolis. Nouvelle édition [2 volumes]‎

‎Bar-le-Duc, Typographie des Célestins 1875 2 volumes. In-8 22 x 13,5 cm. Reliures demi-basane havane, dos à nerfs, VII-297-411 pp., notes en bas de page, table des maières à la fin de chaque volume. Exemplaires en très bon état.‎


‎Denis, comte Frayssinous, (1765-184), évêque, homme politique, orateur et écrivain, fut membre de la Chambre des pairs, deux fois ministre, et membre de l'Académie française. Ses conférences publiées en 1825, sous le titre Défense du christianisme, attiraient une foule croissante. Lorsque les relations de Napoléon avec le Pape se tendirent, l’abbé Frayssinous fut obligé d’interrompre ses conférences en 1809, pour les reprendre à la Restauration en 1814. Très bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR124.00 (€124.00 )

‎[Paris ; CAIN Georges]‎

Reference : 104114

‎Dix-sept tapuscrits de conférences sur le vieux Paris‎

‎ca 1900, 1914 17 volumes in-4, bradel demi-percaline bradel, ch. 20 à 50 ff. dactylographiés, la plupart avec corrections manuscrites, certains signés, quelques ff. manus. interfoliés. Ternissures éparses sur les plats. Titres des conférences : Paris sous la Renaissance ; Paris en 1830 ; Environs de Paris - Renaissance ; Le Boulevard du crime ; Notre Bois ; La Restauration ; La Promenade dans le vieux Paris ; Paris en 1814 ; Chants et danse de la Révolution au Directoire ; La conciergerie et la Maison des Carmes ; Vieilles images et vieux souvenirs ; La Seine ; Paris au Moyen-âge ; Paris au XVII ; Paris sous Louis XIII ; Coins de Paris ; Le Boulevard du Temple.. Bon ensemble.‎


‎Précieux ensemble de tapuscrits originaux de causeries et conférences de Georges Cain prodiguées principalement, semble-t-il, à l’université des Annales alors qu’il était conservateur du musée Carnavalet (1897 à 1914). Georges Cain (1853-1919) a tout au long de sa carrière manifesté un profond attachement à sa ville natale. Il fut peintre, illustrateur et écrivain et dans chacune de ses expressions artistiques la capitale occupait une place de choix. Délaissant progressivement la peinture, il a abondamment écrit sur le vieux Paris et ses ouvrages font encore autorité. Bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR807.00 (€807.00 )

‎[Ecole Polytechnique ] - ‎ ‎Collectif ; Ecole Polytechnique‎

Reference : 47724

(1913)

‎Cours d'Art Militaire. Ecole Polytechnique Instruction Militaire. Année 1913-1914 : Génie. Travaux de Campagne. 2 Conférences. Août 1913 [ Capitaine Piquet ] - Aéronautique. Août 1913 [Capitaine Barré ] - Administration. 2 Conférences. Novembre 1913 [ Capitaine Pesseaud ] - Service des Armées en Campagne. 2 Conférences, Novembre 1913 [ Capitaine Morellet ] - Cours d'Artillerie. 3e Partie 3 Conférences, Août 1913 [ Capitaine Morellet ] - L'Officier dans la Nation Armée. Décembre 1913 [ Capitaine Cattin ] - Conférence d'Education Physique. Avril 1914 [ Capitaine Menjaud ] - Conférences à l'Ecole Polytechnique destinées à mettre en évidence les relations qui existent entre la théorie et les application [ Sur les Sous-Marins, avec 2 grandes planches dépliantes ] et 8 planches puis 11 planches dépliantes‎

‎1 vol. grand in-4 reliure demi-basane rouge, Cours d'Art Militaire. Ecole Polytechnique Instruction Militaire. Année 1913-1914 : Génie. Travaux de Campagne. 2 Conférences. Août 1913, 89 pp. [ Capitaine Piquet ] - Aéronautique. Août 1913, 69 pp. [Capitaine Barré ] - Administration. 2 Conférences. Novembre 1913 [ Capitaine Pesseaud ], 43 pp. - Service des Armées en Campagne. 2 Conférences, Novembre 1913, 43 pp. [ Capitaine Morellet ] - Cours d'Artillerie. 3e Partie 3 Conférences, Août 1913, 28-29-42 pp. [ Capitaine Morellet ] - L'Officier dans la Nation Armée. Décembre 1913, 55 pp. [ Capitaine Cattin ] - Conférence d'Education Physique. Avril 1914, 20 pp. [ Capitaine Menjaud ] - Conférences à l'Ecole Polytechnique destinées à mettre en évidence les relations qui existent entre la théorie et les application, 14-30-19-19-29-40 pp. [ Sur les Sous-Marins, avec 2 grandes planches dépliantes ] et 8 planches puis 11 planches dépliantes [ Soit pour l'ensemble de l'ouvrage 21 planches dépliantes ]‎


‎Beau recueil des cours d'Art Militaire donnés à l'Ecole Polytechnique pour l'année 1913-1914. L'ouvrage en bel état a l'intérêt de proposer les cours donnés en matière d'instruction militaire à l'Ecole Polytechnique la veille du premier conflit mondial ; les noms des enseignants ont été rajoutés à l'encre par le Polytechnicien André Boucher. Les "conférences d'applications" qui terminent l'ouvrage sont consacrés à tous les aspects techniques des submersibles‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

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