Editions Stock Broché Paris 1948 238 pages en format -12
Reference : 019861
Bon État
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PUF, Revue française de Psychanalyse, tome LI, n° 5, revue trimestrielle, Juillet-Septembre 1987, 1299-1486 pp., broché, couverture très légèrement défraîchie.
SOMMAIRE: A. Green - La capacité de rêverie et le mythe étiologique - S. Lebovici - Le psychanalyste et "la capacité à la rêverie de la mère" - P. Israël - Malaise dans la pratique. "La capacité de rêverie de la mère": pour quoi faire? - G. Diatkine - La "capacité de rêverie de la mère" et la psychanalyse - CONFERENCES: A. Bécache - La chair et le sang - LES LIVRES - F. Missenard - Le drame de l'enfant doué, de Alice Miller - S. Lebovici - Bébés/mères en révolte, de Rosine Debray.
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P., Stock, Collection "A la promenade" N°2, 1929 ; in-12, broché. 189 pp.-1f. Couverture rouge rempliée. Léger frottement au dos. Bon état.
Edition tirée à 2750 exemplaire sur vélin Biblio. Les six Conversations de Méré font partie des curiosité littéraires qui ont traversé le temps et qu'on peut prendre plaisir à lire pour ses réflexions sur "l'honnête homme" et aussi un peu pour le style de la langue du XVIIe s. (l'ouvrage a paru pour la première fois en 1668).
A Bruxelles et se trouve à Paris, Chez Antoine Boudet, 1757 ; in-12. XXXIV-464 pp. Veau brun, dos à nerfs orné, pièce de titre en maroquin rouge. Coiffe sup. arasée, coins frottés. Trous de vers atteignant un vongtaine de pages au début du volume.
Edition originale ornée de deux vignettes gravées en taille douce représentant les religieuses de Port-Royal réunies au réfectoire et dans la salle du chapitre. La Mère Angélique Arnaud, meurt en 1661. C'est sa nièce Angélique de Saint-Jean qui recueille entre 1652 et 1659 les entretiens que l'abbesse de Port-Royal tient avec les religieuses. Ils sont précédés d'un abrégé de la vie de la Mère Arnauld signé de M. Hamon, Médecin, et succédés par les "Pensées édifiantes sur le mystère de la mort de Notre Seigneur Jésus Christ" de Jacqueline Pascal.
1818 Paris , Locard et Davi, 1818 ; 2 tomes en 1 volume in-12°, demi-cuir de Russie violine de l'époque, dos à 4 nerfs plats cernés de filets maigres dorés, quadruple filet doré sur les nerfs, fleurons azurés aux entre-nerfs, palette en pied, titre et tomaison dorés ( Thouvenin relieur); (4),VII, 266pp.; (4), 268pp. 2 frontispices.
Piqûres, papier des plats un peu frotté. Tomes 1 et 2 seuls ( sur 4), dans, une jolie reliure romantique de Thouvenin. ( GrD2)
16/02/1869 TRÈS BEAU SONNET EMPREINT DE TENDRESSE FILIALE EN HOMMAGE À SA MÈRE ÉLISABETH-ZÉLIE DE BANVILLE :...Ma mère, pour fêter sous les cieux rajeunis, Le jour où tu naissais, je veux avec tendresse Faire parler encore la lyre enchanteresse Dans le triste silence où nos cœurs sont unis. Voici venir le temps des lilas et des nids : Déjà, comme une haleine errante et charmeresse, La brise du printemps suave nous caresse, Ma mère, et ce nest pas moi seul qui te bénis ! Car, du séjour lointain caché sous tant de voiles, Sitôt quavec la nuit seffacent les étoiles, Ceux qui sont dans les cieux nous regardent pleurer...Théodore de Banville qui vouait à sa mère une véritable adoration, lui rendit souvent hommage dans ses poésies. Le tout premier recueil de Banville, Les Cariatides, salué par Charles Baudelaire, souvre sur un poème dédié à sa mère : « Oh ma mère, ce sont nos mères dont les sourires triomphants, bercent nos premières chimères, dans nos premiers berceaux denfants... ». Dans son avant-propos à Roses de Noël (recueil entièrement consacré à sa mère et publié en 1878), Banville déclarait : « Les quelques poëmes qui suivent ne sont pas des œuvres d'art. Ces pages intimes, tant que ma si faible santé et les agitations de ma vie me l'ont permis, je les écrivais régulièrement pour mon adorée mère, lorsque revenaient le 16 février, jour anniversaire de sa naissance, et le 19 novembre, jour de sa fête, sainte Elisabeth. Parmi ces vers, destinés à elle seule, j'avais choisi déjà quelques odes qui ont trouvé place dans mes recueils. Les autres ne me paraissaient pas devoir être publiés, et je sais bien ce qui leur manque. Presque jamais on ne se montre bon ouvrier, lorsqu'on écrit sous l'impression d'un sentiment vrai, au moment même où on l'éprouve. Mais, en les donnant aujourd'hui au public, j'obéis à la volonté formellement exprimée de Celle qui ne sera jamais absente de moi et dont les yeux me voient. D'ailleurs, en y réfléchissant, j'ai pensé qu'elle a raison, comme toujours ; car le poëte qui veut souffrir, vivre avec la foule et partager avec elle les suprêmes espérances, n'a rien de caché pour elle, et doit toujours être prêt à montrer toute son âme. Paris, le 19 novembre 1878. Roses de Noël, A ma mère...). CE PRÉSENT POÈME SEMBLE INÉDIT.