Octave Doin, Editeur Paris 1894 118 pages en format -16 - avec 69 figures dans le texte et une planche chromo-lithographique hors texte - reliure rigide en percaline rouge avec dorures
Reference : 014199
Très Bon État
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Henry Charlier
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Reference : 557
2 3 tomes en 2 volumes, reliés, demi-veau vert de chrome à coins, dos à 5 nerfs, caissons ornés de fleurons dorés, titres et tomaisons de même, têtes dorées, signets de soie verte. Reliures jumelles signées de JOHN BUMPUS. Les dos sont très légèrement passés. In-12°, 17 x 11,5 cm, [4]-239pp-[1] + [4]-250pp-[2] et [4]-II-273pp-[1], avec les pages de titre imprimées en rouge et noir. Rome [Bruxelles], A l'Enseigne des Sept Péchés Capitaux [Poulet-Malassis / Gay], S.d. [1864].- Et : Eleutheropolis [Bruxelles], Aux Devantures des Libraires, Ailleurs, dans leurs Arrières-Boutiques [Poulet-Malassis pour J.Gay], M.DCCCLXVI [1866].
Recueil de vers piquants et gaillards de MM. de Béranger, V.Hugo, E. Deschamps, A. Barbier, A. de Musset, Barthélemy, Protat, G. Nadaud, de Banville, Baudelaire, Monselet, etc., etc., etc., etc., etc. etc., etc. Pigritia. Invidia. Avaritia. Superbia. Furor. Luxuria. Gula.- Oberlé souligne que cette édition, réalisée essentiellement par Poulet-Malassis, bénéficia du soutien financier de Jules Gay. Citant Fayt, Oberlé écrit que cette publication fut également à l'origine d'une rupture partielle entre les deux éditeurs. Ceci expliquerait que seul Gay fut éditeur du Nouveau Parnasse bien que P.-M. en fut à nouveau le concepteur et la cheville ouvrière. Notre exemplaire est un des 300 exemplaires tirés sur papier vergé pour le Parnasse (selon le catalogue des publications de 1864 de P.-M.). Il existe un tirage sur vélin - réédition avec les pages de titre en noir - et quelques Chine. Le Nouveau Parnasse est également sur papier vergé sans précision de tirage. Les 2 vol. ne possèdent malheureusement pas les frontispices de Rops (# 2 : 1 pour le Parnasse et 1 pour le Nouveau Parnasse) ni les 8 fac-simile, ni la planche de musique (Parnasse). Oberlé signale un deuxième feuillet d'errata au Tome premier du Parnasse, ici absent ; Pia ne le mentionne pas. Très bon état
1 Broché, couverture imprimée d'édition. Exemplaire débroché, couverture piquée, quelques rousseurs 15 x 9,7 cm, 152-36 p. Bruxelles, Maison Emile Cliquet [Paris, Encyclopédie-Roret, collection Manuels-Roret, L. Mulo, c. 1920].
Nouvelle édition revue et augmentée de ce manuel technique et didactique. Etat médiocre.
A Anvers, de l'Imprimerie de Christophe Plantin, 1578.Un volume relié In-folio (25 x 39,5 cm) de (6) ff., 860 pages et 216 pages, (18) ff. Reliure plein veau renforcée grossièrement au dos par du parchemin, dos muet. Reliure salie, coins abimés, derniers feuillets salis et dernière page déchirée et effrangée. Etat moyen.Première édition complète de la Bible de Louvain, elle est ornée de 14 gravures sur bois dans le texte dont 3 à pleine page ; elle porte également la marque de l'imprimeur au titre et au dernier feuillet. Le Nouveau Testament est suivi de "l'Estat des Juifs sous la monarchie des Romains.
La Bible de Louvain est une traduction de la Bible produite à partir des textes en hébreu, araméen et grec publiée en français en 1550.Après avoir commissionné une traduction plus correcte que la Vulgate aux docteurs de Louvain, Charles Quint leur demande de produire des traductions française et néerlandaise. Nicolas van Winghe traduit lédition néerlandaise publiée en 1548. Nicolas de Leuze, se fondant sur les travaux de Jacques Lefèvre dÉtaples et Pierre Robert Olivétan, ainsi que sur l'édition latine de la Vulgate par Henten (1547), traduit lédition française publiée en 1550. Les deux traductions sont toutes les deux imprimées chez Barthélemy de Grave à Louvain.« En dépit d'une confusion fort répandue, la Bible louvaniste de 1550 n'est pas celle qui devint célèbre à la fin du siècle et le resta tout au cours du XVIIe siècle. La version connue sous le nom de Louvain parut à Anvers en 1578 ; elle suivait d'assez près la version française que René Benoist avait publiée à Paris en 1565. ».Pierre-Maurice Bogaert et Jean-François Gilmont, « La première Bible française de Louvain (1550) », Revue Théologique de Louvain, vol. 11, no 3, 1980, (p. 275-309).
Lembeek, Archives D'art Nouveau. 2003.Une plaquette brochée (23 x 23 cm) de 43 pages. Couverture légèrement usée sinon bon état. Nombreuses illustrations.
Yverdon, Aux dépens de la Société Typograph., M. DCC. LXIX. (1769).Un volume relié in-12 (9 x 15 cm) de ;286 pp. et un f. Reliure d'époque, plein veau marbré, dos lisse orné, pièce de titre rouge. Reliure usée, épidermures, coins et coiffes émoussés, mors légèrement fendus en haut et en bas du dos. Intérieur en bon état.Édition en français du célèbre Nakaz dans la traduction de Jean-Rodolphe Frey des Landres (1727-1799), publié peu de temps avant celle traduite par l'Impératrice elle-même, à Saint-Pétersbourg, mais non mise dans le commerce.
Les Instructions adressées par Sa Majesté l'impératrice de toutes les Russies établies pour travailler à l'exécution d'un projet d'un nouveau code de lois, plus connu sous le nom de Nakaz est un traité de philosophie politique écrit par Catherine II de Russie, et édité en 1767. L'impératrice y présente ses théories politiques inspirées de Montesquieu et Beccaria à lintention de la commission des lois de son pays, réunie en 1767 dans le but de remplacer le code des lois moscovite par un texte moderne. Ce texte proclamait l'égalité de tous les hommes devant la loi et désapprouvait la peine de mort et la torture.Écrit par Catherine II en français et traduit en russe par ses soins, le Nakaz sera publié parallèlement en russe et en allemand le 10 août 1767. Il sera également publié en italien. La version russe de ce texte, qui est la seule version officielle, sappuie sur le document signé et scellé par limpératrice, conservé aux Archives dactes anciens à Moscou.Denis Diderot a commenté l'ouvrage dans ses Observations sur le Nakaz (1774), à la suite des nombreux entretiens qu'il a eus avec l'Impératrice. A lune des Instructions de Catherine II qui copie littéralement Montesquieu, il répond : « Tout ce que vous dites-là est fort beau ; pourquoi avez-vous donc fait le contraire ? »