Club De La Femme broché Bristol illustré 1969 250 pages en format 13 - 19 cm - biographie illustrée - reliure rigide en percaline avec dessin - protection rhodoid - TBE
Reference : 011528
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Paris Albin Michel 1980 Deux forts volumes in-8, broché, 537 et 473 pp. (frottements aux couvertures, en sommet et en pied des dos). Illustrations en noir. Tableau généalogique. Index des noms.
Genève, Georg & Co, 1908, fort pt in-8°, lxxvi-247 et 335 pp, 10e édition, les 2 tomes reliés ensemble en un volume demi-chagrin chocolat, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), un mors frotté, trace de mouillure ancienne au 1er plat, coupes frottées, intérieur propre et sans rousseurs, bon état
Le 11 mai 1881, Henri-Frédéric Amiel – âgé de 59 ans et 8 mois – meurt à Genève en laissant un Journal intime de 16.867 pages. Ce Journal, il l'a légué à une de ses confidentes et admiratrices, Fanny Mercier, en lui recommandant d'en tirer de quoi donner une idée de sa pensée. Deux ans plus tard, des “Fragments d'un Journal intime” paraissent à Genève et Paris, par les soins de Fanny Mercier et d'Edmond Schérer, sous la forme de deux petits volumes. Le Journal intime nous donne une idée du drame de cet homme qui a passé sa vie à scruter sa conscience, qui s'est analysé chaque jour avec une lucidité extraordinaire, et cela sans discontinuer pendant trente-trois ans. (Bernard Gagnebin) — Henri-Frédéric Amiel eut de bonne heure l'habitude de noter ses impressions et ses observations, de converser avec lui-même la plume à la main ; c'est ce dont témoignent un certains nombres de pages éparses, écrites pendant ses années d'études et de voyages, et qui forment un premier essai de Journal Intime. Interrompu à plusieurs reprises, ce Journal devient régulier en 1849, au moment où Amiel rentre à Genève après un séjour en Allemagne, et dès lors il se poursuit, semaine après semaine, puis jour après jour, jusqu'à la fin d'avril 1881, une semaine seulement avant la mort de l'auteur. Ce manuscrit, qui embrasse ainsi plus de trente années, servait à plusieurs fins. Amiel y consignait les souvenir des occupations et des incidents de la journée. Il y notait ses observations psychologiques et les impressions qu'il recevait de ses lectures. Mais son Journal était surtout le confident de ses méditations intimes, l'asile où le penseur prenait conscience de sa vie intérieure, interrogeait sa destinée, laissait échapper le cri de ses peines, cherchait l'apaisement dans l'examen et la confession.
Paris nrf - Gallimard / Bibliothèque de la Pléiade ( n° 227 ) 1971 un fort volume in-12° (105 x 170 mm), 1638 pp. Reliure en pleine peau verte, dos lisse orné, tranche supérieure verte, signet, rhodoïd, jaquette illustrée de l'éditeur. (faibles marques en pourtour du rhodoïd, étui manquant, quelques feuillets légèrement écornés). Édition de Georges Lubin.
Paris nrf - Gallimard / Bibliothèque de la Pléiade ( n° 227 ) 2007 un fort volume in-12° (105 x 170 mm), 1638 pp. Reliure en pleine peau verte, dos lisse orné, tranche supérieure verte, signet, rhodoïd, étui illustré de l'éditeur. (faibles marques à l'étui, traces d'étiquette sur un côté de l'étui). Édition de Georges Lubin. Bel exemplaire.
Ides et calendes, 1951. In/8 (19 x 13 cm) broché, couverture illustrée d'une vignette, 119 pages.
"Gide André – Et nunc manet in te suivi de Journal intime : André Gide a tenu un journal intime pendant près de 60 ans. «Et nunc manet in te» et «Journal intime» sont une tranche de son journal, celle écrite après la mort de sa femme Madeleine. Rédigeant sans aucun artifice littéraire, il raconte certains faits marquants de sa vie conjugale, complexe et torturée. La mort de Madeleine a été une grande douleur pour Gide, qu’il tente certainement de conjurer avec ce plaidoyer qui fait revivre ses souvenirs."