Librairie Aristide Quillet Reliure Semi Cuir 1928 330 pages en format -12 - Préface de rené Doumic
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1745 Chez Jean Desaint, A Paris 1745, In 12 (10x17cm), 424pp. (5). - Nouvelle édition, après l'originale de 1704. Plein Veau d'époque. Dos à nerfs orné. titré. Coiffe de queue élimée.
Les oraisons de Mascaron ont été rassemblées par l'abbé Bordes en 1704. L'ouvrage contient une biographie de l'évêque d'Agen et les oraisons d'Anne d'Autriche, Henriette d'Angleterre, le duc de Beaufort, Pierre Séguier, Turenne. Masacaron fut un célèbre oratorien né à Marseille en 1634."Ses oraisons funèbres qui font de lui un des grands orateurs de la chaire royale, furent très appréciées de Mlle de Scudery, de Mme de Sévigné, de Fléchier et du roi. Souffle puissant, épique (pour Turenne). Apostrophes pathétiques, amples métaphores, fortes antithèses et syntaxe d'accumulation. Mascaron est le représentant type de la haute éloquence religieuse mais aussi courtisane" (D. Declerq.) Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Paris: Chez Jean Desaint, 1772. In-12, 256+250 p. Reliure plein veau d'époque, dos à nerfs orné, pièces de titres, bordeaux, coins frottés, toutes tranches rouges,petit manque de cuir bas du dos.
Oraisons funèbres de Madame de Montausier, de Madame d'Aiguillon, de Turenne, de Lamoignon, de Marie-Thérèse d'Autriche, de Michel Le Tellier, de Marie-Anne-Christine de Bavière, du duc de Montausier etc Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Exemplaire à belles marges relié en maroquin doublé de maroquin de Chambolle-Duru. Paris, chez la Veuve de Sebastien Mabre-Cramoisy, 1689. In-12 de (2) ff., 562 pp., (1) f. de privilège. Plein maroquin brun doublé de maroquin rouge, plats et dos richement ornés aux petits fers, double filet or sur les coupes, riche dentelle dorée sur la doublure, tranches dorées sur marbrures. Chambolle-Duru. 163 x 90 mm.
«Edition originale des six grandes oraisons funèbres de J.-B. Bossuet, réunies en recueil.» (Tchemerzine, I, 862). Elle contient les Oraisons funèbres de Henriette Marie de France, Reine de la Grande-Bretagne; Henriette Anne d’Angleterre, Duchesse d’Orléans; Marie-Thérèse d’Autriche, Infante d’Espagne, Reine de France et de Navarre; Anne de Gonzague de Clèves, Princesse Palatine; Messire Michel Le Tellier, Chancelier de France; Louis de Bourbon, Prince de Condé. «Les ‘Oraisons funèbres’ sont les œuvres par lesquelles Jacques-Bénigne Bossuet, évêque de Meaux (1627-1704), conquit une gloire universelle. Comme La Fontaine a recréé la fable, on peut dire que Bossuet a réinventé l’oraison funèbre. Il fut toute sa vie un prédicateur; sa carrière lui fut imposée, dès son ordination, par son directeur de conscience, Saint-Vincent de Paul, qui exerça une influence si décisive sur lui qu’il avait coutume de dire qu’il croyait en l’entendant, entendre parler Jésus-Christ lui-même. Ce n’est que parce qu’il devint un orateur célèbre que Bossuet se trouva, dès 1656, dans l’obligation de prononcer des éloges funèbres. On trouve dans les ‘Oraisons funèbres’ non seulement un pathétique qui porte, mais de rudes leçons pour les Grands. Bossuet n’est jamais un plat courtisan: il a le respect de l’histoire et s’il est contraint à d’indispensables ménagements, il demeure fidèle à la vérité et il sait se faire entendre; il demeure avant tout un homme d’Eglise, un évêque. L’orateur sacré est, pour lui, le successeur des prophètes d’Israël, il doit enseigner les Grands et les reprendre. Aussi ces éloges sont-ils, avant tout, l’occasion de solennelles exhortations chrétiennes, car Bossuet, comme l’a dit un de ces biographes, est ‘le catholicisme fait homme’. L’éloquence n’est pour lui qu’un moyen, mais ce moyen il le veut aussi parfait que possible: la simplicité et la noblesse de la langue, l’éclat de son style ne sont rien auprès de cette séduction foudroyante, de cette fascination du verbe qui fond du ciel sur les âmes, qui subjugue et convainc et par quoi Bossuet a mérité d’être appelé ‘l’aigle de Meaux’.» Précieuse édition originale «imprimée en beaux caractères et sur bon papier» dit Brunet, I, 1133. Elle fut réimprimée en 1699, 1704 et de nombreuses éditions suivirent au XVIIIe siècle. Superbe exemplaire à belles marges, relié en maroquin doublé de maroquin par Chambolle-Duru.
Paris : Charles Delagrave, 1870. In-12 demi-chagrin vert empire (11,4x18,5 cm), dos à 5 nerfs ornés de filets dorés, titre et auteur dorés, tranche supérieure rouge, 359 pages. Nouvelle édition collationnée sur les meilleurs textes et accompagnée de notices historiques, de sommaires analytiques, de notes littéraires et grammaticales par M.A. Didier. Ex-libris de Michel Tutot. En frontispice, un portrait gravé de Bossuet d'après Rigaud. Exemplaire très bien conservé.
Paris : Plon / Bibliophile Brière (Collection des classiques françois), 1875 - In-32 demi maroquin, dos orné de faux nerfs, titre, auteur, fleurons et filets dorés, tranche supérieure dorée (reliure de l'époque), 2 ff. (faux titre et titre), III pp. (avertissement); 378 pages et 1 ff. blanc sur vélin - Tirage à 1200 exemplaires : 1/1000 ex. sur vélin après 200 Hollande. (Vicaire p.530) - coins légèrement frottés sinon bel exemplaire -