1969, Jean de Bonnot, in-8 reliure éditeur cuir cognac, titrage doré sur le dos. Illustrations dessinées et gravées par Emile Bernard | Etat : très bon état (Ref.: REF101309)
Reference : 9782845243058
Jean de Bonnot
Les Kiosques
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Paris, Auguste Picard, Editeur, 1923. 15 x 23, 3 volumes, 295 + 732 pages (pagination continue pour les tomes 2 et 3), broché, non coupé, très bon état.
Edition critique avec notices et glossaire par Louis Thuasne.
(Paris), Éditions Terres Latines, sans date. In-8 (21 cm) 146, (1) pages, (2) feuillets, illustrations in-texte coloriées au pochoir. Broché. Couverture à rabats illustrée, sous emboîtage. Tiré à 2000 exemplaires, un des 1970 sur papier Alfa, numéroté 1423. Très bel état.
Cahiers du Communisme - revue théorique et politique mensuelle publiée par le comité central du Parti Communiste Français - Nouvelle Série de la Collection des Cahiers du Bolchévisme -
Reference : 64502
30 ème année - Nouvelle série - N° 5 de Mai 1954 - Rédaction : 44, rue Le Peletier, Paris (9e) - broché
bon état
Précieux et magnifique exemplaire, très grand de marges (hauteur 157 mm) conservé dans son maroquin rouge de l’époque. A Paris, Imprimerie Antoine-Urbain Coustelier, 1723. 1 volume petit in-8 de (3) ff., 184 pp., (2) ff. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs finement orné de même, filet or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l’époque. 157 x 98 mm.
Première édition complète. L’exemplaire relié en maroquin strictement de l’époque des Œuvres de Guillaume Coquillart (1452-1510), lecteur de François Villon dont Jean-Paul Barbier écrit à propos d’une édition rare : « Un des volumes poétiques les plus précieux qui soient ». « Guillaume Coquillart brode avec une verve très débridée et nous a tracé ainsi un tableau de la vie bourgeoise et galante de son temps qui est riche en caricatures alertement dessinées. Coquillart a visiblement imité Villon et lui a pris les caractères les plus extérieurs de son style ». « Auteur comique important dans sa jeunesse, Guillaume Coquillart mourut en 1510, personnage considérable et considéré de Reims. Son œuvre théâtrale même semblerait avoir ajouté à son autorité. La production de Guillaume Coquillart valut à son auteur la renommée auprès du public et des écrivains. Ainsi est-il cité par Clément Marot aux côtés de Villon, Jean Molinet et Jean Le Maire. Autre preuve, peut-être, de cette influence : la composition des Droits nouveaulx establis sur les femmes, imitation des Droitz nouveaulx. » Guillaume Coquillart descend d’une famille versée dans le droit, occupée des affaires municipales (d’autres Coquillart figurent dans les archives de la ville) qui compte, avec son père, un traducteur, poète à l’occasion. Il naquit vers 1452. En 1477, il est reçu bachelier en droit canon à Paris. C’est dans ces années d’études qu’il convient de situer la plus grande partie de son œuvre, une œuvre de théâtre comique surtout. Le Plaidoié et l’Enqueste d’entre la Simple et la Rusee sont les deux parties d’un même procès parodique, dont l’enjeu est un jeune homme, le Mignon, que se disputent deux femmes. Ces deux pièces furent écrites pour le carnaval de 1478 et 1479. De la même veine sont les Droitz nouveaulx (1480). Il ne s’agit plus d’un texte dramatique, mais d’un divertissement. Usant d’un code scabreux, l’auteur y résout des cas parfois proches de ceux des Arrêts d’amour de Martial d’Auvergne. C’est à la même période (vers 1480) qu’appartient le Monologue Coquillard ou de la botte de foin. Cette fois, il n’y a pas de procès et aucun comique d’inspiration juridique. Un jeune amoureux vantard et élégant vient débiter sur scène sa déconvenue : le mari de sa maîtresse rentré à l’improviste, il a dû passer la nuit au grenier, caché sous une botte de foin. Il est considéré comme l’inventeur du monologue théâtral. La critique moderne s’intéresse beaucoup à Coquillart, ainsi qu’en témoignent les essais suivants : . Balsamo, Jean, « Galliot du Pré, éditeur de Guillaume Coquillart », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 95-112. . Bernard, J.-M., « Guillaume Coquillard, la poésie bourgeoise au XVe siècle », Revue critique des idées et des livres, 22, pp.429-442. . Chevalier, Jean-Frédéric, éd., Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, 197 pp. . Dérens, Jean, La vie et les œuvres de Guillaume Coquillart, diplôme d'archiviste paléographe, École nationale des chartes, Paris, 1967. - Résumé dans Positions des thèses de l'École des chartes, 1967, pp. 17-20. Thèse consultable aux Archives nationales à Paris sous la cote AB XXVIII 408. . d'Héricault, C., « Un poète bourgeois au XVe siècle, Guillaume Coquillart », Revue des Deux- Mondes, 7, pp. 970-1000; 8, pp. 508-537. . Freeman, Michael, « Guillaume Coquillart ou l'envers de la sagesse », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 11-26. . Koopmans, Jelle, « Esthétique du monologue : l'art de Coquillart et compagnie », Les mondes théâtraux autour de Guillaume Coquillart (XVe siècle), éd. Jean-Frédéric Chevalier, Langres, Guéniot (Hommes et textes en Champagne), 2005, pp. 27-44, etc… Cette édition est la plus correcte de toutes celles qui aient été faires des œuvres de Coquillart. (Viollet-le-Duc). Précieux et magnifique exemplaire, très grand de marges (hauteur 157 mm) conservé dans son maroquin rouge de l’époque.
"Paris, Antoine-Urbain Coustelier, 1723. Un volume in 12, [7] ff., 112 pp. ; 64 pp. ; 56 pp. Plein veau brun d'époque, dos à nerfs orné, pièce de titre de maroquin rouge, filets dorés sur les plats, tranches rouges, mors un peu fendu."
"Première édition critique de François Villon, donnée par Eusèbe de Laurière et le P. du Cerceau. C'est le volume le plus recherché de la Collection Coustelier. Édition faite suivant l'édition de Clément Marot avec, dans les marges, les diverses leçons tirées de Baignollet. Le dialogue de Messieurs de Mallepaye et de Baillevent. seconde partie de l'ouvrage, tirée de l'édition des Œuvres de Villon chez Galiot Dupré 1532. L'avis ""aux lecteurs"" précise que ""ces pièces ne sont point de Villon, mais de quelqu'un qui s'est diverti à mettre par écrit les subtilités attribuées à notre poète et à ses compagnons, pour faire bonne chère aux dépens d'autrui"". Lettre à Monsieur de ***, en lui envoyant la nouvelle édition des Oeuvres de François Villon. [Par le P. du Cerceau]. "