La table ronde 1947 325 pages in8. 1947. Broché. 325 pages. édition originale sur alfa mousse exemplaire N° 4
Reference : 500676
Très Bon Etat
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
LA TABLE RONDE. Nov. 1947. In-12. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos fané, Intérieur acceptable. 330 pages. 1er plat broché, conservé. Légères épidermures sur le dos basane vert.. . . . Classification Dewey : 264-Le culte
Classification Dewey : 264-Le culte
Rome, 1787. In-8 (225 x 152 mm), 2 ff. n. ch., 8 pp., 24 ff. n. ch. de texte alternant avec 24 pl. Maroquin vert, triple filet doré en encadrement sur les plats, fleurons d’angle, dos lisse orné de roulettes et fleurons dorés, pièce de titre en maroquin rouge, roulette sur les coupes et les chasses, tranches dorées, quelques rousseurs (reliure de l’époque).
Rare et charmante édition entièrement gravée sur vergé fort. Elle est composée d’un frontispice, un titre, 4 feuillets de préface et 24 belles planches gravées de pierres licencieuses, accompagnée chacune d’un feuillet d’explications. La marque du titre laisse penser qu’elle a été imprimée par Pierre Didot. Publié pour la première fois en 1784, l’ouvrage fait suite aux Monumens de la vie privée des douze Cesars. Pierre-François Hugues d’Hancarville (Nancy, 1719-Padoue, 1805), dont la vie marquée par les voyages est restée mystérieuse, avait rencontré à Naples l’ambassadeur anglais et mécène William Hamilton, qui collaborait aux fouilles archéologiques d’Herculanum et de Pompéi. Celui-ci avait réuni une riche collection d’antiquités, et c’est à sa demande que d’Hancarville réalisa en 1766 les Antiquités étrusques, grecques et romaines, tirées du cabinet du chevalier W. Hamilton, ouvrage majeur qui assura sa notoriété. Les Monumens de la vie privée des douze Cesar et les Monumens du culte secret des dames romaines participent de cette même veine, mais les sujets des camées, autrement récréatifs, sortent vraisemblablement de l’imagination de l’auteur. "Ces ouvrages dénotent beaucoup d’érudition chez d’Hancarville; mais toutes ces pierres gravées, médailles, etc., sont imaginaires" (Cohen). Étiquette ex-libris "Mce du Parc" sur le titre et ex-libris moderne de Jean-François Chaponnière au premier contreplat. Très bel exemplaire en maroquin vert de l’époque. Cohen, 475-476. Brunet, III, 1875. Pia, p. 506. Dutel, III, A-732.
Très bel exemplaire revêtu d’une reliure en maroquin citron orné d’une dentelle à l’oiseau. A Caprées [Nancy], chez Sabellus [Le Clerc], 1780-84.2 volumes in-4 de : I/ 1 frontispice, xii pp., 196 pp., 50 planches hors texte ; II/ 1 frontispice, xxvii pp., (1) p.bl., 98 pp., 50 planches hors texte. Pliure à une planche.Maroquin citron, large encadrement de dentelle dorée alternée de pastilles mosaïquées de maroquin rouge, encadrement rectangulaire de filet droit, dos ornés à compartiments mosaïqués, pièces de titre et de tomaison de maroquin rouge et prune, filet or sur les coupes, dentelle intérieure, tranches dorées. Riche reliure du XIXe siècle dans le goût de Derome.228 x 183 mm.
Edition originale française de l’un des plus célèbres livres érotiques de la fin du XVIIIe siècle.Vinet, Bibliographie méthodique et raisonnée, 1633 ; Cohen 475.« Premières éditions. Ces deux volumes sont ornés de 2 frontispices et de 100 planches sprintiennes par Denon. » (Rahir, III, n°798).La présente édition est ornée de 2 frontispices allégoriques et de 100 gravures érotiques d’après médailles et pierres gravées imaginaires (Cohen, 475).Hugues d'Hancarville (1719-1805) parcourut l'Allemagne, la France, l'Espagne, le Portugal, l'Italie, se donnant pour gentilhomme, cherchant la fortune qu'il ne trouvait pas toujours. En 1780 d'Hancarville vint en France ; peu de temps après il se rendit en Angleterre, où il resta quelques années. En voyant, plus tard, sa patrie livrée aux troubles révolutionnaires, il fut peu tenté d'y rentrer, et retourna en Italie, où il passa le reste de ses jours.Il publia Veneres et Priapi, uti observantur in gemmis antiquis ; la première édition, faite à Naples, vers 1771, sous la rubrique Leyde et sans date, occasionna quelques poursuites contre l'auteur; la seconde édition faite à Londres, est accompagnée d'une traduction anglaise.C'est ce même ouvrage qui a reparu en France, avec un texte plus étendu, sous le titre suivant : Monuments de la vie privée des douze Césars, d'après une série de pierres gravées sous leurs règnes ; Caprée (Nancy), 1780, in-4 ; l'auteur y donna une suite sous ce titre : Monuments du culte secret des dames romaines, pour servir de suite aux monuments des douze Césars, 1784, in-4.Très bel exemplaire revêtu d’une reliure en maroquin citron orné d’une dentelle à l’oiseau.
Gravure 1790 "Gravure en noir et blanc (l'image elle même mesure env. 8 x 11,5 cm) tirée de l'édition de 1790 de ""Monumens du culte secret des dames romaines"" de Pierre-François Hugues d'Hancarville ; gravure intacte, très bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
Gravure 1790 "Gravure en noir et blanc (l'image elle même mesure env. 8 x 11,5 cm) tirée de l'édition de 1790 de ""Monumens du culte secret des dames romaines"" de Pierre-François Hugues d'Hancarville ; bords du support irréguliers, par ailleurs image intacte, très bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."