Cercle du nouveau livre 1975 in8. 1975. Cartonné.
Reference : 289115
Très Bon Etat
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
J. Couturier | Paris s. d. [ca 1900] | 10.30 x 15.50 cm | une photographie au format carte cabinet
Portrait photographique d'Hermance Delhaye Destouches (1830-1869), grand-mère paternelle de Louis-Ferdinand Céline, au format carte cabinet sur papier albuminé contrecollé sur un carton du studio J. Couturier. Carton un peu rogné en marge basse. Légende manuscrite au dos. Bourgeoise d'origine flamande, la grand-mère de Céline se marie avec Auguste Destouches en 1860 et eut cinq enfants. à la mort prématurée de son mari en 1874, à l'âge de trente-neuf ans, la provinciale Hermance tente sa chance à Paris avec Amélie, la tante de Céline, où elle dilapide sa fortune et finit entretenue grâce à la vie de demi-mondaine de sa fille. Céline emprunte dans Mort à crédit son deuxième prénom, Caroline, pour le personnage de la grand-mère tenancière du magasin d'antiquités de la rue Montorgueil. Cet aspect du personnage se rattache cependant à la vie de boutiquière de sa grand-mère maternelle Céline Guillou, dont le prénom servit de nom de plume à l'écrivain. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Grasset | Paris 1981 | 14 x 22.50 cm | broché
Nouvelle édition de la traduction française après l'originale de 1977. Plats et tranches salis, une petite déchirure en pied du dos. Rare et précieux envoi autographe daté et signé de Gabriel Garcia-Marquez à son ami Jean-Pierre Richard, l'année de son prix Nobel: "Para Jean-Pierre, en Mexico, el dia de la entrevista. Gabriel 82." Ecrivain, réalisateur, traducteur et critique, Jean-Pierre Richard rencontra Garcia-Marquez par l'entremise de Salvador Allende dont il assista à l'élection en novembre 1970. Il devint un proche ami etl'un des rares journalistes auquel l'écrivain dévoila les secrets de composition de son uvre majeure, Cent Ans de solitude. Garcia Marquez avait, peu de temps plus tôt, sollicité l'aide de son ami pour un très ancien projet cinématographique qui lui tenait à cur. Il avait en effet écrit, seize ans auparavant, un scénario intitulé Erendira, dont la seule copie s'était perdue dans les mains de la réalisatrice Margot Benacerraf à qui Garcia Marquez l'avait confié. Transformée en nouvelle en 1972, L'incroyable et triste histoire de la candide Erendira et de sa grand-mère diabolique attendra la rencontre de Garcia Marquez et de Jean-Pierre Richard pour renouer avec son destin cinématographique. C'est en effet par l'intermédiaire de son ami, réalisateur français, que l'écrivain colombien rencontrera le producteur Alain Quefféléan et le réalisateur Ruy Guerra, pour lequel il réécrit un nouveau script. Erendira, sortie en 1983, restera la seule adaptation cinématographique de l'uvre de Garcia Marquez à laquelle l'écrivain collabora activement. L'«entrevista» de Richard et Garcia Marquez en aout 1982, est donc l'occasion pour les deux amis de célébrer, en plus du prix Nobel de Gabriel Garcia Marquez, la réussite du tournage au Mexique de Erendira avec Irène Papas en vedette. Emouvante dédicace autographe à son ami français qui lui permit de réaliser enfin ce très ancien rêve cinématographique et qui deviendra, selon Garcia Marquez, «le premier film qui capture vraiment le réalisme magique de sa prose». - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
S. n. | s. l. 1911 | 27 x 21 cm | 6 feuillets recto
Lettre autographe signée du comte dandy, 68 lignes écrites à l'encre noire sur six feuillets recto, propablement adressée à son ami et bibliographe le critique Henri Lapauze à qui il intime presque l'ordre de recenser son dernier ouvrage lors d'un de ses prochaines chroniques. L'orgueilleux Robert de Montesquiou y évoque aussi, en toute immodestie, sa hauteur et sa profondeur d'esprit, qualités faisant cruellement défaut à certains de ses contemporains : "Cher ami, avec plaisir, je consens à faire partie de votre comité, avec d'autant plus de plaisir que, sans le vouloir ou, peut-être intentionnellement (je préfère le croire) vous donnez raison à mon dernier livre. Voir page 143 : "nulle ne serait mieux qualifiée pour ce titre de Présidente. On n'en saurait trouver de plus affable". Oui, cher ami, j'en profite pour vous le redire, sans plaisanterie - aussi bien que sans amertume, vous vous êtes trop de fois montré efficacement sympathique, pour que j'en perde si vite, ni même, jamais le souvenir. - vraiment, je ne suis pas du tout de votre avis sur l'impossibilité de parler de mon dernier livre, dans votre chronique. Je suis même de l'avis entièrement contraire. D'abord, je ne voudrais pas, si j'étais critique littéraire, qu'il fût dit, un jour, qu'un tel livre a paru (vous savez que je ne suis pas modeste) sans que j'en ai fait mention, d'une manière ou de l'autre. En outre, c'est trop lui donner raison que d'en agir ainsi. Vous voyez que, si je suis modeste, je ne suis pas moins juste. Oui, à votre place, j'aurais fait la part de l'auteur et celle du lecteur, même récalcitrant comme l'ont fait Robin, dans le Herald, et Glaser, dans le Figaro, comme l'ont fait et le feront d'autres. - Quant au bel article de Lucien Daudet, dans le Gil Blas, je pense que vous l'avez lu. Des personnes d'esprit et d'art, comme vous deux, ne peuvent se méprendre sur le côté réactionnaire et aristocratique d'un tel écrit, dans la bonne acception de ces deux qualificatifs. L'aristocratie, ce n'est tout de même pas madame Moore, madame Porgès et Mam "zell" Gutman ; pas plus que la littérature n'est Mam "zell" Vacaresco et Monsieur de Pomairols. A un borgne bien intentionné qui me disait : "vous attaquez le monde ! "... j'ai répondu : "Pardon ! je range le salon de ma grand-mère" Aussi, quand je lis, dans quelque de vos jolis commentaires (trop incertains à certains) à propos de je ne sais quel plus ou moins vague bouquin, que "l'auteur" manie supérieurement l'ironie, je m'écris furieusement : "Eh bien ! et moi ! ..." Alors, pour me dédommager, et un peu me venger, je relis votre carte du 10 octobre : "Envoyez moi tout de suite, cher ami, votre insupportable héroïne". Henry et moi, nous voulons la connaître, l'aimer, la faire aimer. A quoi pensez vous de nous mettre "l'eau à la bouche, pour retirer ensuite ce fruit... que nous espérons défendu..." De ce moment-là, je me sens mieux. Et pour vous le prouvre, cher ami, et que je suis sincère, je vous annonce mon intention de publier, à l'occasion de votre exposition, un nouvel essai sur Ingres, lequel vous sera dédié, si tel est votre bon plaisir, comme il est le mien. Si vous connaissez un coin de revue qui s'accommode de ça, faites-le moi savoir, et recevez mes amitiés bien dessinées. Robert de Montesquiou Janv. 911." Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Reference : albf0df85af59cd9e31
Grandmother, Grand-mere, Grandmother. In Russian /Babushka, Grand-mere, Grandmother. Memories of grandsons and granddaughters about grandmothers, famous or not, with vintage photographs of the 19th and 20th centuries. E.V. Lavrentyeva. M Eterna. 2012. 352 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbf0df85af59cd9e31.
au bureau du journal. Novembre 2014. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 129 pages augmentées de quelques photosz et dessins en couleurs et en noir et blanc dans texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: Les produits miracles de grand-mère; Faciliter l'allaitement; Stopper le coryza; les diurétiques naturels... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues