Gallimard 1969 in8. 1969. Broché.
Reference : 266951
Etat Correct couverture tachée de rousseurs intérieur propre uniformément jauni
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Paris, Tresse, 1884. 545 g In-12, demi maroquin rouge, dos orné à faux nerfs, tête dorée, témoins, couvertures conservées, [2] ff., 380 pp.. Ouvrage imprimé sur papier vergé (sans justification). Reliure signée de Thierry, successeur de Petit-Simier. . (Catégories : Chansons, Littérature, )
Paris, Paul Ollendorff, 1883. 250 g In-12, demi basane bleue nuit, [2] ff., 110 pp.. Dédicace de Félix Galipaux à Frantz Jordain. Ex-libris de Jules Dilly, professeur de diction. Annotation ''phonétique'' à un feuillet. Frottements. . (Catégories : Littérature, )
Cerf, 2001, in-8°, 573 pp, biblio, glossaire, index, broché, très bon état (Coll. Patrimoines Judaïsme). Exemplaire du SP avec 2 petits cachets SP sur la tranche sup.
Depuis la Bible jusqu'à l'époque contemporaine, la littérature juive comprend un vaste ensemble de récits retraçant la vie exemplaire et les actions miraculeuses de saints, de justes, d'hommes pieux ou de martyrs ; à chaque époque de l'histoire émergent des figures saintes représentatives des multiples aspects de la société. “Récits hagiographiques juifs” retrace l'histoire de ces légendes au sein de la culture ashkénaze et insiste sur les conditions d'émergence, l'évolution, les formes et les contenus des différentes traditions. Apparaît ainsi une multitude de matrices narratives qui seront reprises et transformées au cours des siècles selon les contextes sociaux ou religieux. La mise en lumière de ces récits permet d'élaborer une typologie des figures saintes propres à la tradition juive et de dégager les fonctions de ces recueils : usages religieux, didactiques, moraux ou politiques. Sont étudiés ici principalement des 'exempla' (récits édifiants, personnages modèles) concernant les rabbins médiévaux, les louanges de rabbi Isaac Luria, des kabbalistes de Safed, ou d'Israël Baal Shem Tov, fondateur du hassidisme. Ces recueils de légendes auront une influence déterminante sur les récits hagiographiques des époques postérieures, entre autres les contes sur les 'tsaddikim', les 'rebbes' hassidiques ou les histoires relatant la vie de rabbins, de sages, de savants tel le Gaon de Vilna. “Récits hagiographiques juifs” est la première synthèse en langue française concernant cette tradition.
L'Harmattan, 1989, in-8°, 422 pp, préface de Nikita Elisséeff, 30 gravures à pleine page, 4 cartes, tableaux, annexes, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Histoire et perspectives méditerranéennes)
"La thèse d'Yvelise Bernard étudie les récits de dix-huit voyageurs français du XVIe siècle qui se sont rendus en Orient à des fins diverses. L'auteur s'appuyant sur des récits détaillés, nous fait non seulement part des réactions des voyageurs, mais nous retrace aussi, comme le souligne son préfacier, une image de la société musulmane de l'époque telle qu'elle la perçoit à travers ses sources. Elle nous présente, dans une première partie, les voyageurs, leur biographie quand cela est possible, leurs récits de voyage, les itinéraires et conditions de celui-ci. Puis elle aborde, dans une seconde partie, ce que livrent les sources sur les hommes, les femmes et les enfants, les traits de civilisation (coutumes alimentaires, hygiène, rapports entre individus), les divertissements, la médecine et la mort. Le chapitre suivant est consacré à Mahomet et à la religion musulmane. Puis elle s'intéresse au sultan et à la manière dont est gérée cette société qui se présente sous la forme d'un État structuré, religieux, policier ,qui a été à son apogée sous Soliman le magnifique (1520-1566) et connaît un premier fléchissement sous Sélim II (1566-1574) avec la défaite de Lépante (1571). La troisième partie reprend la cosmographie de François Belleforest, sorte de synthèse faite au XVIe siècle par un homme de la Renaissance à partir des ouvrages de ses congénères. Des tableaux, des graphiques, une analyse quantitative sur les sujets traités, des planches, des cartes illustrent ce travail minutieux qui s'intéresse surtout au cœur de l'Empire (la capitale) et aux contrées arabes, et ne prétend pas donner une vue exhaustive de l'ensemble de l'Empire ottoman. De même, à travers les récits de ces voyageurs, on perçoit peu la société rurale. En réalité, on s'intéresse surtout au monde urbain civilisé (Turcs et Mores), moins aux Arabes répertoriés comme non civilisés. On assiste chez la majorité des auteurs à une lutte entre le legs médiéval (l'islam, religion de l'Antéchrist) et la volonté de connaissance rationnelle et globale qui caractérise l'homme de la Renaissance. On n'a pas encore de l'Orient une vision exotique : on ne recherche pas un type d'Orient déterminé. On en est surtout au stade de la rencontre, de la connaissance de l'autre que l'on côtoie durant des jours au cours de périples lents. Contraste donc avec notre époque où la vitesse et la précipitation dominent les rapports humains. Rien que pour ce dépaysement, l'ouvrage vaut une lecture attentive." (Robert Santucci, Revue française d'histoire d'outre-mer, 1991)
Jean-Claude Lattès. 1978. In-8. Broché. Etat d'usage, Coins frottés, Dos satisfaisant, Papier jauni. 199 pages - petite étiquette collée sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 904-Recueils de récits d'événements
récits. Classification Dewey : 904-Recueils de récits d'événements