Arthème fayard 1938 in12. 1938. Broché.
Reference : 254803
couverture défraîchie qql rousseurs dos ridé. pages jaunis. bonne tenue
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
1801, Chez Marchand, in-16 demi-cuir marron de 380 pages, titrage doré dans pièce de titre rouge sur le dos, Correspondance de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans, tome 1 et 2, correspondance avec Louis XVI, la reine, Montmorin, Liancourt, Biron, Lafayette, etc, seconde édition augmentée de Lettres de Louis XVI, de Necker et de notes | Etat : assez bon état, couverture défraîchie, coins émoussés, dos, chants et coiffes frottés, première garde détachée, quelques rousseurs (Ref.: ref87181)
Chez Marchand
1973, Hachette Littérature, in-8 broché de 300 pages, La vie quotidienne à Marseille de Louis XIV à Louis Philippe | Etat : frottements, quelques passages soulignés au crayon (Ref.: ref88420)
Hachette littérature
P., NRF, N°14, 15 février 1910 ; in-8, broché. 188 pp.- 2 pages hors-texte de fac-similé d'écriture, 1 portrait de Philippe par Ch. Guérin reproduit en héliogravure. Très bon état.
Charles Louis Philippe est mort à Paris le 21 décembre 1909. Il était l'un des fondateurs de la NRF. Ce numéro de la jeune revue lui est entièrement consacré. Il s'ouvre par un hommage de Claudel, puis on trouve les textes de : Michel Arnauld, L'uvre de Charles-Louis Philippe - Anna de Noailles, La Mère et l'Enfant - Marcel Ray, L'Enfance et la Jeunesse de Charles-Louis Philippe - Marguerite Audoux, Souvenirs - Régis Gignoux, Dans l'Île Saint-Louis - Émile Guillaumin, Charles-Louis Philippe en Bourdonnais - Charles-Louis Philippe, Journal de la Vingtième Année - Lettres - Les «Charles Blanchard» - André Gide, Journal sans dates. Suivent les notes de : Maurice Beaubourg, Quatre histoires de pauvre amour, par Charles-Louis Philippe, Édition de l'Enclos - Jean Schlumberger, La bonne Madeleine et la pauvre Marie, par Charles-Louis Philippe (Bibliothèque artistique et littéraire) - Henri Ghéon, La Mère et l'Enfant, par Charles-Louis Philippe (Bibliothèque artistique et littéraire) - Bubu de Montparnasse, par Charles-Louis Philippe (Édition de la Revue Blanche) - Edmond Pilon, Le Père Perdrix, par Charles-Louis Philippe (Bibliothèque Charpentier) - André Ruyters, Marie Donadieu, par Charles-Louis Philippe (Fasquelle) - Élie Faure, Croquignole, par Charles-Louis Philippe (Fasquelle) - Léon Werth, Les contes du «Matin», de Charles-Louis Philippe, Principaux articles sur Charles-Louis Philippe.On joint un article de Marcel Ray (1878-1951, normalien, journaliste, diplomate), ami d'enfance de CH.-L. Philippe, qui livre des souvenirs sur l'écrivain et des textes inédits composés lorsqu'il était lycéen au Lycée Banville à Moulins en 1893-1894
E. Dentu, éditeur Les femmes des Tuileries Relié 1894 In-12 (12 x 18 cm), reliure demi-chagrin, auteur et titre dorés au dos à cinq nerfs, tranches jaspées, ex-libris Viennet, 307 pages ; quelques frottements sur le cuir et aux coupes, rousseurs à l'intérieur, par ailleurs bel exemplaire. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
France-Empire, 1985, gr. in-8°, 201 pp, avant-propos de René de Chambrun, 16 pl. de gravures hors texte, une carte, nombreux documents en annexe, broché, couv. illustrée, bon état
Récit du retour des cendres de Napoléon de Sainte-Hélène, en 1840, à bord de la « Belle Poule », par Rohan-Chabot qui fut envoyé par Louis-Philippe comme commissaire du roi. — Sur base de documents retrouvés dans les archives du château de Lagrange, lettres, rapports, comptes-rendus, de la main de Philippe de Rohan-Chabot, commissaire du roi Louis-Philippe pour la translation du corps de Napoléon de Sainte-Hélène à Paris, René de Chambrun, en reliant les documents entre eux par des textes écrits à la première personne, a composé ce qu'on pourrait appelé "Les Mémoires apocryphes de Rohan-Chabot pour l'année 1840". Nous sommes en 1840. La France vit en paix depuis un quart de siècle. Elle s’ennuie. Elle rêve aux gloires impériales... Sous la pression de l’opinion, Louis-Philippe obtient de l’Angleterre le retour des cendres de Napoléon. Une mission ira à Sainte Hélène sur la « Belle Poule » commandée par le fils du Roi, le Prince de Joinville. Tout un passé ressurgit... Philippe de Chabot, dont la mère était irlandaise et dont le père a combattu Napoléon jusqu’à sa chute, va recevoir de Louis-Philippe l’ordre le plus inattendu : le représenter comme chef de la mission, « Commissaire du Roi ». Avec lui, pendant cinq mois, nous allons parcourir les mers, et faire des escales fabuleuses aux Açores et en Amérique du Sud... Entouré des survivants de l’épopée, Bertrand, Gourgaud, Marchand, le fils Las Cases et les serviteurs, Philippe de Rohan Chabot fera ouvrir les cinq cercueils et découvrira le visage quasi intact de Napoléon, plus « jeune » de 25 ans que tous ses anciens compagnons et serviteurs présents... Moment extraordinairement émouvant ou le passé rejoint le présent. Les Français rassemblés pleurent. Il faut maintenant ramener le corps de l’Empereur en France. On apprend que la guerre menace contre l’Angleterre. Chacun sera prêt à mourir aux côtés de la dépouille de l’Empereur. Des dispositions sont même prises par le Prince de Joinville pour faire sauter la « Belle Poule » afin que l’Empereur mort ne retombe pas aux mains « impies » des Britanniques... Rohan Chabot ne perdra pas son flegme britannique. Il en aura besoin jusqu’au bout du voyage et l’apothéose inouïe à Paris...