‎Gorki‎
‎Les trois‎

‎Lot de 3 ouvrages de Robert Sabatier : Les Allumettes suédoises - Trois sucettes à la menthe - Les Noisettes sauvages‎

‎Albin Michel Reliure d'éditeur 1974 "Trois volumes in-8 (14 x 20,5 cm), reliure en toile d'éditeur sous rhodoïd, lot de trois ouvrages de Robert Sabatier édités chez Albin Michel : ""Les Allumettes suédoises"" (312 pp.), ""Trois sucettes à la menthe"" (319 pp.) et ""Les Noisettes sauvages"" (311 pp.) ; quelques traces et marques d'usage aux rhodoïds, par ailleurs bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."‎

‎Trois messagers pour un seul dieu‎

‎Albin Michel Dos carré collé 1983 In-8°, dos carré collé, 267pp, sommaire: trois messagers et trois messages, maessagers messages et destinataires, intelligence de la foi et vie de foi, les expressions de l'experience mystique:le langage néoplatonicien, les exwpressions de l'experience mystique:le langage de l'amour; couverture légèrement salît, bon état Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

‎Trois villes saintes.‎

‎ Paris, Gallimard, (22 avril) 1980. 1 vol. (110 x 205 mm) de 81 p. et [3] f. Broché, non coupé. Édition originale. Un des 25 premiers exemplaires sur vergé de Hollande (n° 7). ‎

‎Chancah, Tixacacal et Chun Pom sont trois villes antiques, aztèques ou mayas, que le jeune Le Clézio chante durant son séjour mexicain des années 1970. Le trentenaire, délaissant les récits de l’angoisse du milieu urbain, a quitté la métropole pour explorer l’ailleurs, et particulièrement le Mexique. Tout tournera alors autour des dieux morts des indiens Embera, des préoccupations écologiques, de l’onirisme et du cheminement méditatif sans lesquels nulle vie n’est possible. Les envahisseurs blancs ont vu, sont venus, ont vaincu, et la sécheresse s’est installée avec la fin des hommes. Mais, pour Le Clézio, les lieux terrestres où sont nées les civilisations, ne sauraient mourir. Ils attendent qu’un autre peuple ou d’autres circonstances permettent la renaissance, entre deux inserts de textes indiens anciens tirés des prophéties du Chilam Balam. Le Clézio, qui adore faire rouler les sonorités des noms étrangers, ou les éparpiller sur la page, observe comment « la civilisation moderne » a stérilisé ou isolé ces peuples « premiers », préférant l’éternité figée de l’âge d’or aux changements de la modernité. La vérité, la liberté, c’est l’eau venue du ciel, celle qui irrigue les champs et la forêt comme les gosiers des hommes. La conscience n’attend pas ni n’exige : « Elle ne juge pas. Ce qu’elle demande, comme cela, muettement, avec orgueil, ce n’est pas vengeance, ni l’argent. Elle est accordée avec le désir des dieux, et elle ne demande que ceci : le pain et l’eau ». Trois villes saintes paraît au printemps 1980, en même temps que Désert. Deux publications importantes, qui viennent confirmer la contestation et la révolte comme éléments permanents de l’œuvre de Le Clézio, dans une remise en cause de plus en plus généralisée du monde occidental. ‎

‎Trois villes saintes.‎

‎ Paris, Gallimard, (22 avril) 1980. 1 vol. (105 x 195 mm) de 81 p. et [3] f. Broché. Édition originale. Un des exemplaires poinçonnés du service de presse. Envoi signé : "Pour Henri Michaux, ce rêve d'un ailleurs. J.-M.-G. Le Clézio". ‎

‎Chancah, Tixacacal et Chun Pom sont trois villes antiques, aztèques ou mayas, que le jeune Le Clézio chante durant son séjour mexicain des années 1970. Le trentenaire, délaissant les récits de l’angoisse du milieu urbain, a quitté la métropole pour explorer l’ailleurs, et particulièrement le Mexique. Tout tournera alors autour des dieux morts des indiens Embera, des préoccupations écologiques, de l’onirisme et du cheminement méditatif sans lesquels nulle vie n’est possible. Les envahisseurs blancs ont vu, sont venus, ont vaincu, et la sécheresse s’est installée avec la fin des hommes. Mais, pour Le Clézio, les lieux terrestres où sont nées les civilisations, ne sauraient mourir. Ils attendent qu’un autre peuple ou d’autres circonstances permettent la renaissance, entre deux inserts de textes indiens anciens tirés des prophéties du Chilam Balam. Le Clézio, qui adore faire rouler les sonorités des noms étrangers, ou les éparpiller sur la page, observe comment « la civilisation moderne » a stérilisé ou isolé ces peuples « premiers », préférant l’éternité figée de l’âge d’or aux changements de la modernité. La vérité, la liberté, c’est l’eau venue du ciel, celle qui irrigue les champs et la forêt comme les gosiers des hommes. La conscience n’attend pas ni n’exige : « Elle ne juge pas. Ce qu’elle demande, comme cela, muettement, avec orgueil, ce n’est pas vengeance, ni l’argent. Elle est accordée avec le désir des dieux, et elle ne demande que ceci : le pain et l’eau ». Trois villes saintes paraît au printemps 1980, en même temps que Désert. Deux publications importantes, qui viennent confirmer la contestation et la révolte comme éléments permanents de l’œuvre de Le Clézio, dans une remise en cause de plus en plus généralisée du monde occidental. ‎

‎Trois hommes dans un salon.‎

‎ Rock & Folk, n° 25, février 1969. 1 magazine (210 x 270 mm) de 69 p. Broché, sous couverture illustrée. ‎

‎Le 6 janvier 1979 à Paris eut lieu une rencontre à jamais unique entre les trois artistes : une célèbre photo, prise par Jean-Pierre Leloir, immortalisera l'événement, tandis que François-René Cristiani mène l'entretien avec les trois hommes, retranscrit pages 22 à 28 du magazine : 28 questions et autant de réponses, individuelles et collectives, où il est question de poésie, de musique, de cinéma, d'argent, des femmes, de Dieu, de la mort, de l'anarchie, et même des Beatles ! ‎