‎Curel‎
‎La gloire des Muller‎

‎Julliard 1960 275 pages in8. 1960. Relié. 275 pages.‎

Reference : 223682


‎Etat passable (le prix tient compte de l'état) Ancien livre de bibliothèque tranche terne pages jaunies intérieur propre‎

€10.00 (€10.00 )
Bookseller's contact details

Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz

contact@crealivres.com

07.69.73.87.31

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Transfer
Others
Sale conditions

Conformes aux usages de la librairie ancienne.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎Collectif‎

Reference : R300295182

(1992)

‎Raison présente - 4e trimestre 1992 n°104 - Présentation par Jean-Paul Thomas - Corps approchés par Patrice Muller - Corps de misère, corps de gloire par Jean Boussinesq - Un acteur très physique, entretien avec Jean-Marie Frin, propos recueillis par Jean‎

‎Nouvelles Editions Rationalistes. 1992. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 161 pages. Annotation à l'encre sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Présentation par Jean-Paul Thomas - Corps approchés par Patrice Muller - Corps de misère, corps de gloire par Jean Boussinesq - Un acteur très physique, entretien avec Jean-Marie Frin, propos recueillis par Jean-Paul Thomas - L'épopée de l'homme ordinaire par Alain Ehrenberg - Le corps et l'épreuve du réel dans le cinéma de Michelangelo Antonioni par Patrick Vauday - Le corps et la toile par Sylvie Cerquiglini - L'institution des enfants dans le tour d'écrou, ou d'une séduction au-delà du corps par Nathalie Simondon -Le corps à corps perdu par Kevin Nouvel et Christian Ruby - Pour une théorie matérialiste de la morale : Darwin au-delà de Nietzsche par Yvon Quiniou ... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO30214875

(1993)

‎MIROIR DU CYCLISME - N° 470 - septembre 93 + 1 poster (Dojwa et Aboujaparov) / a qui l'heure de gloire / les championnats du monde : Armstrong, le phénomène / Jorg Muller, l'ami de Tony / Jean-Philippe Dojwa / les jeunes gloires du tour...‎

‎EDITIONS J. 1993. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 98 pages augmentées de nombreuses photos en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte + 1 poster en couleurs. . . . Classification Dewey : 796.6-Cyclisme‎


‎Sommaire : a qui l'heure de gloire / les championnats du monde : Armstrong, le phénomène / Jorg Muller, l'ami de Tony / Jean-Philippe Dojwa / les jeunes gloires du tour / classica de San Sebastien / tour féminin... Classification Dewey : 796.6-Cyclisme‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO30219247

(1937)

‎LE MIROIR DES SPORTS - N° 947 - 8 juin 1937 / instantané de la course Paris-Belfort, la plus longue épreuve en une étape : 420 km / quarante ans de courses et de conseils, par Paul Ruinart / le cubain Tunero bat sans gloire le modeste Tchèque Muller...‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1937. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 14 pages - nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte - texte sur plusieurs colonnes. . . . Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎


‎Sommaire : instantané de la course Paris-Belfort, la plus longue épreuve en une étape : 420 km / quarante ans de courses et de conseils, par Paul Ruinart / le cubain Tunero bat sans gloire le modeste Tchèque Muller... Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110312353

(1913)

‎LE MIROIR N° 44 - Mme Raymond Poincaré, Plaie d'argent par André Muller, Pour la gloire, Une nouvelle formule par J. Valmy-Baysse, Le nouveau ministère, L'infirmière par Léo Larguier, La demoiselle du téléphone par Charles Torquet, Ce que les rois‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 26 JANVIER 1913. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 20 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Mme Raymond Poincaré, Plaie d'argent par André Muller, Pour la gloire, Une nouvelle formule par J. Valmy-Baysse, Le nouveau ministère, L'infirmière par Léo Larguier, La demoiselle du téléphone par Charles Torquet, Ce que les rois dépensent pour leur toilette, Pour les collectionneurs Versailles-Congrès Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !