Calmann-Lévy 2008 280 pages in8. 2008. Broché. 280 pages.
Reference : 211877
ISBN : 2702139051
Etat Correct plusieurs rousseurs page garde qq taches rousseurs tranche
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Beyrouth, Éditions Ad-Daïrat, 1983, in-8°, 216 pp, annexes, biblio, broché, couv. illustrée, très bon état, envoi a.s. signé des 2 auteurs et carte de visite d'Antoine Basbous
"Le livre d’Annie Laurent et Antoine Basbous a le mérite de la franchise. Mérite qui n’est pas si courant, tant la complexité des affaires libanaises se prête aux présentations orientées, aux omissions, aux intentions perverses : c’est la guerre. Il a aussi le mérite de la clarté : les malheurs du Liban sont le fait de son voisinage. C’est, au demeurant, dans le cadre d’une recherche sur le « voisinage inégal » dans les relations internationales que les auteurs l’ont écrit, et c’est d’abord la Syrie qui était, pour eux, le grand fauve. L’offensive israélienne Paix en Galilée, à l’été 1982, les a ensuite amenés à souligner la symétrie des visées des deux écrasants voisins et à présenter le Liban comme une proie pour ces deux lions. Syrie et Israël dans le même sac, voilà, en dépit de la vérité objective de la thèse, qui ne plairait pas à tout le monde, fort peu aux « arabistes » et pas du tout au « lion » Assad. (...) La démocratie libanaise, disent fort bien nos auteurs, est un « code de tolérance entre 17 communautés religieuses et minorités ethniques ». S’il n’est pas étonnant que les Syriens aient toujours su trouver, dans ce foisonnement, des alliés, les brusques renversements des alliances déroutent l’observateur. Mais ces subtilités orientales ne sauraient faire oublier à l’Occident le fait incontournable : l’existence, autour du Mont-Liban, d’une communauté chrétienne autonome. La pérennité de cette situation, unique en pays d’Islam, doit beaucoup à la protection fraternelle de la France, sans cesse renouvelée depuis Saint-Louis et dont l’épisode le plus précis est l’expédition de 1860. Hélas ! Charles de Gaulle fut le dernier « souverain » français à accepter sans réticences ce noble héritage. Il a laissé la place – et toute l’amertume des chrétiens libanais se retrouve sous la plume des auteurs – aux technocrates et aux économistes, tenants d’une politique tour à tour pro-israélienne et pro-arabe. L’ultime déception est « le revirement spectaculaire de la politique du gouvernement français à partir de juin 1982 ». L’option idéologique du soutien à l’OLP, choisie tant par le parti socialiste que par le Quai d’Orsay, est douloureusement ressentie par les « libanistes », réduits à se tourner vers l’Amérique : « Il est donc permis de penser que le futur Liban – échaudé par l’attitude française – ne considérera plus la France comme son partenaire prioritaire et privilégié ». Annie Laurent et Antoine Basbous formulent en conclusion 3 hypothèses : tutelle israélienne, neutralité, balkanisation. Trois hypothèses pessimistes, on le voit, mais heureusement incertaines." (Claude Le Borgne, Revue Défense Nationale, 1983) — "Voilà un pays, le Liban, qui n'a jamais fait de mal à ses voisins, qui a le régime politique le plus libéral du monde arabe, qui a accueilli des réfugiés d'une dizaine d'origines. En échange de son innocuité, de sa générosité, depuis bientôt dix ans il est labouré, cisaillé, voire nié par ceux qui en bonne logique auraient intérêt à sauvegarder ce havre. Deux jeunes chercheurs, une Française, Annie Laurent, et un Libanais, Antoine Basbous, se sont retrouvés sur une idée commune : cette entité qui, sans être parfaite, a pu donner des leçons de démocratie et de tolérance à tout son entourage régional, mérite de se reconstituer et de durer. Aussi ont-ils dédié leur travail à ce "Liban auquel ils croient". La difficulté était de faire coexister deux ingrédients détonants : le cœur et la science politique. Ils n'y sont pas trop mal parvenus. Et après tout il n'est pas interdit d'aimer et de vouloir voir revivre cette minuscule nation de plus de trois millions d'habitants accrochant ses dix-sept confessions et ses quatre-vingts partis sur dix mille kilomètres carrés d'une rocaille conquise vingt fois, des pharaons à Tsahal en passant par les Arabes et les Français. Il n'est pas interdit de penser, non plus, que, sans la communauté maronite, à laquelle appartient Antoine Basbous, il n'y aurait pas eu de résistance libanaise digne de ce nom aux empiètements palestiniens ou aux faits accomplis syriens. Les auteurs ont le non-conformisme de penser que le nationalisme libanais, le "libanisme", développé autour du noyau maronite, donnerait aussi du fil à retordre au dernier en date des envahisseurs : l'Israélien – si celui-ci s'éternisait au Liban. C'est pour cela qu'ils ont mis comme sous-titre à leur ouvrage : "Le Liban entre le lion de Juda et le lion de Syrie". Le nom du dictateur syrien, El Assad, signifie "le lion" et Sadate l'avait surnommé ironiquement "le Lion de la Grande Syrie". Pour Damas tout est dans ces deux derniers mots, au mépris de la farouche tradition d'indépendance que les maronites opposèrent pourtant aux colonisateurs musulmans dès le septième siècle. Annie Laurent et Antoine Basbous illustrent avec force citations, entretiens et documents l'obsession unioniste de la Syrie. Un "État druze" ? L'invasion israélienne, qui a privé les Palestiniens de leur domaine sud-libanais, a réduit l'influence syrienne mais elle a aussi ajouté un occupant. Un occupant qui, on ne l'a pas assez souligné, n'a pas été au début accueilli comme tel par d'autres communautés, non chrétiennes, ainsi les musulmans chiites ou druzes. L'idée d'un "État druze" au Liban, naturellement sous "protection" israélienne, reste dans l'air malgré l'opposition du principal chef druze libanais Walid Joumblatt. Dans ce jeu, les grandes puissances essaient de placer leurs pions. Si les auteurs négligent trop les ambitions soviétiques et font exagérément confiance aux Américains pour remettre en selle le Liban, ils se livrent en revanche à une analyse qui ne néglige aucun détail des positions françaises, du général de Gaulle à M. François Mitterrand. Après avoir trouvé des similitudes entre l'attitude des deux hommes d'État, fondée sur le respect de l'intégrité libanaise, Annie Laurent et Antoine Basbous constatent une "déviation" en faveur des Palestiniens, due sans doute à l'influence du Quai d'Orsay, très peu libanophile sous M. Claude Cheysson. Nos deux jeunes chercheurs estiment que l'attitude passée de Paris se répercutera longtemps encore sur les intérêts français au Liban, notamment dans le domaine culturel. L'enjeu, là, n'est plus entre les deux lions voisins, mais entre le coq gaulois et l'Oncle Sam." (J.-P. Péroncel-Hugoz, Le Monde, 1983)
"10. Collection de 5 receuils de duos pour deux violons, reliés en deux volumes in-4° (violino primo , violino secondo). Paris , chez les Frères Gaveaux, ...à L'Harmonie, chez Gaveaux, s.d. (ca. 1810 - 1820 ?). Violino Primo ; Titre + 18 pp ; titre + 19 pp ; titre + 15 pp ; titre + 15 pp ; titre + 15 pp. Violino Secondo ; Titre + 18 pp ; titre + 19 pp ; titre + 15 pp ; titre + 15 pp ; titre + 15 pp. 2 volumes, cartonnage muet moderne, (relié par instrument). Fortes mouillures sur les 20 dernières pages du premier violon. Rare réunion des partitions gravées sur cuivre des 5 premiers ouvrages de Gravrand pour deux violons - Oeuvres 1 - 5, reliées par instrument. Suivant Fétis -vol. IV , pp. 91 - Gravrand a composé en total 8 recueils de ce genre et ''Ces ouvrages ont obtenu à juste titre un brillant succès''. In English; Complete set, bound in 2 vols , per instrument (first violin, second violin) of the first 5 collections of violin duos by Gravrand, each volume with ca. 70 pp. of copper engraved music. (sheet music).."
"5. Oeuvre 44. Quintette pour deux violons, deux Altos et Violoncelle. Oeuvre 18. Quatuor pour deux violons, alto et violoncelle. Oeuvre 80. Andante, Scherzo, Capriccio et Fugue. Quatuor pour deux violons, alto et violoncelle. opus 81. Paris, chez Richault, s.d. (1830 for opus 12, 1833 for opus18) PN 2766, 2842, 3970-3972, 3100, and in Paris by Brandus, PN 5087 & 5088 (for opus 81 & 82), in-folio, uniform cont. half-cloth with marbled boards, all the parts bound together per instrument (5 vols), the copy of Thomas Thomassen (?) with his wax seal on the front cover of each volume. Nice set although the part of the first violin is more used and has some marginal waterstaining. BM Cat.printed Music; for opus 12, g 635.p(3) ; for opus 18, h 1445.bb(3)."
Wolfgang Amadeus Mozart, Giambattista Cimador - Giambattista Cimador (1761-1805)
Reference : 27882
A Paris, Chez JANET et COTELLE, M.ds de Musique ordinaires du ROI et de la Famille Royale, au Mont d'Or Rue S.t Honore, N.o 125, pres celle des Poulies. Et Libraires, Rue Neuve des Petits Champs, N.o 17, vis-a-vis le Tresor Royal. L. Aubert Sculpsit. - Prix 21.fr- 1ère et 2ème Suite (Symphonies I à VI),19+19p.; ... (Paris, Janet et Cotelle, Imbault (pour certaines parties), [circa 1812, cot. 359 et 364])
Jean-Baptiste Cimador, dit « le comte Cimador », né à Venise en 1761, se fixa à Londres vers 1791 pour y enseigner le chant. Indigné de ce que l'orchestre de Hay-Market refusa de jouer les symphonies de Mozart à cause des difficultés d'exécution qu'elles présentaient, il arrangea les six plus belles en sextuors à cordes, avec flûte ad libitum, et dans le plus grand respect de l'oeuvre de Mozart. C'est ce qui permit à ces symphonies d'accéder au grand succès qu'elles n'avaient pu obtenir. Cimador est mort à Londres vers 1808. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
ERATO. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, photo: GIRAUDON. Biographie de CLAUDIO SCIMONE qui commence à l'intérieur de la pochette.. . . . Classification : 410-33 Tours
Disque n°GRAVURE UNIVERSELLE STEREO STU 70545 Classification : 410-33 Tours