Dominique bedou/relief 1985 235 pages in8. 1985. Broché. 235 pages.
Reference : 198741
ISBN : 2903096333
Bon Etat
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
A.Dumon. 16 octobre 1874. In-Plano. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages, première page illustrée d'une gravure en couleurs par Gilbert-Martin: déballage au choix.. . . . Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens
Déballage au choix, M.Gras, Don carlos, Ls candidats conservateurs à Bordeaux. Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens
First interactive. 2010. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 352 pages - quelques photos et illustrations en couleur dans le texte. . . . Classification Dewey : 4-Traitement des données. Informatique
Sommaire : déballage et synchronisation, téléphoner et renvoyer sms, mms, photos et vidéos, musique, photo et vidéo, internet et messagerie électronique, télecharger et installer des applications Classification Dewey : 4-Traitement des données. Informatique
Bureau de la revue. 15 octobre 1976. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 545 à 576.. . . . Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne
Sommaire : Fils de David, pitié, D'un déballage a un débat : une occasion de réfléchir, Que penser, en France, des chrétiens pour le socialisme ?, La sécurité sociale toujours en question, Les Etats Unis a la veille des élections Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne
Dominique Bedou 1985 in8. 1985. Broché.
Bon état bonne tenue intérieur propre
Paris 18 mars 1905 | 13.10 x 20.90 cm | 3 pages sur un double feuillet
Lettre autographe signée de Victor Segalen adressée à Emile Mignard, trois pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet de papier quadrillé. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Une des très rares lettres relatant le rocambolesque sauvetage des oeuvres de Gauguin par son "champion". Emile Mignard (1878-1966), lui aussi médecin et brestois, fut l'un des plus proches amis de jeunesse de Segalen qu'il rencontra au collège des Jésuites Notre-Dame-de-Bon-Secours, à Brest. L'écrivain entretint avec ce camarade une correspondance foisonnante et très suivie dans laquelle il décrivit avec humour et intimité son quotidien aux quatre coins du globe. C'est au mariage de Mignard, le 15 février 1905, que Segalen fit la connaissance de son épouse, Yvonne Hébert. Segalen a quitté Tahiti, après avoir transité par Colombo, Port Saïd et Toulon, il est à Paris pour quelques jours et raconte à son ami les réactions face aux uvres de Gauguin qu'il a fait revenir de Polynésie. La vente aux enchères des biens et des uvres de Gauguin, demeurés dans sa Maison du Jouir après sa mort, se déroula à l'automne 1903. L'un des rares acquéreurs présents lors de cette liquidation fut Victor Segalen qui permit ainsi le sauvetage de plusieurs pièces capitales du peintre qui risquaient d'être détruites dans l'indifférence générale. Segalen, qui avait espéré arriver à temps pour rencontrer Gauguin, ravive sa mémoire en tentant - malgré sa faible solde - d'acquérir un maximum d'uvres de son défunt mentor. Il relate dans son «Hommage à Gauguin» (préface desLettres de Paul Gauguin à Georges-Daniel de Monfreid, 1918) cette dispersionaujourd'hui incroyable : «Puis s'accomplit la vente judiciaire, sous les formes les plus légales, les plus sordides. On liquida sur place les objets «utiles», vêtements, batterie de cuisine, conserves et vins. Une autre adjudication eut lieu à Papéété, et comprenait quelques toiles, deux albums, l'image de Satan et de la concubine Thérèse, le fronton et les panneaux de la Maison du Jouir, la canne du peintre, sa palette. Pour acquéreurs: des marchands et des fonctionnaires; quelques officiers de marine; le Gouverneur régnant à cette époque; des badauds, un professeur de peinture sans élèves devenu écrivain public. [...] La palette m'échut pour quarante sous. J'acquis au hasard de la criée tout ce que je pus saisir au vol. Une toile [Village breton sous la neige], présentée à l'envers par le commissaire-priseur qui l'appelait «Chutes du Niagara» obtint un succès de grand rire. Elle devint ma propriété pour la somme de sept francs. Quant aux bois - fronton et métopes de la Maison du Jouir, personne ne surmonta ma mise de...cent sous! Et ils restèrent à moi. [...] Les bois de la Maison du Jouir, je les destinai dès lors, à l'autre extrémité du monde, à ce manoir breton que Saint-Pol-Roux se bâtissait, lui aussi, comme demeure irrévocable, dominant la baie du Toulinguet, sur la presqu'île atlantique. La palette, je ne pus décemment en faire mieux hommage qu'au seul digne de la tenir, - non pas entre ses doigts, comme une relique dont on expertise avec foi l'origine, - mais passant dans l'ovale au double biseau le pouce qui porte et présente le chant des couleurs, ...à Georges Daniel de Monfreid.[...] Cette toile [Village breton sous la neige], je l'ai gardée. Le don même en serait injurieux. Gauguin mourut en la peignant, c'est un legs. » La biographie de Gauguin par David Haziot, dresse l'inventaire précis des uvres achetées par Segalen: «Segalen put acquérir sept toiles sur dix. Parmi elles l'autoportraitPrès du Golgotha[aujourd'hui au musée d'art de Saõ Paulo]. Les sculpturesPère PaillardetThérèsepartirent, ainsi qu'une seconde version des trois femmes au bord de la mer dont une allaitant à leurs pieds. [...] Segalen [...] emporta le carnet de dessins d'Auckland, quatre des cinq panneaux de bois qui ornaient la porte de la Maison du Jouir (pour 100 sous!), les photographies d'Arosa avec notamment
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