E.flammarion 315 pages in12. Sans date. Cartonné. 315 pages.
Reference : 194681
Etat Correct pages + tranche jaunies
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Le Bréviaire romain - partie d’hiver - imprimé en 1533 en deux forts volumes in-8 somptueusement reliés dans la seconde partie du XVIe siècle pour le prieur des bénédictines de Sainte Suzanne, avec son nom « Chastellain » frappé en lettres d’or au centre du plat inférieur et illustré par Geoffroy Tory. Pars hyemalis brevarii impressa 1533.2 volumes in-8. Impression en rouge et noir sur double colonne. Plein maroquin olive, plats ornés en leur centre des instruments de la passion, plats supérieurs portant en lettres plein or le nom du monastère de Sainte Suzanne, plats inférieurs portant en leur centre en lettres plein or le nom du prieur des bénédictines de Sainte Suzanne, « Chastellain », encadrement d’une large roulette dorée de motifs à la fanfare : fers évidés, pointillés, fleurettes et feuillage dorés insérés dans des motifs géométriques évidés, dos lisses magnifiquement ornés de décors à la fanfare avec, en leur centre, les instruments de la passion, filet or sur les coupes, tranches dorées, trois attaches. Reliures du XVIe siècle. 155 x 99 mm.
Le Bréviaire romain - partie d’hiver - imprimé en 1533 en deux forts volumes in-8 somptueusement reliés dans la seconde partie du XVIe siècle pour le prieur des bénédictines de Sainte Suzanne, avec son nom « Chastellain » frappé en lettres d’or au centre du plat inférieur et illustré par Geoffroy Tory.Imprimé sur deux colonnes en rouge et noir, il commence par le calendrier de l’année et est orné de belles gravures sur bois dans le texte et à pleine page, la première portant la Croix de Lorraine, signature de Geoffroy Tory (1480-1533), et la date 1533.La lecture approfondie de la biographie de Geoffroy Tory par A. Bernard nous apprend que la signature d’une gravure de cette époque de la seule Croix de Lorraine signifie que Tory a dessiné et gravé la pièce où elle figure (Réf : Geoffroy Tory - Peintre et graveur par Auguste Bernard, Paris, 1865, p. 241).« Geoffroy Tory est le plus anciennement connu de ces excellents artistes à qui la typographie dut sa première splendeur.L’homme qui contribua le plus à la triple évolution dont je viens de parler est Geoffroy Tory, qui reçut en 1530, comme récompense de ses travaux, le titre d’Imprimeur du Roi, que François Ier n’avait encore accordé à personne, on doit à Tory la rénovation de la gravure en France. Le point capital de mon travail est de faire connaître Tory comme l'un des plus habiles graveurs que nous ayons eus. Sans doute je ne pouvais oublier en lui l’éditeur érudit de la Cosmographie du pape Pie II, de l’Itinéraire d’Antonin, etc. ; le libraire de goût qui a publié les Heures de 1525, 1527, etc. ; l’imprimeur élégant du Sacre de la reine Éléonore ; le philologue distingué du Champfleury, auquel on doit, comme nous le verrons, l’invention des signes orthographiques particuliers à la langue française, mais ce qui en Tory m’a surtout captivé, c’est son rôle de graveur. Là il fut sans prédécesseur et sans émule, car ceux qu'on pourrait vouloir lui donner pour tels ne purent être que ses élèves. Jean Duvet seul a le droit de repousser cette qualification ; mais, s’il fut le contemporain de Tory, il ne fut pas son maître, car celui-ci était allé s’initier à l’art aux sources mêmes, en Italie, avant que Duvet eût rien produit. Quant à Jean Cousin, à de Laulne, à du Cerceau, à Léonard Gauthier, etc., ils ne vinrent qu’après Tory. L’honneur d’avoir rénové la gravure en France appartient à Tory seul, à cheval sur deux siècles, le quinzième et le seizième. » A. Bernard. Magnifique exemplaire du bréviaire des bénédictines de Sainte Suzanne illustré par Geoffroy Tory et conservé dans ses remarquables et fort rares reliures à la fanfare du XVIe siècle en parfait état de conservation.
Paris, Éditions de la Galerie Simon, 1923. In-8 broche, couverture imprimee.
Illustre de 3 lithographies en couleurs de Suzanne Roger. Édition originale. Tirage à 112 exemplaires, un des 100 exemplaires sur vergé d’Arches, signé par l’auteur et l’illustratrice. Suzanne Roger est une nouvelle venue dans l'écurie Kahnweiler. Elle est l'épouse du peintre André Beaudin, ami de Juan Gris. Tous deux sont invités aux dimanches de Boulogne. Lorsque Daniel-Henry Kahnweiler lui confie l'illustration du texte de Max Jacob, elle a vingt-quatre ans, n'a jamais illustré de livre et n'a pas beaucoup d'expérience de la gravure. Elle choisit la lithographie dont elle apprécie la spontanéité d'expression et transpose dans son propre univers poétique, l'atmosphère fantastique du texte du poète. Skira 312; Hugues 15; Pompidou p. 184; Chapon p. 284; Galland p. 902.
Paris, E. Joullot, s.d. (vers 1915) in-8, [4] pp. n. ch., avec un portrait en médaillon (Suzanne Valroger) sur la première page, musique notée, catalogue des éditions Joullot sur la dernière page, en feuille.
Une des nombreuses chansons célébrant l'héroïsme des combattants de la Première guerre mondiale.Compositeur de second plan, René Mercier (1896-1973) est surtout connu comme chef d'orchestre. Il n'a jamais eu de très gros succès personnels, hormis quelques chansons : Elle s'était fait couper les cheveux, en référence à la garçonne des années 1920. En revanche, son chant patriotique Verdun ! On ne passe pas, écrit en pleine bataille (1916) reste un de ses grands succès, dû aux circonstances. De même pour Adieu, vieille Europe (1931), devenu un chant-culte de la Légion étrangère.Quant à Suzanne Valroger (1877-1947), la principale interprète mise ici en vedette, elle se rendit célèbre, avant la Première Guerre mondiale, au Petit Casino comme chanteuse à voix et pendant l'entre-deux-guerres, avant de retomber dans l'anonymat.
Paris, Librairie de l'Estampe, 1920. In-8 oblong, 20 planches, sous portefeuille demi-toile à rabats (portfolio : un peu frotté, lacets cassés).
20 jolies compositions de nus féminins nonchalants (dont une en maillots de bains) en bistre et couleurs, très bien reproduites. Agréable exemplaire. * Curiosa, Erotica. * Voir photographies / See pictures. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
1663 - REY (Robert). Suzanne Valadon. Paris, Editions de la NRF, coll. "Les Peintres français nouveaux", in-16, broché, 63 pp., autoportrait en frontispice gravé par G. Aubert, 5 vignettes contrecollées et 24 planches in-fine. Édition originale. Un des 215 exemplaires numérotés sur pur fil Lafuma, seul grand papier, avec une épreuve sur Chine du portrait signée par le graveur.- BALSER (Adolphe). Suzanne Valadon. Paris, Crès et Cie, coll. "Les Artistes nouveaux", 1929, in-8, broché, couverture illustrée, 12 pages et 32 compositions en héliogravure.- Exposition Suzanne Valadon. Paris, Galerie Le Portique, s.d [1931], plaquette in-12, agrafée, 40 numéros, une reproduction. Texte d'Edouard Herriot.- Exposition de Suzanne Valadon. Bruxelles, Le Centaure, s.d. [1931], plaquette in-12, agrafé, 60 numéros. Joints : deux petites photographies de l'artiste et ses amis place du tertre et deux cartons d'invitation.- Affiche imprimée de l'exposition Suzanne Valadon à la galerie Georges Petit du 12 au 31 octobre 1932 (80 x 61 cm).- Exposition Suzanne Valadon, Maurice Utrillo, André Utter, Georges Salendre. Genève, Galerie, Moos, 1932, plaquette in-8, agrafée, 24 p., 169 numéros, reproductions.- Exposition d'oeuvres anciennes et récentes de Suzanne Valadon choisies dans les collections de Monsieur et Madame Maurice Utrillo et de Monsieur et Madame Pétridès. Paris, Galerie O. Pétridès, 1938, plaquette in-8, agrafée, 40 numéros. Tirage limité à 120 exemplaires sur papier couché et couverture de japon nacré. Minimes rousseurs en marge supérieure du premier plat de couverture- Hommage à Suzanne Valadon (1867-1938). Paris, Musée National d'art Moderne, 1948, plaquette in-12, agrafée, 118 numéros. Introduction de Jean Cassou.