Braun 1969 in4. 1969. Cartonné jaquette.
Reference : 179456
Bon Etat jauni jaquette abimée
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
J.N. Barba, 1821, Paris 1821. In-2 relié (10, 7 x17,5, cm). - Edition originale. Reliure demi-veau fauve, dos lisse orné de motifs décoratifs dorés, titre doré, amorce du mors légèrement fendu, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliure de l'époque, 334 pages. Ouvrage illustré de 2 planches de botanique dessinées par Bory de St-Vincent, gravées par Forestier et aquarellées, d'une carte dépliante in-fine ainsi que de 3 vignettes sur bois de Thompson dont une en frontispice. Quelques petites rousseurs sans gravité.-270g.C. - Bon état.
Editions Quantin, [1885]. Volume in-4 relié demi-chagrin brun, dos à nerfs orné de motifs dorés, premier plat aux armes (Ecole Saint-Ignace à Paris), couverure chromolithographiée conservée, 676 pages. Ouvrage abondamment illustré de cinq cents dessins par H. Toussaint, Fraipont et d'autres illustrateurs du XIXe, bien complet des quatre cartes en couleurs hors-texte. Bon exemplaire, reliure agréable et en bon état, intérieur frais sans rousseurs.
[Droit - Ecosse], Recueil des pièces présentées à sa Majesté très-chrétienne, à la Tournelle du Parlement de Paris, & à M. de Sartine, Lieutenant Général de Police ; En conséquence de deux Jugemens portés par la Cour de Session en Ecosse ; le premier daté du 27 Juillet, & le second du 11 Août présente année 1763 [etc.]. Paris, Michel Lambert, 1763. In-4, [2]-51p. Intéressant document autour d'une des plus importantes affaires du XVIIIe siècle. La sour du dernier duc de Douglas (1694-1761), Lady Jane Douglas (1698-1753) se serait mariée en secret au chevalier John Stewart de Grandtully (1687-1764), sympathisant jacobite réfugié en France. En 1748, Jane informe son frère de la naissance de jumeaux, Archibald et Sholto. Ce dernier mourra comme sa mère en 1753. Le duc refusa de reconnaître cette naissance et coupa les vivres à sa sour. Suite à son mariage avec Margaret Douglas de Mains, le duc accepta de reconnaître la naissance de son neveu. Après la mort du duc, les Hamilton contestèrent l'héritage. Bien que la cour statuât contre le neveu en 1767, la Chambre des Lords inversa la décision, sans appel possible. Les deux jugements reproduits ici indiquent que toute la procédure faite en France n'a aucune valeur en Ecosse. Une des conséquences est que les témoins des Hamilton ne pourraient pas répondre en Ecosse car, selon l'usage écossais, un témoin ne peut comparaître qu'une seule fois. Reliure bradel demi-parchemin (début XXe), titre manuscrit. Intéressant document.
Paris, Mme Ve Courcier, (1820), in-8, X-[2]-519-[4] pp, 7 pl, 2 cartes, Demi-basane tabac de l'époque, dos lisse et fileté, pièces de titre rouges, Rare édition originale du tout premier ouvrage sur la géologie de l'Écosse. Il comprend 7 planches et 2 cartes géologiques dépliantes de l'Écosse et des Îles Shetland, l'une étant rehaussée à l'aquarelle. Né à Hambourg dans une famille suisse d'ascendance française, Ami Boué (1794-1881) étudia à l'Université d'Édimbourg où il fut initié à la géologie par le minéralogiste Robert Jameson. Sous l'influence de ce dernier, il adhéra dans un premier temps au neptunisme. Boué effectua de longues marches à travers l'Écosse, à l'issue desquelles il forma ses propres conclusions sur l'origine et l'âge des nombreuses roches ignées présentes dans le pays : il publie son excellent traité sur le sujet lors de son passage à Paris. À plusieurs égards, ce travail est considéré comme très en avance sur son temps : Boué est en effet parvenu à reconnaitre la nature volcanique de tout un groupe de roches feldspathiques et trappéenes du centre de l'Écosse ; pour la première fois à l'intérieur d'une table géologique du pays, il introduit une division intitulée "Terrain volcanique", dans laquelle il inclut non seulement les basaltes jeunes des Hébrides intérieures (décrits auparavant par Faujas de Saint-Fond), mais également les basaltes, andésites, tufs et autres roches volcaniques du Carbonifère. Bon exemplaire. Cachets annulés de l'Institut catholique de Paris. Dos passé, étiquette en pied. Quelques rousseurs. Geikie, The Founders of Geology, p. 264. Ward & Carozzi, 270. Couverture rigide
Bon X-[2]-519-[4] pp., 7 pl., 2
Reine d'Écosse (1542-1567) et de France (1559-1560), née le 8 décembre 1542 au palais de Linlithgow (Écosse), morte le 8 février 1587 au château de Fotheringhay (Northamptonshire, Angleterre). Fille unique de Jacques V d'Écosse et de Marie de Guise, Marie Stuart devient reine d'Écosse sous la régence de sa mère six jours après sa naissance. Afin d'échapper à l'emprise d'Henri VIII d'Angleterre, elle est envoyée en France et élevée à la cour d'Henri II et de Catherine de Médicis par les puissants Guise, cousins de sa mère. Marie Ire Stuart épouse le Dauphin François en avril 1558. Lorsque Élisabeth Ire (Tudor) monte sur le trône d'Angleterre en novembre 1558, Marie devient l'héritière présomptive de la Couronne en raison de son ascendance Tudor (elle est l'arrière-petite-fille d'Henri VII). À la mort de son père, en 1559, François II devient roi de France, partageant le trône avec Marie jusqu'à sa mort précoce, en décembre 1560. vol relié gd in4, 30x20, demi cuir, bel état intérieur, 288 pages, tranches dorées. Tours, Mame 1889