Bordas 1965 in12. 1965. Broché.
Reference : 169968
Bon Etat
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Droz 1994 317 pages in8 petit. 1994. broché. 317 pages.
Bon état (BE) légeres usures de la couverture intérieur bon
Aristide quillet 1928 in12. 1928. Relié.
coiffe de tête abîmée coins inférieurs cornés frottés présence de rousseurs à l'intérieur (globalement peu marquées)
Bibliothèque nationale 1877 160 pages in16. 1877. Broché. 160 pages. collection des meilleurs auteurs anciens et modernes
Etat Correct pour ce livre de 1877 couverture défraîchie coin sup. droit un peu grignoté intérieur uniformément jauni pages non coupées
Pierre Ribou, Paris, 1708, in-12 (16x10cm), 103 pp. - 2 ffnch. - 22 pp., reliure plein vélin ivoire moderne, pièces de titre et date en maroquin brun et vert avec filets dorés (petit accroc plat supérieur).
Vignette page de titre de Le Fèvre, frontispice, bandeaux et lettrines. 2 comédies en vers réunies, le Légataire et la critique du Légataire. Edition originale, la pièce fut jouée pour la première fois le 9 février 1708, elle est placée par des critiques au-dessus de toutes les pièces de Regnard, même du Joueur: "c'est du moins celle où la véritable nature de son talent se montre le mieux dans tout son jour, et c'est peut-être le chef-d'œuvre de cette gaieté comique qui se borne à faire rire. Il n'y a rien de plus plaisant au théâtre que le testament de Crispin dans cette pièce où la verve et l'entrain se soutiennent d'un bout à l'autre" Wikipédia
[Paris], Imprimerie de Demonville, s.d. (1817) in-4, titre, 29 pp., dérelié.
Un des factums de ce procès célèbre qui fit scandale à l'époque.Le dernier Prince de Conti, mort en 1814 à Barcelone, s'était engoué assez tôt d'Auguste-Claude Leconte Desgraviers (1749-1822), fils d'un conseiller au Parlement de Paris, nommé gentilhomme de sa maison dès 1770. Il accompagna et assista le prince tout au long des épreuves et vicissitudes de la Révolution et de l'Empire. le prince le nomma son légataire universel peu avant sa mort, mais la plupart des biens subsistants du dernier des Bourbons-Conti avaient été soit nationalisés pendant la Révolution, soit réunis à la Couronne récemment restaurée.Alors, l'habile Desgraviers se souvint de l'épisode de la cession de la seigneurie de l'Isle-Adam à Louis XVI en 1783 : dernier seigneur de L'Isle-Adam, le Prince de Conti, avait vendu une partie de son patrimoine au comte de Provence Louis-Stanislas-Xavier, comte de Provence, qui agissait comme prête-nom de son frère à titre personnel. La transaction se fit en ces termes : Louis XVI devait avoir la nue-propriété des seigneuries de l'Isle-Adam, Nogent, Valmondois, Parmain, Jouy-le-Comte, Champagne, Presles, Fontenelle, Boulonville, Stors, Chaumont-en-Vexin, Trie, Mouy, Méru, Mantes, Meulan, Pontoise, Auvers, Beaumont, Chambly, etc. ; mais il déclarait qu'il n'entendait point réunir ces biens au domaine de la Couronne et qu'il voulait les posséder distinctement pour en disposer par la suite à son gré. Le comte de Provence, prête-nom, n'aurait que l'usufruit sa vie durant. Le tout à la condition de payer au prince un lourd capital ainsi que des intérêts. Or, une partie seulement du prix avait été versée et une rente restait due : Desgraviers la réclama à Louis XVIII, et, sur son refus, intenta un procès. Défendu par Dupin, il gagna en appel, mais la Cour de cassation cassa l'arrêt en 1822, peu avant la mort du demandeur (20 novembre 1822). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT