‎Jacques Chessex‎
‎Monsieur‎

‎Grasset et fasquelle 2001 297 pages in8. 2001. Broché. 297 pages. Il y a un goût du secret du caché de l'interdit qui m'est venu très tôt avec la détestation de ma condition d'enfant et la rumination de quelques jouissances. (...) J'avais huit ans je ne l'oublie pas ! Mais je me rappelle ces moments avec une précision d'autant plus exacte qu'elle est le miroir de ce que je suis aujourd'hui. L'autobiographie de Jacques Chessex. Dans le clair-obscur du temps et de la mémoire des scènes qui frappent cinglent retiennent. Chessex se révèle. Il dit parfois l'innommable. Il dit le trouble du passé. Du même auteur : L'Ogre ; La Trinité ; L'Imitation‎

Reference : 159331
ISBN : 2246610915


‎Bon Etat‎

€12.00 (€12.00 )
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Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz

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‎Jonathan Mangelinckx / Borys Delobbe (Auteur)‎

Reference : 63664

‎aventures de monsieur Artono - Au pays de l?art nouveau‎

‎, Editions du Mus e Horta, Couverture reliee 44 PAGES 17,4 cm 25,0 cm 1,0 cm. ISBN 9782491871086.‎


‎Monsieur Artono a 130 ans et toutes ses dents ! c?est Art nouveau. Il est n Bruxelles en 1893 avec une id e un peu folle derri re la t te : r volutionner l?architecture et les arts d coratifs. Rien que a ! Gr ce ses deux cerveaux, l?un rectiligne et l?autre courbe, monsieur Artono peut prendre toutes les formes, dont celles qui sont n es de l?imagination de Victor Horta et aussi Paul Hankar, les inventaires de l?Art nouveau en Belgique. La plupart du temps, monsieur Artono travaille tr s s rieusement, mais il aime aussi faire rire les enfants ! Ce sacr blagueur et un peu comme toi et moi : unique en son genre et riche de ses racines europ ennes, africaines, orientales, asiatiques?‎

ERIK TONEN BOOKS - Antwerpen

Phone number : 0032495253566

EUR19.00 (€19.00 )

‎Merci, Monsieur le Maire (Jean Drapeau)‎

Reference : 45147

(1985)

‎Merci, Monsieur le Maire. Un hommage de la collectivité au maire Jean Drapeau et au Parti Civique de Montréal à l'occasion d'un dîner soulignant le 25e anniversaire de la fondation du parti‎

‎ Couverture souple Montréal 1985 ‎


‎Très bon In-8. Non paginé (12 pages). Relié avec un ruban. Illustrations, menu, etc.‎

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(ALAC, )

Phone number : 514-522-8848

CAD20.00 (€13.10 )

‎FRANCE, Anatole.‎

Reference : 25954

‎LES OPINIONS DE MONSIEUR JEROME COIGNARD.‎

‎Paris, Mornay, 1924 14.9x20.4 cm., 217 pp. suivi par des illustrations en n/b hors texte de Sylvain Sauvage, avec un frontispice/gravure originale en couleurs de Sylvain Sauvage, relie demi-maroquin vert a coins, filet dore cernant les plats de pap., dos a 5 nerfs et finnement fleuronnes dores (decor floral), tete doree, couverture imprimee d'editeur. Relie par Laurent Peeters - Anvers. Tirage limite. Tirage de 1000 exemplaires dont 900 exemplaires sur papier de rives numerotes de 101 a 1000.‎


ERIK TONEN BOOKS - Antwerpen

Phone number : 0032495253566

EUR395.00 (€395.00 )

‎QUERANGAL (Pierre-Maurice-Julien de).‎

Reference : 8783

(1803)

‎Lettre autographe signée du commandant Quérangal à l'amiral Duckworth. 21 octobre 1803. « Spanishtown le 21 octobre 1803. Le commodore Querangal, à Monsieur l'amiral Duckworth. Monsieur l'amiral. par la lettre dont vous m'avez honoré en date du 15 de ce mois, je vois avec plaisir et reconnoissance que je --- compter sur mon retour en angleterre par le premier convoi mais je vois avec peine que le nombre des officiers de marine qui doivent jouïr de cette faveur est peu considérable, puisque mon état major ne paroit pas devoir etre compris dans vos dispositions actuelles le nombre en est si petit. Ils ont déjà partis par la voie de l'amérique pour cause de maladie, que j'ose espérer qu'en… … yeux sur la liste que je vous adresse, vous ferez un nouvel effort pour me procurer l'agrément de n'en être pas séparés. Mais s'il vous est impossible Monsieur l'amiral, de m'accorder le passage de tous, je réclame particulièrement Monsieur Belleville mon adjudant, et Monsieur Savery mon agent comptable. Le premier est inséparable de la dignité de mon grade, et le second n'était en quelque sorte que mon premier secrétaire, chargé de la comptabilité générale d'un vaisseau que je commandois depuis cinq ans et demi, il est instant qu'il opere son retour avec moi, afin que je puisse rendre compte à mon gouvernement, remettre les inventaires des morts, et faire toucher aux familles des malheureux prisonniers des secours en a-compte de la solde qui leur est dûe. Quand a Messieurs Corvoisier et Fouquier, tous deux officiers d'infanterie passagers à mon bord pour cause de maladie, l'humanité autant que votre bienveillance… le… faveurs, puisqu'il est constant qu'ils ont toujours été malades depuis leur séjour a la Jamaïque, et qu'ils ne doivent point espérer de se rétablir parfaitement en cette isle. J'ai egalement l'honneur, Monsieur l'amiral, de vous adresser la liste de mes premiers maitres dont je demande avec instance le retour. Ces hommes servent sous mes ordres depuis plusieurs années, et ont acquis des droit à mon estime et a ma sollicitude. Je suis bien sincèrement affecté, Monsieur l'amiral, des difficultés qu'éprouve le retour en france des malheureuses femmes passagères a bord du Duquesne. Je conçois que vos lois s'opposent a ce qu'elles obtiennent leur passage sur les batiments de guerre mais ne seroit-il pas possible qu'elles passent sur les batiments de commerce faisant partie du convoi. Si vous leur refuter cette faveur que deviendront elles, puisqu'elles sont toutes dans l'impossibilité de payer leur passage, même pour l'amerique. Veuillez, Monsieur prendre ma lettre en considération, m'honorer d'une réponse définitive et agréer l'assurance des sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'Etre votre très humble et obéissant serviteur. Querangual ».‎

‎, , 1803. 4 pp. in-8. ‎


‎« Spanishtown le 21 octobre 1803. Le commodore Querangal, à Monsieur l'amiral Duckworth. Monsieur l'amiral. par la lettre dont vous m'avez honoré en date du 15 de ce mois, je vois avec plaisir et reconnoissance que je --- compter sur mon retour en angleterre par le premier convoi mais je vois avec peine que le nombre des officiers de marine qui doivent jouïr de cette faveur est peu considérable, puisque mon état major ne paroit pas devoir etre compris dans vos dispositions actuelles le nombre en est si petit. Ils ont déjà partis par la voie de l'amérique pour cause de maladie, que j'ose espérer qu'en regardant sur la liste que je vous adresse, vous ferez un nouvel effort pour me procurer l'agrément de n'en être pas séparés. Mais s'il vous est impossible Monsieur l'amiral, de m'accorder le passage de tous, je réclame particulièrement Monsieur Belleville mon adjudant, et Monsieur Savery mon agent comptable. Le premier est inséparable de la dignité de mon grade, et le second n'était en quelque sorte que mon premier secrétaire, chargé de la comptabilité générale d'un vaisseau que je commandois depuis cinq ans et demi, il est instant qu'il opere son retour avec moi, afin que je puisse rendre compte à mon gouvernement, remettre les inventaires des morts, et faire toucher aux familles des malheureux prisonniers des secours en a-compte de la solde qui leur est dûe. Quand a Messieurs Courvoisier et Fouquier, tous deux officiers d'infanterie passagers à mon bord pour cause de maladie, l'humanité autant que votre bienveillance… le… faveurs, puisqu'il est constant qu'ils ont toujours été malades depuis leur séjour a la Jamaïque, et qu'ils ne doivent point espérer de se rétablir parfaitement en cette isle. J'ai egalement l'honneur, Monsieur l'amiral, de vous adresser la liste de mes premiers maitres dont je demande avec instance le retour. Ces hommes servent sous mes ordres depuis plusieurs années, et ont acquis des droit à mon estime et a ma sollicitude. Je suis bien sincèrement affecté, Monsieur l'amiral, des difficultés qu'éprouve le retour en France des malheureuses femmes passagères a bord du Duquesne. Je conçois que vos lois s'opposent a ce qu'elles obtiennent leur passage sur les batiments de guerre mais ne seroit-il pas possible qu'elles passent sur les batiments de commerce faisant partie du convoi. Si vous leur refuter cette faveur que deviendront elles, puisqu'elles sont toutes dans l'impossibilité de payer leur passage, même pour l'amerique. Veuillez, Monsieur prendre ma lettre en considération, m'honorer d'une réponse définitive et agréer l'assurance des sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'Etre votre très humble et obéissant serviteur. Querangal ». ‎

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Reference : 42826

(1880)

‎[Archives Jules Audéoud. Manuscrit]. Le Déménagement sans pareil. Du n°15 de la Rue de Hambourg au n°52 de la Rue Ampère. Septembre 1880. Fait pour Monsieur Jules Audéoud.‎

‎Sans lieu, , 1880. In-folio manuscrit en belle page de (3)-178 ff., frontispice et 39 vignettes aquarellées dans le texte, culs de lampe en noir, demi-maroquin noir à coins, dos à nerfs, titre doré sur le dos, tranches rouges (reliure de l’époque). ‎


‎« De nombreux objets, aussi précieux que délicats, attendent encore l’heure fatale qui doit décider de leur sort. Arriveront-ils à bon port ou seront-ils fracassés pendant le trajet ? »Récit pittoresque du déménagement d’un grand collectionneur dans Paris en 1880 consigné en guise de souvenir par l’organisateur de l’opération. « Le petit hôtel de la rue de Hambourg ne suffisait plus pour loger tous les bibelots de Monsieur Jules Audéoud ; et lui-même était très mal logé. La maison était malsaine, en plein Nord ; il n’y avait de soleil que dans le chalet de nécessité et encore ! En août 1879, Monsieur Audéoud acheta un terrain rue Ampère ; en octobre suivant, on commença la construction et la maison qui devait être prête en juillet 1880, n’était pas terminée en septembre. Mais il fallait quitter l’hôtel de la rue de Hambourg. On fut donc obligé d’emménager au milieu des maçons, des serruriers et des peintres, c’est-à-dire dans de très mauvaises conditions. Monsieur Audéoud était malade et Monsieur Baladier voulut bien se charger de diriger l’opération. Il donne plus loin l’historique de ce déménagement mémorable. Monsieur Audéoud lui a fourni quelques notes et Monsieur Négrier y a semé quelques croquis ».Improbable traversée de Paris du 6 au 16 septembre 1880 où se mêlent sur les charrettes à bras et les brancards des déménageurs la prodigieuse collection de Jules Audéoud composée d’horloges, pendules et instruments de musique anciens, paniers de porcelaine et de vaisselle, bibelots précieux, mais aussi sa bibliothèque (« voici trois livres imprimés en caractères de civilité »), le tout prétexte à des digressions et anecdotes sur l’origine et la découverte des objets. « À cet effet il loue un petit omnibus de chemin de fer dans lequel on transporte : la pendule surmontée du biscuit de Sèvres allégorie au mariage de Louis XVI et Marie-Antoinette ; la pendule à planétaire de Janvier pièce très délicate dont il est question p. 25 et dont le déménagement avait été réservé ; le petit orgue de Davrainville ; l’orgue serinette dudit ; la pendule de Bertrand ; la pendule de voyage avec l’inscription Vera Intuere Media Sequere (…) la Pendule unique de Van Hoof à Anvers qu’on dépose bien doucettement sur le brancard est une pièce mécanique des plus curieuses. » C’est aussi un rare témoignage sur l’activité des déménageurs de l’époque par l’un des leurs, Baladier, un proche du collectionneur, également apprécié pour ses talents de calligraphe : « parmi ces ouvrages, Baladier retrouve plusieurs de ses anciennes oeuvres calligraphiques, dont une surtout attire son attention, c’est : « La Maison de mon oncle ». Pendant la Commune, Monsieur Baladier pour échapper à un mandat d’amener lancé contre lui, a trouvé chez Monsieur Audéoud, une hospitalité généreuse dont il gardera éternellement le souvenir. C’est pendant cette période néfaste que Monsieur Baladier calligraphia cette production de Monsieur Audéoud. L’ouvrage fut orné d’une grande quantité de gravures et dessins dans le texte et hors texte dont la plupart furent coloriés par Mr Audéoud ».L'illustration aquarellée comprend en frontispice un superbe portrait en pied d'Audéoud en géant porteur, enjambant la ville de Paris avec son bâton de marche et 39 vignettes (environ 13 x 6 cm) illustrant différents épisodes de l'opération.« Il n’y a aucune étude sur la collection Audéoud. Les éléments rassemblés sur Paul-Jules Audéoud (1836-1885) et sa collection viennent principalement de la presse de l’époque dont sa nécrologie par Gustave Chouquet dans Le Ménestrel (28 juin 1885, p. 238) ainsi que Chronique des arts (16 mai 1885, p. 156). En mourant de façon prématurée, à l’âge de quarante-huit ans, cet ancien banquier confia à sa nièce la charge de donner la collection assez hétéroclite qu’il avait amassée dans son hôtel parisien de la rue Ampère aux Musées nationaux. Celle-ci s’adressa à Alfred Darcel, le directeur du Musée de Cluny, qui procéda aussitôt à la répartition : il déposa au Musée de Cluny les sculptures, peintures et meubles espagnols, une crèche napolitaine (en dépôt au Musée de la Crèche, Chaumont), au Musée des Arts décoratifs (vingt-deux objets) et au Conservatoire des Arts et métiers sa collection d’horloges, au Conservatoire – d’où la nécrologie dans le Ménestrel – ses nombreux instruments de musique anciens, notamment les guitares espagnoles dont il aimait jouer. C’est en 1885 aussi que furent déposées au Musée de Rouen, ville natale de Darcel, des copies d’oeuvres de Velázquez par le peintre sévillan Díaz Carreño (1836-1903) qu’avait acquises Audéoud. La création en 1886 par l’Académie des Sciences morales et politiques d’un prix Jules Audéoud « pour encourager les études, les travaux et les services relatifs à l’amélioration du sort des classes ouvrières et au soulagement des pauvres » témoigne des préoccupations humanitaires de l’homme » (Véronique Gérard Powell, Julien Lugand, Les échanges artistiques entre la France et l’Espagne, xve-fin xixe siècles, Presses universitaires de Perpignan, 2012).Très beau manuscrit, source précieuse et atypique sur la collection d’un grand donateur des musées nationaux à la fin du XIXe siècle. ‎

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