Centre Joe Bousquet et son temps 2006 71 pages in8. 2006. Broché. 71 pages.
Reference : 145801
ISBN : 9782951981362
couv. un peu salie sinin serait comme neuf
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
POLIGRAFA S.A.. 1985. In-4. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 245 pages - Nombreuses illustrations couleur et noir/blanc, dans et hors texte - jaquette avec déchirures sur le rebord du 1er plat et en coiffe de pied. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 750-La peinture et les peintres
Classification Dewey : 750-La peinture et les peintres
BALZAC Petites misères de la Vie conjugale illustrée par Bertall Chlendowski
Reference : 4896
Chez l'auteur, rue Guénégaud, Imprimerie Gueffier et chez Jombert, Delaunay, Audin, et Crévot à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1822 Book condition, Etat : Bon relié, demi-basane beige foncé d'époque, dos lisse, titre doré, caissons ornés In-8 1 vol. - 205 pages
1 grande tableau dépliant et 10 planches hors-texte dépliantes en fin d'ouvrage (complet) 4eme édition, 1822 Contents, Chapitres : Préface, xv, rapport de la Société Royale Académique des Sciences, Texte, 205 pages - Louis Félix Conen de Prépean, né le 22 mars 1777 à Poitiers et mort en 1837 à Paris, est un sténographe français, inventeur d'une méthode de sténographie. - Noble de naissance, il est issu par son père d'une lignée bretonne qui détenait la seigneurie de Pré Péan en Pordic, manoir qui existe toujours. En 1813, il publie son livre « Sténographie Exacte ou l'Art d'écrire aussi vite qu'on parle », dont apparaissent des éditions successives en 1815, 1817, 1825 et 1833. Il y exprime que « le système, malgré sa extrême rapidité, est complété par un système d'abréviations applicable à toutes les langues et à toutes les écritures. Tous ces moyens sont pratiqués avec neuf signes, connus par tous, ce qui est plus simples qui peuvent être imaginés ». En 1817, il travaille comme sténographe à la Chambre de Commerce. Il divise sa méthode en Sténographie exacte et Sténographie cursive. La première partie comprend 25 signes pour les voyelles, qui subdivise en longues et brèves, 21 pour les consonnes et 12 pour groupes de deux consonnes. La deuxième comprend des raccourcis initiaux, finaux et généraux. Il considère la ligne d'écriture subdivisée et écrit en haut ou sous elle selon le mot. L'alphabet du système Conen de Prépean est formé de 18 consonnes et 9 voyelles. Il utilise des signes qu'il appelle indéformables pour représenter deux lettres ensemble. Son écriture est brève des grandes lignes et très rapide. On lui attribue la phrase célèbre « Abréger le travail, c'est prolonger la vie ». (wikipedia). Cette dernière phrase figure bien dans l'ouvrage. "bel exemplaire dans reliure élégante d'époque, style ""Directoire"" en très bon état avec une infime déchirure sans manque des mors en tête, à la coiffe supérieure, sans aucune gravité, intérieur frais et propre, 2 initiales sur la page de titres, le papier est très frais, quelques rares rousseurs, bien complet du tableau dépliante et des 10 planches hors-texte de ce texte précurseur de la sténographie dans sa 4eme édition de 1822, l'une des plus complètes - Tome 1 seul de cette série en 3 volumes, complet en lui-même sur le déchiffrement des faits"
3 L.A.S. adressées à Melchior Barthès, à savoir : 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]
3 très belles lettres autographes signées adressées par l'écrivain d'expression provençale et majoral du Félibre Marius Bourrely (1820-1896) à son confrère le poète occitan de Pons-de-Thomières, Melchior Barthès (1818-1886). Ces lettres sont d'autant plus remarquables que Marius Bourrely fut le préfacier des "Flouretos" de Berthet, et qu'il s'y exprime sur les difficultés rencontrées dans la publication de la littérature occitane, et s'y justifie de sa traduction en provençal des "Contes" de La Fontaine.
LA COLLECTION OFFICIELLE CHARLES AZNAVOUR
Reference : 36539
(2015)
ISBN : 0602547343208
POLYGRAM 2015 27 pages in4. 2015. Broché. 27 pages. Traduit de Sénès Florence - Illustrations de Jankovics györgy
très bon état d'ensemble. Envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis France