La difference 1992 325 pages in8. 1992. Broché. 325 pages.
Reference : 100136590
Très Bon Etat de conservation intérieur propre bonne tenue
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
La difference 1992 325 pages in8. 1992. Broché. 325 pages.
très bon état intérieur propre bonne tenue
s.d.(Monieux?) ca. 1832 in-4 br. 40pp. et 10pp. non écrites.
Manuscrits.L'auteur a publié en 1831 à Marseille "Le perfectionnement de la Loterie de France et de toutes les Loteries d'Europe et d'Amérique". Les ventes par actions d'un immeuble ou d'un bien, allaient être interdites dès 1835, car elles remplaçaient plus ou moins les loteries. Nos faibles connaissances mathématiques nous interdisent de porter un jugement sur le travail du Dr. Cartier, mais il fait penser aux quadrateurs du cercle pourchassés par André Blavier et R. Queneau... Ses notions préliminaires indiquent : "Les Nombreux Problèmes que j'ai résolu et qui forment en abrégé trente deux volumes in-quarto ne renfermant absolument que des calculs sans raisonnement m'imposent l'Obligation de mettre en manuscrit le résumé d'un ouvrage qui facilitera non seulement la connaissance de chaque problème mais indiquera le moyen de les résoudre soi-même. Mes nombreux ouvrages ne seront pas ainsi perdu pour la Science...". Il semble que ce précieux travail n'ait pas trouvé d'éditeur. Après avoir exercé à Eyguières il s'est fixé à Apt. Il semble que le Dr. Cartier ait fait un séjour en Egypte en 1835 : il mentionne son ami Voglino et un missionaire le P. Euzebe Parable.Pour le projet de Canal reliant la Méditerranée et la Mer Rouge : "un homme creuse trois metres carrés en sept heures de travail par jour. Il faudra donc à cet homme...etc".Nous garantissons à l'acquéreur de ces manuscrits l'exclusivité du "Secret de la finance".
Phone number : 33 (0)6 77 77 12 33
CRDP Toulouse, CRDP,1993. In-4 broché de 125 pages. Très bon état
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librairie oberlin 1967 plaquette in 8 brochée 78 pages - illustrations dans le texte - envoi de l'auteur
in memoriam - préface - la savoie - le dauphiné - un anniversaire - contrebande et contrebandiers - publications sur mandrin - la famille mandrin - le mémoire du 24 septembre 1754 - sur les rives du guiers - les echelles - entre-deux-guiers - la vieille poste, les laserve et belizard - saint albin de vaulserre - le pont de beauvoisin - les grottes de verel de montbel - la nuit du 10 au 11 mai 1755 et les passages du guiers - la traversée de saint genix - précisions sur la mort de mandrin - conflit diplomatique - les successeurs de mandrin - anecdotes - la complainte de mandrin - abrégé sur la contrebande, l'introduction et la culture du tabac en savoie et en dauphiné - la vallée du guiers - bibliographie
P.-Strasbourg, Librairie Oberlin, 1967, in-8°, 78 pp, 40 gravures et photos, broché, bon état
"Les hommes de Mandrin n'ont jamais été tenus pour des malfaiteurs par les populations dauphinoises qui, de nos jours encore, s'enorgueillissent volontiers des exploits de ces bandes et ont gardé un culte frondeur pour leur capitaine. C'est que les « mandrins » étaient, à de rares exceptions près, des enfants du pays. Recrutés dans les villages et les bourgades situées de part et d'autre du Guiers parmi les artisans et les commerçants, ou encore parmi d'anciens soldats qui avaient fini leur temps ou déserté mais appartenaient originellement au même milieu, beaucoup de ces hommes, plus du tiers, avaient pris femme ou maîtresse dans le pays. Mettant leur petite fortune en sûreté chez des membres de leurs familles et parfois même chez le curé de leur paroisse, ils se livraient à la contrebande et au commerce pour leur propre compte dans l'intervalle des grandes « campagnes » qu'organisait Mandrin. Celui-ci, qui était reçu dans divers châteaux de la région et même occasionnellement à Ferney chez Voltaire, bénéficiait de tout un réseau de complicités des deux côtés de la frontière pour entreposer ses marchandises ou faire héberger ses troupes ; et des gentilshommes du cru n'hésitaient pas à engager des fonds dans les opérations qu'il organisait. Impitoyables pour les hommes du Roi et de la Ferme, les « mandrins » évitaient de molester les populations et même affectaient de s'en faire les protecteurs et les bienfaiteurs : non seulement ils vendaient bon marché diverses marchandises et notamment du sel et du tabac dont la culture avait été introduite au début du XVIIIe siècle en Savoie et dont l'usage se répandait rapidement, mais il leur arrivait de libérer les prisonniers pour dettes et de distribuer quelque argent aux nécessiteux. Lorsqu'après la capture de Mandrin, en 1755, ses bandes se replieront vers le Valais, les populations, ainsi qu'en témoignent chansons populaires et complaintes, regretteront fort la disparition de ces contrebandiers redresseurs de torts." (Annales ESC, 1968)