Julliard 2004 108 pages 13x20x1cm. 2004. Broché. 108 pages.
Reference : 100080426
ISBN : 2260016405
Très bon état proche du neuf
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
Editions aden, 2002 - In-8°, broché, couverture rempliée en papier fort texturée bleue clair, agréable titrage et portrait en noir au centre, 346 pages, joli ensemble.
En 1935, à l'âge de quarante-sept ans, meurt à lisbonne celui que l'on considère aujourd'hui comme l'un des plus grands écrivains européens du xxe siècle.Fernando pessoa fut un homme déchiré par les contradictions, le doute, l'incapacité à se réaliser, à devenir un adulte responsable. il n'a trouvé de solutions à ses difficultés que par la création hétéronymique, c'est-à-dire par l'invention d'un autre moi pluriel, qui réussira par la mage de l'écriture poétique à donner une " vraie vie " fictive à ses idées, ses pulsions, ses visions du monde. après une enfance passée à durban en afrique du sud, il est revenu vivre à lisbonne oú il était né en 1888 et qu'il n'a plus jamais quittée.Pendant toute sa vie, il n'a cessé de voyager en esprit, clans l'espace et dans le temps, dans le monde des sensations et des pensées. tantôt païen, tantôt mystique, stoïcien et épicurien, tragique et farceur, le plus modeste et le plus orgueilleux des hommes. et c'est à travers, ou par-delà, ses interrogations et ses souffrances que pessoa va créer l'une des plus belles oeuvres de la littérature mondiale. - Bon Etat Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
Le Cercle du Nouveau Livre, Jules Tallandier, 1970, in-8°, 547 pp, suivies de 29 p. de dossier iconographique (24 photos), reliure pleine toile décorée de l'éditeur, rhodoïd, bon état
Quand on s'appelle Claude Mauriac, qu'on est le fils de François, qu'on a connu de près Gide, Malraux, Cocteau... et tout ce qui compte depuis un demi-siècle dans la vie des Lettres en France ; quand on tient son journal depuis l'adolescence et qu'on y a noté chacune des rencontres avec ces grands hommes : il suffirait, semble-t-il, de publier telle quelle la suite de ces pages pour offrir au lecteur un livre passionnant. Pourtant, le Temps immobile est beaucoup plus qu'un irremplaçable témoignage. L'aspect documentaire est relégué au second plan par l'ambition, pour la première fois conçue et réalisée, de fabriquer avec les pièces d'un journal intime ce que Joyce réussit à faire avec les morceaux traditionnels du récit, ce qu'Eisenstein et les cinéastes réalisent avec les plans photographiés : un montage. Le montage ! Parole magique qui sert à indiquer ici une méthode destinée à trouver dans la masse des faits vécus et enregistrés, des rapprochements imprévus, des coïncidences inopinées et merveilleuses, qui les arrachent à leur précarité et composent avec les bouts envolés du temps une oeuvre d'art capable de les sauver de l'oubli. C'est ainsi que Claude Mauriac tantôt groupe à la suite les souvenirs relatifs à un des personnages qu'il a connus, même si ces souvenirs s'échelonnent sur plusieurs années ; tantôt rassemble, sous le même jour du même mois, des pages écrites à des années d'intervalle, si lointaines quelquefois l'une de l'autre que trente ans, quarante ans les séparent. Le résultat est extraordinaire... (L'éditeur) — “Le Temps immobile” se présente de prime abord comme un journal. Rédigé au fil des jours depuis la tendre enfance de l'auteur, il est contemporain de son vécu. Ce vécu a le double intérêt d'être d'abord personnel, subjectif, en même temps qu'ancré dans l'actualité historique et politique (du fait des activités de Claude Mauriac auprès du général de Gaulle, de sa proximité avec les intellectuels importants des années 70, Deleuze, Foucault), et surtout d'atteindre à l'universel transindividuel par l'intuition métaphysique qu'il nourrit et qui est signifiée par le titre : Temps immobile. « En choisissant des fragments de journal, tous datés, en les montrant, sans jamais rien changer, ni me préoccuper de la chronologie, selon les thèmes, les sujets, les personnes évoqués, j'immobilise moins le temps que je ne m'immobilise, moi, dans le temps ». Journal, donc, ou roman de la mémoire. Ce journal est particulier en ce qu'il échappe à la chronologie, après que la chronologie eut d'abord été son organisation générique. Il est conçu par additions successives... (Marie-Hélène Boblet-Viart, Cahiers Saint-Simon, 2001)
Editions Unes, 1989. In-8 broché (21 x 15 cm), 153 pages.- Table des matières : - Au fond de l'air - On naît et disparaît à même l'espace - Ce qui sépare - Variations à partir d'une phrase de Roberto Juarroz - Ce que l'immobile tiens pour geste - Le passeur - Le seuil de l'envol - La demeure de l'ombre - Toucher l'intérieur - Variations à partir d'une phrase de Friedrich Hölderlin - Variations à partir d'une phrase d'Edmond Jabès.- Edition originale sur papier courant, en très bon état.
Balland 1979 1979. Frédérick Tristan: Le train immobile/ Balland L'Instant romanesque 1979 . Frédérick Tristan: Le train immobile/ Balland L'Instant romanesque 1979
Très bon état
CENTRE FRANCOIS MAURIAC DE MALAGAR / CONFLUENCES / SOCIETE INTERNATIONALE DES ETUDES MAURACIENNES. 2006. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 232 pages.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
"Sommaire : Avant-propos de Jean Touzot/ Claude Mauriac ou la difficulté d'être, par J.Rigaud. / ""Le Temps immobile"", une oeuvre ouverte, par N. Rached / La conception du dialogue total dans ""Le Temps immobileé de Claude Mauriac, Claude Mauriac et Jiri Mucha, par Zabojnikova / Claude Mauriac et De Gaulle, par Jean Lacouture,etc Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle"