‎Pierre Galante‎
‎Le général‎

‎Presses de la cité / Paris Match 1968 in8. 1968. Broché.‎

Reference : 100064012


‎Bon Etat couverture un peu défraîchie intérieur propre‎

€12.00 (€12.00 )
Bookseller's contact details

Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz

contact@crealivres.com

07.69.73.87.31

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Transfer
Others
Sale conditions

Conformes aux usages de la librairie ancienne.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎POSTES IMPÉRIALES.‎

Reference : LCS-18523

‎État général des routes de poste de l’Empire Français, du royaume d’Italie et de la confédération du Rhin… pour l’an 1812. L’éclatant exemplaire des « Postes Impériales pour l’an 1812 ».‎

‎L’un des rarissimes imprimé sur papier impérial conservé dans sa reliure de l’époque aux armes de l’Empereur Napoléon Ier. Paris, Imprimerie Impériale, 1812. Grand in-8 de 362 pp. Maroquin rouge à grain long, large roulette dorée autour des plats, armoiries au centre, dos lisse orné, coupes décorées, roulette intérieure, gardes et contre gardes de moire bleue, tranches dorées. Reliure de l’époque. 205 x 120 mm.‎


‎Somptueux exemplaire de l’état général des routes de Postes de l’Empire français pour l’année 1812. Imprimé sur papier impérial de Hollande, cet état des Postes Impériales s'ouvre sur le calendrier de l’année 1812. Il est conservé dans son éclatante reliure de l’époque en maroquin rouge aux armes de l’empereur Napoléon Ier. (Olivier, Pl. 2652). I) La poste de l’Empire est « inventée», par le grand commis Gaudin. Celui-ci a fait carrière dans les bureaux des finances depuis 1775 sous Calonne et Necker. Nommé commissaire des postes par le Directoire, il devient ministre des Finances dès le 18 Brumaire et le restera pendant tout l’Empire. C’est lui qui rompt définitivement avec le système de la Ferme et assure la mainmise du ministère des Finances sur la poste. Le monopole exclusif du transport des lettres est une nouvelle fois proclamé par arrêté du 27prairial an ix, un texte considéré comme la base de la réglementation contemporaine. L’article Ier dit : « Il est défendu à tous les entrepreneurs de voitures libres et à toute personne étrangère au service des postes de s’immiscer dans le transport des lettres, journaux, feuilles à la main et ouvrages périodiques, paquets et papiers, du poids de 1 kg et au-dessous, dont le port est exclusivement confié à l’administration de la poste aux lettres. » En 1802, les correspondances maritimes et coloniales sont réorganisées dans le même esprit. II) Les Maîtres de poste. Toute l’efficacité de la poste aux lettres repose sur les maîtres de poste qui sont 1 400 sur tout le territoire qui entretiennent environ 16 000 chevaux et rémunèrent 4 000 postillons. III) Un Instrument au service de l’empire. Si l’Empire accorde tant de soins au rétablissement du service des postes, c’est qu’il le considère comme un instrument de gouvernement. L’Empereur est très sensible à l’exactitude des courriers. IV) La poste aux armées. L’état de guerre quasi permanent de l’Empire rend nécessaire une organisation importante de la poste aux armées dont un règlement général est publié en 1809. L’autorité du directeur général de la poste aux armées rattaché à la direction générale des postes, commence au bureau frontière où se fait l’échange des lettres destinées aux armées en campagne. V) Peu de progrès dans la vitesse. Si la poste impériale connaît des réorganisations administratives décisives, ses moyens techniques et donc le temps d’acheminement moyen des lettres et des voyageurs ne progresse pas de façon significative par rapport à l’Ancien Régime. A l’époque Napoléonienne, un courrier express peut parcourir la distance de Paris à Châlons-sur-Marne en une douzaine d’heures, la malle-poste des Messageries en seize, la diligence en vingt. Ces chiffres sont à comparer avec le temps mis par les courriers sur les grandes routes de Champagne en 1737, que l’on connaît avec précision. Venant de Paris, il leur fallait au moins 23 heures et 30 minutes pour gagner Reims ou Troyes, et 25 heures pour Châlons, ce qui correspondait à des moyennes d’environ 7 km à l’heure. Ces moyennes semblent n’avoir été que légèrement améliorées jusqu’à la fin de l’Empire; c’étaient les meilleures possibles pour un courrier seul et chargé ; elles dépendaient largement de l’état des routes, plus ou moins bien entretenues. L'Etat des postes indique, outre la nomenclature des routes de l'Empire avec leurs relais, la distance entre eux de toutes les routes soit menant de Paris à toutes les principales villes, soit faisant communiquer ces différentes villes entre elles. Cet Etat est précédé d'un calendrier pour l'année 1812, d'un extrait des lois et réglemens sur le fait de la poste aux chevaux, des tarifs, etc. La constante expansion territoriale de l'Empire français ne pouvait que rendre de plus en plus aigu pour Napoléon le problème de la transmission aussi rapide et aussi facile que possible de tout message écrit d'un bout à l'autre de l'Europe. Lorsque, le 18 mai 1804, l'Empire est proclamé, le service des Postes est dirigé par Antoine Marie Chamant de Lavalette, directeur général des Postes. Tout dévoué à l'Empereur, Lavalette reste à ce poste jusqu'en 1814. Le bon fonctionnement de la Poste était essentiel pour l'Empereur. Les problèmes politiques et même diplomatiques ne manquaient donc d'influencer sur le fonctionnement de la poste. Les conquêtes territoriales obligent les administrateurs des Postes à adapter l'organisation des services postaux. Les nouveaux territoires furent partagés en départements. L'administration postale viendra donc s'insérer dans ces nouvelles structures administratives. Les mêmes règles de fonctionnement seront en usage sur tout le territoire de l'Empire. Un second grand service était placé sous l'autorité du directeur général des Postes: le service des Relais, c'est-à-dire l'administration de la Poste aux chevaux. Les relais de poste servaient d'abord aux courriers de l'administration de la Poste aux lettres: ils y trouvaient les montures fraîches que le maître de poste était tenu de leur réserver. Les entrepreneurs de voitures publiques, même s'ils n'utilisèrent pas les chevaux des maîtres de poste furent tenus de leur payer pour chacune de leurs voitures 25 centimes par cheval et par poste. Par ailleurs, le développement du service d'estafettes favorisa les maîtres de poste qui mettaient leurs postillons à la disposition de l'administration pour assurer la transmission des plis urgents du gouvernement. Toute la règlementation concernant le service de la poste aux chevaux, les tarifs, la nomenclature des différents relais étaient indiqués sur les livres de poste, appelés officiellement «Etat général des routes de poste». Ces annuaires qui permettaient aux voyageurs en poste d'établir leur itinéraire ainsi que le prix à payer pour leur voyage étaient mis à jour et édités chaque année. Somptueux exemplaire de l’état général des Postes de l’Empire français pour l’année 1812. L’un des rarissimes imprimés sur papier impérial de Hollande, cet état des Postes Impériales, très grand de marges (hauteur 205 mm) était réservé aux présents de l’Empereur. Il est conservé dans son éclatante reliure de l’époque en maroquin rouge aux armes de l’empereur Napoléon Ier. [Olivier, Pl. 2652].‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 42 84 16 68

EUR6,500.00 (€6,500.00 )

‎GUIBERT, Jacques-Antoine-Hippolyte.‎

Reference : LCS-18002

‎Eloge du roi de Prusse. Par l’Auteur de l’Essai Général de Tactique... « L’œuvre de Guibert a eu une grande influence sur les conceptions militaires de Napoléon, qui avait lu et médité ses écrits ».‎

‎Edition originale rare de cette analyse des campagnes de Frédéric II jugées par le célèbre tacticien français Jacques-Antoine-Hippolyte Guibert, ouvrage qui eut une grande influence sur les conceptions militaires de Napoléon. Londres, 1787.In-8 de 304 pp. Conservé dans sa brochure d’origine de papier orangé, pièce de titre de papier en tête du dos, non rogné. Brochure de l’époque.212 x 137 mm.‎


‎Edition originale rare de cette analyse des campagnes de Frédéric II jugées par le célèbre tacticien français Jacques-Antoine-Hippolyte Guibert, ouvrage qui eut une grande influence sur les conceptions militaires de Napoléon.Jacques-Antoine-Hippolyte Guibert est un général et auteur militaire français né le 12 novembre 1743 à Montauban et mort le 6 mai 1790 à Paris.« Le 1er juin 1772, M. de Guibert avait fait parvenir au Roi, par l’entremise de d’Alembert, son ‘Essai général de tactique’ ; il arriva lui-même à Postdam le 14 juin 1773, et écrivit à Frédéric une lettre. Aux pages 215 et suivantes, M. de Guibert parle de la conversation qu’il eut avec le Roi le 17 juin, et de son séjour à Postdam. Dans le second volume de son ‘Journal’, il parle des manœuvres et des revues auxquelles il avait assisté en Silésie, aux mois d’août et de septembre 1773. Son séjour à Berlin, à Postdam et en Silésie, ses conversations avec Frédéric, et la connaissance assez intime qu’il avait faite avec M. de Catt, l’abbé Bastiani, le colonel Quintus Icilius, les généraux d’Anhalt et de Rossières, et avec beaucoup d’autres personnages très capables de le mettre au fait de l’histoire de la Prusse et du caractère de Frédéric, lui donnèrent l’idée et lui fournirent les moyens d’écrire ‘l’Eloge du roi de Prusse’. A Londres (Paris), 1787, 304 pages in-8. Cet ouvrage a été souvent réimprimé ; il a été traduit deux fois en allemand, et en italien. On en trouve une critique sévère dans la ‘Lettre du comte de Mirabeau à M. le comte de... sur l’Eloge de Frédéric, par M. de Guibert’, 1788. Il est souvent fait mention de M. de Guibert dans la correspondance de Frédéric. » (Œuvres de Frédéric le Grand). Guibert entre en 1756, à l'âge de treize ans, au régiment d'Auvergne avec le grade de lieutenant. Il devient capitaine en 1758 et prend part à la guerre de Sept Ans. Il y accompagne son père, Charles-Benoît, comte de Guibert. Il est décoré de la Croix de Saint-Louis lors des opérations en Corse. À l’issue de la campagne, il est nommé colonel et reçoit le commandement de la Légion corse à sa création. Il publie à Liège son Essai général de tactique, accompagné d'un Discours où il se propose « ...de tracer le tableau politique et militaire de l’Europe » et en particulier de sa Nation. Par prudence, il se retire en Prusse en attendant de voir l'effet que son ouvrage aura sur l'opinion : c’est ainsi qu'en 1773, Frédéric II le Grand reconnaît en lui un grand tacticien avec lequel il conversera souvent sur les questions militaires. Sa Défense du système de guerre moderne mettait en lumière les méthodes de défense raisonnée et scientifique utilisées par l'armée prussienne. Ce fut la base de son travail lorsqu'en 1775 il coopéra avec le comte de Saint-Germain dans une série de réformes de l'armée française.Il est élu à l'Académie française le 15 décembre 1785. À la veille de la Révolution, il est rappelé au conseil de l’administration de la guerre en 1787. En 1788, il est nommé maréchal de camp et inspecteur divisionnaire d'infanterie de l'Artois. Il est emporté par une courte maladie le 6 mai 1790. L’œuvre de Guibert a eu une grande influence sur les conceptions militaires de Napoléon, qui avait lu et médité ses écrits. « Traditionnellement, on présente Napoléon comme l’héritier direct de Guibert et de ses théories. Jean Tulard n’émit pas en 1977 un avis différent dans son fameux Napoléon ou le mythe du Sauveur : « Les idées stratégiques de Napoléon n’étaient pas neuves ; elles venaient tout droit de Guibert et du principe divisionnaire ». Dans le très bon ouvrage de vulgarisation de Thierry Lentz, Napoléon : « Mon ambition était grande », publié en 1998, à la page 71, sur la page de présentation du chapitre IV intitulé « Le Dieu de la Guerre (1800-1810) », nous avons droit à une photographie de la trousse de campagne de l’Empereur, mise en valeur par un montage photographique avec deux livres grands ouverts. Sur la page droite du livre aux dimensions les plus réduites, nous pouvons lire ce titre : Essai général de tactique. Ce joli montage est en parfaite adéquation avec ce que Thierry Lentz écrit à la page 86, affirmant que ‘jeune, il avait découvert le fondement de sa stratégie dans les commentaires de Guibert sur les campagnes de Frédéric le Grand’. »Bel exemplaire conservé broché et à toutes marges.‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 42 84 16 68

EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎LA VILLE, abbé Jean-Ignace de‎

Reference : LCS-13062

‎Etat présent de la Pensilvanie, où l’on trouve le détail de ce qui s’y est passé depuis la défaite du Général Braddock jusqu’à la prise d’Oswego, avec une Carte particulière de cette Colonie. Etat présent de la Pensilvanie, de La Ville en édition originale‎

‎Première édition de la version française, amplement augmentée, de cet ouvrage du plus haut intérêt pour l’histoire de la Pennsylvanie. S.l., 1756.In-8 de 128 pp., une carte dépliante. Petite restauration marginale p. 128 sans atteinte au texte. Veau fauve marbré, dos lisse finement orné de croisillons dorés, gardes de papier orné de motifs floraux, tranches rouges. Reliure de l’époque. 160 x 95 mm.‎


‎Rare édition originale de la version française de cet ouvrage important, du plus haut intérêt pour l’histoire de la Pennsylvanie, visant à obtenir le soutien du peuple Français dans le combat que la France mène contre l’Angleterre en Amérique. Sabin, 19370 ; Leclerc, 519 ; Howes, p. 216; Streeter II-960. L’abbé de la Ville donne en fait ici sa propre version en français, largement augmentée et remaniée, de l’ouvrage de William Smith intitulé “Brief state of the Province of Pennsylvania” qui vient de paraitre à Londres quelques mois auparavant. Ce récit de l’abbé de la Ville s’avère également une source d’information primordiale sur les activités de Benjamin Franklin durant cette période et surtout sur ses efforts pour obtenir de l’aide pour le général Braddock. Streeter explique que le présent ouvrage fut sans doute publié dans le but d’obtenir le soutien du peuple français dans le combat que mène alors la France contre les anglais dans le nord de l’Amérique, suite à la défaite du général Braddock. Le texte de Smith n’occupe que la partie centrale de l’ouvrage de La Ville et donne un aperçu des atrocités commises par les indiens sur les membres de la colonie en octobre et novembre 1755, en insistant sur l’impuissance des colons anglais à repousser les français et leurs alliés indiens. L’auteur a ajouté une préface dans laquelle il décrit brièvement la géographie et la population de la Pennsylvanie, et a donné une suite au texte original de Smith (‘Relation contenant la suite de ce qui s’est passé en Pensilvanie’). Le volume se termine par la traduction d’un acte du 25 novembre 1755 visant à « apporter plus d’ordre & plus de discipline parmi les Habitans de Pensilvanie ». « In his preface the author remarks that Pennsylvania suffered more than any of the other English colonies from the defeat of General Braddock, and that he is publishing this work because of the great interest the French people took in the progress of the War with England. He says that he has based his account of Pennsylvania on an English pamphlet published a few months earlier. This pamphlet was William Smith’s “Brief state of the Province of Pennsylvania” published in London». (Sabin). L’ouvrage est illustré d’une jolie carte dépliante de la Pennsylvanie qui manque le plus souvent. Très bel exemplaire, d’une grande pureté, conservé dans sa reliure de l’époque au dos finement orné. Provenance : ex-libris imprimé « O.B. ».‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 42 84 16 68

EUR6,500.00 (€6,500.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10059192

(1891)

‎LE MONDE ILLUSTRE N°1797 Général Saussier, commandant enchef et directeur des manoeuvres de l'Est‎

‎Librairie Nouvelle. 5 Septembre 1891. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 à 16 pages, paginé de 145 à 160 .Illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc dans le texte et hors texte. Texte sur 3 colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique‎


‎Journal hebdomadaire. Sommaire :Nos gravures (47 photographies) - Général de Hay-Durand - Général de Jessé - Général Voisin - Général Giovaninelli - Général Hervé - Général Bonie - Général Heppe- Général Saint-Marc - Général Brault - Général Moutz - Général Senault - Général Derrecagaix - Général Schneegans - Général Fariau - Général Moreau-Revel - Général Livet - Général Boisfleury - Général de Sesmaisons - Général Galland - Général de Galliffet - Général Miribel, Général Davout - Général Jamont - Général Zurlinden - Général Cremezel de Kerhué - Général de Négrier - Général Fay - Général Boisdeffre - Général Lacoste de l'Isle - Général Collet-Maigret - Général Moulin - Général de Boysson - Général Darras - Général de Saint-Julien - Général Correnson - Général Leplus - Général Coeuret de Saint-Georges - Général Jollivet - Général Rapp - Général Fleury - Général Riu - Général Rothwiller - Général Guerrier - Général Bichot - Général d'Agou - Général Colbert - Généralde division Brière de l'Isle de l'infanterie de Marine (Arbitres). Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10069623

(1899)

‎LA VIE ILLUSTREE N° 33 Le général Galliéni a sa table de travail, au quartier général de Tananarive (dessin d'après nature de José Engel).‎

‎M. F. Juven. 1 Juin 1899. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Paginée de 153 à 168. Illustrées de quelques gravures en noir et blanc dans le texte et hors texte - couverture publicitaire en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique‎


‎"Journal hebdomadaire. Sommaire : L'oeuvre du général Galliéni à Madagascar. Le quartier général de Tananarive. Le général Galliéni, le colonel Lyautey, les secrétaires et les Malgaches d'escorte. Le général dans son salon à Tananarive. Le colonel Galliéni au Tonkin. Le général dans sa salle à manger à Tananarive. Le général Galliéni en filanzane. Le général en voiture sur la route circulaire de Tananarive. Le général Galliéni distribuant des toffes aux enfants des écoles. Le général Galliéni au milieu des petits Européens, le jour de la fête des enfants. Le général et ses officiers d'ordonnance à bicyclette. Le général Galliéni au balcon de sa maison de campagne, avec le colonel Lyantey. Les ""boujanes"" ou porteurs de flanzane du général Galliéni. Soumission au Grand Palais, et par-devant le général Galliéni, de Rambatsimisnaka, chef des insurgés. Le roi Antefasy et sa suite vena,t saluer le général de Résidence. Femmes apportant des fleurs au général Galliéni. Remise de la plaque de Grand-Officiers de la Légion d'Honneur au général Galliéni, au Cercle français de Tananarive. Le général Galliéni passant sur le pont d'Andrakava. Essai de la première charrue à Tananarive, devant les général. L'escorte du général Galliéni, pendant son voyage autour de l'Ile. Arrivée des premières voitures à Tananarive par la route carrossable de Tamatave à Tananarive. Le général surveillant les trvaux de la nouvelle route. La foule, sur la place Jean Laborde, attendant la sortie du général le jour de son départ. Caricature du Morning Leader, de Londres. Caricature de l'Evening Chronicle, de Manchester. Inscription prise sur un arc de triomph élevé dans un village pendant le voyage du général autour de l'ile. Réclame pour une maison d'étoffes françaisqes, publiée par un journal de Tananarive. A la gare de Lyon : M. Copée remettant la médaill de la Patie Française, au général Galliéni (Croquis d'après nature de M. José Engel). La fête des Narcisses à Montreux. MM. Déroulède et Marcel Habert devant la cours d'assises dela Seine - M. Déroulède à la barre (dessin d'après nature, de M. Georges Conrad). Canaples leva sa tête poudrée : ""C'est Vénus"", dit-il simplement. Les Logistes à Compiègne. ""Hamlet"" au Théâtre Sarah-Bernardt (Croquis de M. José Engel). La statue de Lamartine, enfant. M. Drumont et ses amis sortant du Palais de Justice de Grenable, après l'acquittement de M. Max Régis. Emilio Castelar. Mlle Rosa Bonheur. Le Bazar de la Charité à l'Ambassade de France à Constantinople. Supplément : Au Commandant Marchant - Composition de C. Léandre. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique"‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !