JR 1988 in8. 1988. Broché.
Reference : 100046328
avec hommage de l'auteur
Un Autre Monde
M. Emmanuel Arnaiz
07.69.73.87.31
Conformes aux usages de la librairie ancienne.
[ Bureaux de la Revue de Paris,] - Collectif ; BALZAC, Honoré de ; DOSTOIEVSKY ; VIOLLET LE DUC ; MERIMEE, Prosper ; SAND, George ; DAUDET, Ernest ; MAUPASSANT, Guy de ; TOURGUENIEV ; GONCOURT, Edmond de
Reference : 58665
(1896)
6 vol. in-8 reliure de l'époque demi-chagrin brun, dos à 5 nerfs, Bureaux de la Revue de Paris, Paris, 1896. Rappel du titre complet : La Revue de Paris. Année 1896 - Troisième Année (6 Tomes - Complet) [ Contient notamment : ] Lettres à l'Etrangère par Honoré de Balzac [ Suite, Edition pré-originale ]Madame Alphonse Daudet ("Notes sur Londres"), Duc de Persigny ("Conversations avec M. de Bismarck"), George Sand ("Lettres à Ernest Feydeau", "Lettres à Sainte-Beuve"), Maréchal de Castellane ("Le Siège d'Anvers"), Barras ("Les préliminaires du 18 Brumaire"), George Duruy ("Barras et le 18 Brumaire"), Maurice Paléologue ("Une Patricienne de la Renaissance"), Léon Dierx ("Le Dieu futur"), Robert de Montesquiou-Fezensac ("Hortensias bleus"), Darmsteter ("Dante Gabriel Rossetti"), Victor Hugo ("Des Vers"), Eugène Manuel ("Un philosophe d'autrefois"), Voltaire ("Lettres à la Comtesse de Bentinck"), Prince Henri d'Orléans ("Sur le Haut-Mékong"), Emile Zola ("A M. le Docteur Toulouse"), Barbès ("Lettres à George Sand"), Camille Saint-Saëns ("Orphée"), Paul Claudel ("En Chine"), Pierre de Nolhac ("La présentation de Madame du Barry")
Exemplaire bien complet des 6 tomes de la seconde année, en reliure uniforme. C'est en 1895 qu'Edmond de Fels relança la "Revue de Paris" qui avait été supprimée par le gouvernement en 1858 avant de reparaître de manière éphémère et d'être absorbée par la Revue Française en 1865. Etat très satisfaisant (dos passés, papier des plats parfois gondolé, bon état par ailleurs). La série contient la suite de la première publication des "Lettres à l'étrangère" (correspondance de Balzac avec Eve Hanska) mais aussi de beaux écrits, parfois en version pré-originale, de Madame Alphonse Daudet ("Notes sur Londres"), Duc de Persigny ("Conversations avec M. de Bismarck"), George Sand ("Lettres à Ernest Feydeau", "Lettres à Sainte-Beuve"), Maréchal de Castellane ("Le Siège d'Anvers"), Barras ("Les préliminaires du 18 Brumaire"), George Duruy ("Barras et le 18 Brumaire"), Maurice Paléologue ("Une Patricienne de la Renaissance"), Léon Dierx ("Le Dieu futur"), Robert de Montesquiou-Fezensac ("Hortensias bleus"), Darmsteter ("Dante Gabriel Rossetti"), Victor Hugo ("Des Vers"), Eugène Manuel ("Un philosophe d'autrefois"), Voltaire ("Lettres à la Comtesse de Bentinck"), Prince Henri d'Orléans ("Sur le Haut-Mékong"), Emile Zola ("A M. le Docteur Toulouse"), Barbès ("Lettres à George Sand"), Camille Saint-Saëns ("Orphée"), Paul Claudel ("En Chine"), Pierre de Nolhac ("La présentation de Madame du Barry")
Flammarion, 1918, in-12, viii-316 pp, reliure demi_percaline aubergine à la bradel, dos lisse avec titre doré (rel. de l'époque), bon état (Bibliothèque de philosophie scientifique)
"Tout est à louer dans ce volume. M. Diehl a visité souvent Venise, s'est imprégné de son atmosphère. Dans les chroniques latines ou italiennes, et aussi dans les chroniques grecques – car l'Orient byzantin permet seul de comprendre cette cité toute grecque – il a étudié à fond son histoire ; derrière chacune de ses assertions nous devinons le texte précis. En plus il a disposé sa matière avec beaucoup d'art ; on suit avec un véritable intérêt ses développements toujours clairs; on lit avec un grand plaisir ses descriptions chatoyantes. Qu'on compare ce volume avec un ouvrage à peu près analogue publié en Allemagne, le “Venedig als Weltmacht und Weltstadt” de H. v. Zwidineck- Südenhorst ; autant celui-ci est lourd, doctrinal, et malgré tout superficiel, autant celui-là est gracieux, pimpant, et aussi très solide. Parcourons rapidement les quatre livres dont se compose le volume. Le premier nous entretient des origines de Venise et de la formation de sa grandeur. Par le traité de 812, Venise échappa à la domination des Carolingiens ; placée sous la suzeraineté de Byzance, gouvernée par ses ducs qui cherchèrent à rendre leur charge héréditaire, elle établit son autorité solidement sur l'Adriatique et jeta les fondements de sa grandeur maritime. Avec le livre II, nous entrons au cœur du sujet. Du XIe à la fin du XVe siècle, Venise est, dans la Méditerranée, la grande puissance commerciale ; et avec beaucoup de raison, M. Diehl insiste sur l'organisation de ce commerce, sur l'essor que lui donnèrent les croisades et la conquête de Constantinople en 1204. (...) Le livre III montre l'évolution de Venise du milieu du XVe à la fin du XVIe siècle. Les causes de décadence sont déjà très visibles. Les Turcs enlèvent à Venise son bel empire colonial... (...) Le livre IV, « la fin de Venise », n'est qu'un épilogue assez court. En 1669, Venise perd la Crète ; la conquête de la Morée par François Morosini le Péloponésiaque ne fut que passagère ; Venise ne la garda que trente années (1685-1715). Et dès lors elle renonça à toutes ses ambitions. Elle devint l'hôtellerie décrite dans Candide, la ville où s'arrêtèrent tous les voyageurs du XVIIIe siècle, celle des comédies de Goldoni et des farces de Gozzi, jusqu'au jour où, après les Pâques véronaises, Bonaparte la livra à l'Autriche. Ici s'arrête le livre de M. Diehl." (Ch. Pfister, Revue Historique, 1916) — Il y a une Venise romantique, celle de Byron, de Musset, de George Sand : de cette Venise, charmante assurément, un peu conventionnelle aussi peut-être, et dont la gloire est faite de beaucoup de littérature et d'un peu de snobisme, il n'est pas question dans ce livre. Il y a une autre Venise, celle dont on a joliment dit qu'elle est "La plus formidable leçon d'énergie active et d'utilisation pratique qui se rencontre dans l'histoire". C'est de cette Venise que l'auteur a voulu ici, non point sans doute écrire une fois de plus l'histoire, mais étudier le régime politique, l'évolution historique, et déterminer les causes qui firent sa grandeur et sa décadence. Dans la succession, compliquée et diverse, des formes politiques que connurent tour à tour les peuples européens, Venise tient une place à part. Sa constitution est une des créations les plus originales qu'ait comptées l'histoire des institutions ; elle offre le type classique – et presque unique – d'un gouvernement purement aristocratique, d'une république patricienne, où le pouvoir se concentre aux mains d'une oligarchie peu nombreuse, étroitement fermée et singulièrement jalouse de ses privilèges. Mais ce qui est peut-être plus remarquable encore, c'est que cette œuvre politique, née des circonstances, et par bien des côtés artificielle, a été, par la ferme volonté de ceux qui y présidèrent, une œuvre durable. L'ouvrage de Charles Diehl est devenu un classique.
[Ouvrage Publié avec le concours du Conseil Général de la Haute-Garonne et du Centre National d'Etudes Spatiales] - Collectif
Reference : 43807
(2004)
1 vol. in-4 br., Ouvrage Publié avec le concours du Conseil Général de la Haute-Garonne et du Centre National d'Etudes Spatiales, 2004, 286 pp. [ Contient : ]Fosse gallo-romaine au sud de la rue des Pénitents-Blancs (quartier Saint-Georges) à Toulouse (Baccrabère) - La porte Miégeville de Saint-Sernin de Toulouse : propositions d'analyse iconographique (Testard) - A la redécouverte d'un important édifice médiéval de Gascogne centrale : l'ancienne abbaye de la Case-Dieu (Gers) (Balagna) - L'église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption de Fanjeaux : de nouveaux éléments sur un chantier de la fin du XIIIe siècle (Béa) - Deux inscriptions du cloître de l'ancienne Maison de l'hôpital Saint-Jean de Jérusalem à Toulouse (Cabau, Macé, Watin-Granchamp) - La Casa Julia à Perpignan : un exemple de demeure patricienne (Conan) - Une perception de l'espace urbain : cortèges officiels et processions générales à Toulouse du XIVe au XVIe siècle (Bordes) - Le tombeau des martyrs d'Avignonet aux Jacobins de Toulouse (Montagnes, Prin) - La chapelle Notre-Dame du Rosaire aux Jacobins de Toulouse : une oeuvre de Pierre Levesville (Costa) - Le parc à fabriques du château de Pompignan : une illustration de l'art des jardins dans le Midi de la France (Cranga) - L'atelier de potiers Laffont à Cox (Lassure)
Bel exemplaire (très bon état)
Sedo S.A.. Octobre 1965. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 42 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 700-LES ARTS
Sommaire : A Florence, une demeure patricienne rendue a sa splendeur première par Marie Geneviève de La Coste Messelière, A Paris, place Furstemberg, un appartement digne des souvenirs qu'évoque celle ci par Jeanie Dumesnil, A Londres, dans une maison traditionnelle d'Eaton Square, un appartement dans l'esprit d'aujourd'hui par Rosamond Bernier Classification Dewey : 700-LES ARTS
Fribourg, Intermède Belleroche, 1992. In-4 broché, tapuscrit, XVI-122 pp., nombreuses photos in t. ( portraits, biens de famille, demeures etc...), tabl. généal.
Tirage limité à 300 ex. La famille patricienne Müller est originaire de Rue où elle se nommait alors Monney. Ce n'est qu'au XVIe siècle, une fois établie à Fribourg, qu'elle germanisa son nom. Ils s'illustrèrent dans la magistrature et donnèrent de nombreux hommes d'État, deux chanoines, un prévôt, des religieuses, des banquiers, et plusieurs officiers au service de France, de Naples, de Rome et de Sardaigne. Couv. un brin défraîchie, bonne condition au demeurant. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)