Write to the booksellers
RIENCOURT
A nosseigneurs les Etats Généraux.
Sans lieu (1er juillet 1789). In 4° de 13 pp. (mouillures tout du long).
Reference : 2311
****
Bookseller's contact details
LAM. Livres Anciens et Modernes.
M. Gilles Hassan
16 rue de Claret
34070 Montpellier
France
livresanciensetmodernes@yahoo.fr
0616976289
Payment mode
Sale conditions
CONFORMES AUX USAGES DE LA LIBRAIRIE ANCIENNE
5 book(s) with the same title
Procès-verbal de l'assemblée de Nosseigneurs des Etats Généraux du pays et comté de Provence
Aix, B. Gibelin-David & T. Emeric-David, 1788 in-4, 368 pp., basane blonde, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre verte, encadrement de simple filet à froid sur les plats, tranches rouges (reliure de l'époque). Epidermures sur le second plat avec manque de cuir. Bon exemplaire.
A partir de 1639, pour avoir fait preuve de beaucoup d’indocilité sous le règne de Louis XIII, notamment quand le pouvoir monarchique était quelque peu affaibli, les traditionnels Etats de Provence ne furent plus réunis. Le pouvoir central leur préféra dès lors l’Assemblée générale des communautés de Provence, institution qui existait déjà au Moyen Age, mais dont les réunions étaient moins fréquentes et le rôle plus incertain. Ils ne furent à nouveau réunis, après un siècle et demi de silence, qu’à la veille de la Révolution, en 1787 et 1788, pour être finalement emportés, à l’instar des autres institutions d’Ancien Régime, dans la tourmente révolutionnaire.Relié avec pièces complémentaires : I. Règlement des Etats, pour l'administration des travaux publics. Aix, B. Gibelin-David & T. Emeric-David, 1788, 45 pp. - II. Procès-verbal des Etats de Provence, que les sieurs députés des communautés & vigueries n'ont voulu intituler que procès-verbal de l'assemblée convoquée à Aix le 25 janvier 1789. Aix, Gibelin-David & Emeric-David, 1789, 304 pp.Exemplaire de l'historien aixois Ambroise-Thomas Roux-Alphéran (1776-1858), avec vignette ex-libris contrecollée sur les premières gardes. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Procès-verbal de l'assemblée de Nosseigneurs des Etats Généraux du pays et comté de Provence
Aix, B. Gibelin-David & T. Emeric-David, 1788 in-4, 368 pp., broché, couv. papier marbré de l'époque
A partir de 1639, pour avoir fait preuve de beaucoup d’indocilité sous le règne de Louis XIII, notamment quand le pouvoir monarchique était quelque peu affaibli, les traditionnels Etats de Provence ne furent plus réunis. Le pouvoir central leur préféra dès lors l’Assemblée générale des communautés de Provence, institution qui existait déjà au Moyen Age, mais dont les réunions étaient moins fréquentes et le rôle plus incertain. Ils ne furent à nouveau réunis, après un siècle et demi de silence, qu’à la veille de la Révolution, en 1787 et 1788, pour être finalement emportés, à l’instar des autres institutions d’Ancien Régime, dans la tourmente révolutionnaire.Relié avec une pièce complémentaire : I. Règlement des Etats, pour l'administration des travaux publics. Aix, B. Gibelin-David & T. Emeric-David, 1788, 45 pp. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 33 01 43 26 71 17
LANGUEDOC. Procès-Verbal de l'Assemblée de Nosseigneurs des Etats Généraux de la Province de Languedoc.
Jean Martel Ainé Montpellier 1778 In-folio ( 380 X 250 mm ) de [titre - 381 pages - 13 et 21 pages ( tables ) - 1ffncc. ( Sénéchaussées )], plein maroquin noir, dos à nerfs orné de caissons, fleurons, filets et roulettes dorés, pièce de titre de maroquin noisette, triple filet doré d'encadrement sur les plats avec fleurons aux écoinçons et armoiries centrales dorées ( Armes de la Province de Languedoc ), coupes et coiffes filetées d'or, tranches dorées, gardes de papier marbré ( Reliure de l'époque ). Très bel exemplaire, très pur. Très rare en maroquin d'époque armorié.
Question soumise à nosseigneurs des Etats Généraux
S.l.n.d. in-4, 7 pp., dérelié.
La députation des Evêques d'Ypres et de Tournai est-elle légitime? Soumis à une domination étrangère, ils doivent être exclus de l'Assemblée nationale.
