‎CARADEC François & SABATIER Christiane.‎
‎MON IL ! ‎

‎Denoël. 1973. Album cartonné grand in-8°. Couverture illustrée. 126 pages. E.O.‎

Reference : 3962


‎Dessins de Christiane Sabatier, sur le thème de l'il, accompagnés de citations sur le même thème, choisies par François Caradec. Propre.‎

€20.00 (€20.00 )
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Librairie du Scalaire
M. Marc Malfant
10, rue des Farges
69005 Lyon
France

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5 book(s) with the same title

‎Williams C-K‎

Reference : 77753

(2006)

ISBN : 2742761209

‎Dissentiments - Ma mère mon père moi-même‎

‎Actes sud / Un endroit où aller 2006 poche. 2006. Broché. 292 pages. Mon père et moi sommes silencieux à présent.Le silence qui s'installe entre un père ou une mère et un enfant le bruissement dans tout notre être d'émotions anciennes la cacophonie de nos malentendus les bribes chaotiques de phrases d'explication ou de déclarations d'intention qui n'ont jamais été prononcées : je ne ressens rien de tout cela. Durant les jours les semaines et les mois qui vont suivre la mort de mon père je rêverai souvent de lui plus souvent que je n'aurais pensé.Ma mère quand elle mourra mettra longtemps à surgir dans mes rêves ; quand elle finira par y apparaître ce sera le plus naturellement du monde sans faire de manières; elle semble souvent me sourire depuis l'espace de mon rêve Bon Etat‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR5.00 (€5.00 )

‎Kei Kaneda CHAPPELEAR, W.M. HAWLEY. ‎

Reference : 5909

‎Mon. The japanese family crest. ‎

‎ Hollywood, Hawwley, 1976. 28,5 x 22 cm, 104 pp. Relié cartonnage d'éditeur. Bel exemplaire. Ouvrage consacré au Mon, cet emblème héraldique japonais. Le mon ou kamon est un insigne héraldique initialement utilisé par les clans de samouraïs pour se reconnaître plus facilement sur les champs de bataille. Ils sont généralement sous forme de dessins stylisés à l'intérieur d'une forme géométrique. Texte en anglais. Très nombreuses illustrations. ‎


Librairie L'Abac - Bruxelles
Logo ILAB
(CLAM, )

Phone number : +3225025322

EUR280.00 (€280.00 )

‎BOURRELY, Marius‎

Reference : 63977

(1841)

‎[ 3 lettres autographes signées adressées à Melchior Barthès : ] 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎

‎3 L.A.S. adressées à Melchior Barthès, à savoir : 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎


‎3 très belles lettres autographes signées adressées par l'écrivain d'expression provençale et majoral du Félibre Marius Bourrely (1820-1896) à son confrère le poète occitan de Pons-de-Thomières, Melchior Barthès (1818-1886). Ces lettres sont d'autant plus remarquables que Marius Bourrely fut le préfacier des "Flouretos" de Berthet, et qu'il s'y exprime sur les difficultés rencontrées dans la publication de la littérature occitane, et s'y justifie de sa traduction en provençal des "Contes" de La Fontaine.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR375.00 (€375.00 )

‎QUERANGAL (Pierre-Maurice-Julien de).‎

Reference : 8783

(1803)

‎Lettre autographe signée du commandant Quérangal à l'amiral Duckworth. 21 octobre 1803. « Spanishtown le 21 octobre 1803. Le commodore Querangal, à Monsieur l'amiral Duckworth. Monsieur l'amiral. par la lettre dont vous m'avez honoré en date du 15 de ce mois, je vois avec plaisir et reconnoissance que je --- compter sur mon retour en angleterre par le premier convoi mais je vois avec peine que le nombre des officiers de marine qui doivent jouïr de cette faveur est peu considérable, puisque mon état major ne paroit pas devoir etre compris dans vos dispositions actuelles le nombre en est si petit. Ils ont déjà partis par la voie de l'amérique pour cause de maladie, que j'ose espérer qu'en… … yeux sur la liste que je vous adresse, vous ferez un nouvel effort pour me procurer l'agrément de n'en être pas séparés. Mais s'il vous est impossible Monsieur l'amiral, de m'accorder le passage de tous, je réclame particulièrement Monsieur Belleville mon adjudant, et Monsieur Savery mon agent comptable. Le premier est inséparable de la dignité de mon grade, et le second n'était en quelque sorte que mon premier secrétaire, chargé de la comptabilité générale d'un vaisseau que je commandois depuis cinq ans et demi, il est instant qu'il opere son retour avec moi, afin que je puisse rendre compte à mon gouvernement, remettre les inventaires des morts, et faire toucher aux familles des malheureux prisonniers des secours en a-compte de la solde qui leur est dûe. Quand a Messieurs Corvoisier et Fouquier, tous deux officiers d'infanterie passagers à mon bord pour cause de maladie, l'humanité autant que votre bienveillance… le… faveurs, puisqu'il est constant qu'ils ont toujours été malades depuis leur séjour a la Jamaïque, et qu'ils ne doivent point espérer de se rétablir parfaitement en cette isle. J'ai egalement l'honneur, Monsieur l'amiral, de vous adresser la liste de mes premiers maitres dont je demande avec instance le retour. Ces hommes servent sous mes ordres depuis plusieurs années, et ont acquis des droit à mon estime et a ma sollicitude. Je suis bien sincèrement affecté, Monsieur l'amiral, des difficultés qu'éprouve le retour en france des malheureuses femmes passagères a bord du Duquesne. Je conçois que vos lois s'opposent a ce qu'elles obtiennent leur passage sur les batiments de guerre mais ne seroit-il pas possible qu'elles passent sur les batiments de commerce faisant partie du convoi. Si vous leur refuter cette faveur que deviendront elles, puisqu'elles sont toutes dans l'impossibilité de payer leur passage, même pour l'amerique. Veuillez, Monsieur prendre ma lettre en considération, m'honorer d'une réponse définitive et agréer l'assurance des sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'Etre votre très humble et obéissant serviteur. Querangual ».‎

‎, , 1803. 4 pp. in-8. ‎


‎« Spanishtown le 21 octobre 1803. Le commodore Querangal, à Monsieur l'amiral Duckworth. Monsieur l'amiral. par la lettre dont vous m'avez honoré en date du 15 de ce mois, je vois avec plaisir et reconnoissance que je --- compter sur mon retour en angleterre par le premier convoi mais je vois avec peine que le nombre des officiers de marine qui doivent jouïr de cette faveur est peu considérable, puisque mon état major ne paroit pas devoir etre compris dans vos dispositions actuelles le nombre en est si petit. Ils ont déjà partis par la voie de l'amérique pour cause de maladie, que j'ose espérer qu'en regardant sur la liste que je vous adresse, vous ferez un nouvel effort pour me procurer l'agrément de n'en être pas séparés. Mais s'il vous est impossible Monsieur l'amiral, de m'accorder le passage de tous, je réclame particulièrement Monsieur Belleville mon adjudant, et Monsieur Savery mon agent comptable. Le premier est inséparable de la dignité de mon grade, et le second n'était en quelque sorte que mon premier secrétaire, chargé de la comptabilité générale d'un vaisseau que je commandois depuis cinq ans et demi, il est instant qu'il opere son retour avec moi, afin que je puisse rendre compte à mon gouvernement, remettre les inventaires des morts, et faire toucher aux familles des malheureux prisonniers des secours en a-compte de la solde qui leur est dûe. Quand a Messieurs Courvoisier et Fouquier, tous deux officiers d'infanterie passagers à mon bord pour cause de maladie, l'humanité autant que votre bienveillance… le… faveurs, puisqu'il est constant qu'ils ont toujours été malades depuis leur séjour a la Jamaïque, et qu'ils ne doivent point espérer de se rétablir parfaitement en cette isle. J'ai egalement l'honneur, Monsieur l'amiral, de vous adresser la liste de mes premiers maitres dont je demande avec instance le retour. Ces hommes servent sous mes ordres depuis plusieurs années, et ont acquis des droit à mon estime et a ma sollicitude. Je suis bien sincèrement affecté, Monsieur l'amiral, des difficultés qu'éprouve le retour en France des malheureuses femmes passagères a bord du Duquesne. Je conçois que vos lois s'opposent a ce qu'elles obtiennent leur passage sur les batiments de guerre mais ne seroit-il pas possible qu'elles passent sur les batiments de commerce faisant partie du convoi. Si vous leur refuter cette faveur que deviendront elles, puisqu'elles sont toutes dans l'impossibilité de payer leur passage, même pour l'amerique. Veuillez, Monsieur prendre ma lettre en considération, m'honorer d'une réponse définitive et agréer l'assurance des sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'Etre votre très humble et obéissant serviteur. Querangal ». ‎

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Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR300.00 (€300.00 )

‎BERNE-BELLECOUR, Etienne‎

Reference : 56073

(1883)

‎[ Lot de 9 lettres autographes signée ] 1 LAS datée de Cannes le 31 Janvier 1883 : "Tu serais bien gentil de demander pour moi, au fils de l'Amiral Garnand, l'autorisation qu'il m'a si gracieusement offerte, alors qu'il est venu me voir : la permission de visiter 'escadre du Golfe Juan, pour moi et quelques membres de ma famille. Si cela offrait quelques difficultés, dis-le moi franchement, ceci entre nous - et je m'adresserais à mon ami Miot [ ... ] ; 1 LAS datée de Cannes le 21 avril 1883 : [ ... ] "Je t'adresse un mot pour Garnand en te priant de le lui faire parvenir. Je voudrais aussi envoyer ma carte à la personne qui m'a présenté au Capitaine Michel [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris le 25 Février 1885 : [ ... ] Il y a environ dix-huit mois que je suis allé, avec mon ami Miot, à ton ministère où je t'ai vu pour savoir s'il y avait des petits canons de marine. Tu dois te souvenir de cela ? Il n'y en avait point. Aujourd'hui on m'affirme qu'il y en a. Je viens te demander le service de vérifier le fait et de m'en écrire un mot le plus tôt possible, car je suis bien pressé par mon tableau du salon prochain, qui tu le sais représente un débarquement. [... ] J'irai dîner demain au Cercle de la Presse. Tâche d'y venir tu verras Arban, Lami et d'autres ex-copains des malheureux anti-libéraux !!..." ; 1 LAS datée de Paris le 4 mars 1885 [ Il invite son correspondant à Sevran pour venir voir son tableau ] ; 1 LAS datée de Paris le 29 mars 1888 [ Il expose une sollicitation pour un jeune homme dont les parents sont d'Egreville en Seine-et-Marne ] "Nous travaillons ferme à une entreprise qui, si elle réussit, réunira à nouveau tous mes anciens camarades..." [... ] ; 1 LAS datée d'Egreville (Seine-et-Marne) le 27 juin 1888 : [ Il demande pour une famille d'un marin décédé sa montre, et sollicite pour un autre moisson un congé d'un mois "au moment des moissons, c'est-à-dire vers la fin de Juillet. Je sais que cela s'accorde car je viens de l'obtenir pour un soldat du 76e de ligne". Il invite son correspondant Gustave Lévy à Egreville où il pourra dormir "dans la chambre du Commandeur (Nicham !) qu'on te réservera" ] ; 1 LAS datée du Château d'Egreville le 16 septembre 1888 : [ Il le sollicite encore pour son soldat et continue : ] "Quand donc t'aboucheras-tu avec Edouard Philippe - dont j'ai à faire un petit portrait - pour venir me voir à Egreville" [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris, le 4 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, Comment je ne t'aurai pas répondu pour te remercier du dernier service, que je t'avais demandé et que tu m'avais fait obtenir ? Comment ? Eh ! bien je t'avoue franchement que je suis un cochon. Toutefois, il faut avoir un peu d'indulgence, et me pardonner : je t'ai tellement écrit pour te réclamer quelque chose que, ma foi, j'ai cru sincèrement t'avoir écrit pour te remercier. Puis mon intention très-ferme était d'aller te serrer la main aussitôt mon retour à Paris, mais Patatra ! Voilà environ trois semaines que je suis arrivé et je n'ai pas eu une heure à moi. Je suis rentré dans la fournaise, et j'ai repris ma sale existence vertigineuse de la Capitale. [ Il l'invite à dîner au Cercle de la Presse pour rencontrer ses vieux copains Philippe, Lami, Arban, etc... ] ; 1 LAS du 13 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, c'est encore moi. Tu sais mon protégé le soldat-marsouin Chevrillon, celui pour lequel je t'ai si bien remercié... Eh bien ce pauvre diable qui vient d'avoir la fièvre typhoïde ainsi qu'on t'en avait informé n'est pas encore bien chic [ Il sollicite pour un lui un renouvellement de congé. Il a regretté de ne pas le voir au Cercle de la Presse avec Arban, Lami et Crémieux. ] "Nous avons énormement causé de toi avec de Marçai, chez Bloch" [ il évoque l'Amiral Besnard "lequele entre parenthèses ne m'a pas l'air d'être fort commode" qu'il a également sollicité indirectement en vain... ]‎

‎9 lettres autographes signées rédigées de 1883 à 1888, adressées à son ami Gustave Lévy. Les lettres avaient été montées sur onglet, et deux lettres sont restées contrecollées, sans respect de l'ordre chronologique : [ Lot de 9 lettres autographes signée ] 1 LAS datée de Cannes le 31 Janvier 1883 : "Tu serais bien gentil de demander pour moi, au fils de l'Amiral Garnand, l'autorisation qu'il m'a si gracieusement offerte, alors qu'il est venu me voir : la permission de visiter 'escadre du Golfe Juan, pour moi et quelques membres de ma famille. Si cela offrait quelques difficultés, dis-le moi franchement, ceci entre nous - et je m'adresserais à mon ami Miot [ ... ] ; 1 LAS datée de Cannes le 21 avril 1883 : [ ... ] "Je t'adresse un mot pour Garnand en te priant de le lui faire parvenir. Je voudrais aussi envoyer ma carte à la personne qui m'a présenté au Capitaine Michel [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris le 25 Février 1885 : [ ... ] Il y a environ dix-huit mois que je suis allé, avec mon ami Miot, à ton ministère où je t'ai vu pour savoir s'il y avait des petits canons de marine. Tu dois te souvenir de cela ? Il n'y en avait point. Aujourd'hui on m'affirme qu'il y en a. Je viens te demander le service de vérifier le fait et de m'en écrire un mot le plus tôt possible, car je suis bien pressé par mon tableau du salon prochain, qui tu le sais représente un débarquement. [... ] J'irai dîner demain au Cercle de la Presse. Tâche d'y venir tu verras Arban, Lami et d'autres ex-copains des malheureux anti-libéraux !!..." ; 1 LAS datée de Paris le 4 mars 1885 [ Il invite son correspondant à Sevran pour venir voir son tableau ] ; 1 LAS datée de Paris le 29 mars 1888 [ Il expose une sollicitation pour un jeune homme dont les parents sont d'Egreville en Seine-et-Marne ] "Nous travaillons ferme à une entreprise qui, si elle réussit, réunira à nouveau tous mes anciens camarades..." [... ] ; 1 LAS datée d'Egreville (Seine-et-Marne) le 27 juin 1888 : [ Il demande pour une famille d'un marin décédé sa montre, et sollicite pour un autre moisson un congé d'un mois "au moment des moissons, c'est-à-dire vers la fin de Juillet. Je sais que cela s'accorde car je viens de l'obtenir pour un soldat du 76e de ligne". Il invite son correspondant Gustave Lévy à Egreville où il pourra dormir "dans la chambre du Commandeur (Nicham !) qu'on te réservera" ] ; 1 LAS datée du Château d'Egreville le 16 septembre 1888 : [ Il le sollicite encore pour son soldat et continue : ] "Quand donc t'aboucheras-tu avec Edouard Philippe - dont j'ai à faire un petit portrait - pour venir me voir à Egreville" [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris, le 4 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, Comment je ne t'aurai pas répondu pour te remercier du dernier service, que je t'avais demandé et que tu m'avais fait obtenir ? Comment ? Eh ! bien je t'avoue franchement que je suis un cochon. Toutefois, il faut avoir un peu d'indulgence, et me pardonner : je t'ai tellement écrit pour te réclamer quelque chose que, ma foi, j'ai cru sincèrement t'avoir écrit pour te remercier. Puis mon intention très-ferme était d'aller te serrer la main aussitôt mon retour à Paris, mais Patatra ! Voilà environ trois semaines que je suis arrivé et je n'ai pas eu une heure à moi. Je suis rentré dans la fournaise, et j'ai repris ma sale existence vertigineuse de la Capitale. [ Il l'invite à dîner au Cercle de la Presse pour rencontrer ses vieux copains Philippe, Lami, Arban, etc... ] ; 1 LAS du 13 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, c'est encore moi. Tu sais mon protégé le soldat-marsouin Chevrillon, celui pour lequel je t'ai si bien remercié... Eh bien ce pauvre diable qui vient d'avoir la fièvre typhoïde ainsi qu'on t'en avait informé n'est pas encore bien chic [ Il sollicite pour un lui un renouvellement de congé. Il a regretté de ne pas le voir au Cercle de la Presse avec Arban, Lami et Crémieux. ] "Nous avons énormement causé de toi avec de Marçai, chez Bloch" [ il évoque l'Amiral Besnard "lequele entre parenthèses ne m'a pas l'air d'être fort commode" qu'il a également sollicité indirectement en vain... ]‎


‎Photographe, peintre, graveur et illustrateur, Etienne Berne-Bellecour (1838-1910) se spécialisa dans la peinture militaire et notamment de marine. Il évoque dans cette correspondance un tableau de débarquement de marine, probablement le sujet vendu en 2011 chez Artcurial : "Débarquement de troupes de Marine Française dans des chaloupes" daté de 1885 (à moins qu'il ne s'agisse là que d'un travail préparatoire). Prix du lot, non séparable‎

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