Editions des Champs-Elysées. 1960. In-4° br. 212 pp. Edition nouvelle et augmentée, tirée à 1.000 exemplaires numérotés. 1/600 sur alfa. [E.O. en 1930]. Le tome I seul. Couverture un peu défraîchie, sans manque. Exemplaire de Jean-Jacques Pauvert comportant son cachet d'ex-libris sur la page de garde.
Reference : 11829
« Il sest ajouté [au catalogue des éditions Jean-Jacques Pauvert], tout à fait à la fin de 1963, ou au début de 1964, un département nouveau : lalchimie, préludant à lastrologie, lésotérisme en général. Je dois cette ouverture dabord à mon goût personnel, ensuite à ce que je me suis trouvé en conjonction parfaite avec linclination dAndré Breton pour ce même domaine. [Breton] neut pas à me convaincre de reprendre à mon catalogue deux titres majeurs de la « haute science » : " les Demeures philosophales " et " le Mystère des cathédrales " de Fulcanelli. Ces titres étaient depuis de longues années bloqués, filtrés plutôt à des prix de spéculation, par une officine des Champs-Elysées, lOmnium littéraire de Paris, appartenant à la Librairie des Champs-Elysées. [] Eugène Canseliet était-il lauteur des ouvrages signés Fulcanelli ? Il affirmait que non. Qui était Fulcanelli ? Canseliet disait lavoir bien connu. Daprès lui, ce nétait aucun des alchimistes français dont on avait cité le nom. [Camille Flammarion fut soupçonné (avec une assez solide argumentation) dêtre Fulcanelli ; nombre dautres hypothèses (et des plus fantaisistes) circulent encore (note du libraire)]. Il est mort sans avoir rien révélé. » (Jean-Jacques Pauvert, " la Traversée du livre ", pp. 356-359). Cf. Frédéric Courjeaud, " Fulcanelli Une identité révélée ", Claire Vigne, éd., 1996. Henri Loevenbruck, le Mystère Fulcanelli, Flammarion, 2013.
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