1990 LES EDITIONS DE MINUIT. 1990. In-8 Carré. Broché. 125 Pages Traduit de l'anglais et présenté par E. FOURNIER - Exemplaire no 95 qui fait parti des 99sur pur chiffon de lana : etat proche du neuf
Reference : 6298
Ray BC2
Antiquités Duvert Martial
Martial Duvert
Place du Champs de Mars
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France
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Paris, Albin Michel, 1994; in-4, 156 pp., cartonnage de l'éditeur. En très bon état avec sa jaquette -Le jardin de Marcel Proust, c'est à la fois celui d'Illièrs-Combray et celui de l'enfance à Auteuil. Inséparable de son œuvre, révélateur des rêves intimes de l'écrivain, ce jardin intérieur est bruissant de secrets incarnés par les fleurs : on y trouve l'aubépine de la passion, le coquelicot du défi, l'iris de la coupure entre deux mondes, la digitale de la solitude. Evoquant l'éden biblique et proche de l'azur, la mort y est vaincue par le souvenir. Contigu à l'infini des champs, c'est un jardin imaginaire et contagieux dont les odeurs nous envahissent d'autant plus que la maladie a chassé Marcel Proust du domaine des parfums. Aussi a-t-il créé ce jardin intemporel, dont voici l'alphabet symbolique de A à Z - un alphabet de fleurs qui renaîtront toujours.
En très bon état avec sa jaquette -Le jardin de Marcel Proust, c'est à la fois celui d'Illièrs-Combray et celui de l'enfance à Auteuil. Inséparable de son œuvre, révélateur des rêves intimes de l'écrivain, ce jardin intérieur est bruissant de secrets incarnés par les fleurs : on y trouve l'aubépine de la passion, le coquelicot du défi, l'iris de la coupure entre deux mondes, la digitale de la solitude. Evoquant l'éden biblique et proche de l'azur, la mort y est vaincue par le souvenir. Contigu à l'infini des champs, c'est un jardin imaginaire et contagieux dont les odeurs nous envahissent d'autant plus que la maladie a chassé Marcel Proust du domaine des parfums. Aussi a-t-il créé ce jardin intemporel, dont voici l'alphabet symbolique de A à Z - un alphabet de fleurs qui renaîtront toujours.
Paris, Gallimard, 1971. 8°. 141 (1) S. Orig.-Broschur (Rücken leicht verblichen).
Paris, Librairie nrf Gallimard, 1947; in-8, 372 pp., broché(tampons).
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Paris, Editions de la revue le capitole , 1926; grand in-8, 224 pp., broché, couverture illustr. Illustrations de André Szekely de Doba et de L. Caillaud - tirage numéroté 1300 exemplaire sur papier alfa n° 988.
Illustrations de André Szekely de Doba et de L. Caillaud - tirage numéroté 1300 exemplaire sur papier alfa n° 988.
S.D. TRE?S BELLE ET INTE?RESSANTE LETTRE DANS LAQUELLE MARCEL PROUST E?VOQUE LE PEINTRE VE?NITIEN VITTORE CARPACCIO [pour Proust, le symbole me?me de Venise, dont il se servira dans Albertine disparue] ET LES « MORNINGS IN FLORENCE » DE RUSKIN, publie?s par Laurens (en 1908) : ...Si plus tard votre collaborateur vous rend le Carpaccio italien (que je ne connais pas) je serai tre?s heureux de le lire, si vous pouvez me le pre?ter. Quant au franc?ais je vais e?crire a? Venise ou? on me dit quil a e?te? e?dite?. Carpaccio est un artiste si charmant quon voudrait pouvoir e?tre toujours plus renseigne? sur son œuvre et sur sa vie. Si vous naviez de?ja? dispose? du cpte rendu, je me serais mis a? votre disposition pour le faire. Si M. Laurens publie les Mornings in Florence vous devriez lui conseiller ceci. La magnifique e?dition de Ruskin (Library Edition) qui parai?t chez Alen... Proust pre?cise que les Mornings contiennent un ...ine?dit « The visible church », tre?s inte?ressant. M. Laurens naurait pas le droit de le publier, car il ny a pas assez de temps quil a paru. Mais par voie dappendice ou de note en disant franchement ou? il le prend, il pourrait en donner de longs extraits. Du reste les Mornings in Florence sont bien courts pour constituer un volume, il devrait y ajouter Val dArno qui est dailleurs infiniment supe?rieur aux Mornings in Florence lesquels sont le plus mauvais ouvrage de Ruskin, franchement me?diocre... En grand admirateur du critique dart anglais John Ruskin, et, à la suite de la traduction quil fit (avec laide de sa mère Jeanne Proust) de La Bible dAmiens du critique anglais (parue au Mercure de France, en 1904), Marcel Proust avait été promu « expert en études ruskiniennes ».En novembre 1905, Proust fut donc approché par Auguste Marguillier, un ancien collaborateur de Charles Ephrussi (un ami de Proust), devenu directeur de La Chronique des arts, pour un compte-rendu de Pierres de Venise de Ruskin, que Mathilde Crémieux, une cousine de Proust, venait de traduire et qui allait paraître chez Henri Laurens, le futur éditeur des Matins de Florence de Ruskin. En janvier 1906, Proust adressait à Marguillier une notice au sujet du Gainsborough de Gabrielo Mourey paru dans La Chronique des Arts, puis dans les « Villes dart », une collection (éditée par H. Laurens) très appréciée par lauteur de La Recherche ; toujours dans la même collection, Proust découvrit avec plaisir le Carpaccio de G. et L. Rosenthal (paru en 1906), auquel il fait allusion dans cette lettre.Introduit dans La Recherche, au travers des chatoyantes robes du couturier Fortuny offertes à Albertine par le Narrateur, le peintre vénitien Vittore Carpaccio (1460-1526) fut longuement étudié par Proust lors de ses séjours à Venise grâce aux ouvrages de Ruskin.